background preloader

Bertrand Russell

Bertrand Russell
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Russell. Bertrand Russell Philosophe et logicien Époque contemporaine Bertrand Russell en 1916 Bertrand Arthur William Russell, 3e comte Russell, né le 18 mai 1872 à Trellech (Monmouthshire), et mort le 2 février 1970 près de Penrhyndeudraeth (Pays de Galles), est un mathématicien, logicien, philosophe, épistémologue, homme politique et moraliste britannique. Russell est considéré comme l'un des plus importants philosophes du XXe siècle. La logique et le fondement des mathématiques : Russell est, avec Frege, l'un des fondateurs de la logique contemporaine. Il soutient l'idée d'une philosophie scientifique[2], et a proposé d'appliquer l'analyse logique aux problèmes traditionnels, tels que l'analyse de l'esprit, de la matière (problème corps-esprit), de la connaissance, ou encore de l'existence du monde extérieur. Biographie[modifier | modifier le code] Bertrand Russell peint par Roger Fry en 1923. ~ p : la négation

Bertrand Russell Russell led the British "revolt against idealism" in the early 20th century.[58] He is considered one of the founders of analytic philosophy along with his predecessor Gottlob Frege, colleague G. E. Moore, and his protégé Ludwig Wittgenstein. He is widely held to be one of the 20th century's premier logicians.[55] With A. Russell was a prominent anti-war activist; he championed anti-imperialism[60][61] and went to prison for his pacifism during World War I.[62] Later, he campaigned against Adolf Hitler, then criticised Stalinist totalitarianism, attacked the involvement of the United States in the Vietnam War, and was an outspoken proponent of nuclear disarmament.[63] In 1950 Russell was awarded the Nobel Prize in Literature "in recognition of his varied and significant writings in which he champions humanitarian ideals and freedom of thought Biography Early life and background Young Bertrand Russell Childhood and adolescence University and first marriage Early career Russell in 1907.

Carl Gustav Jung Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Vous lisez un « article de qualité ». Carl Gustav Jung Carl Gustav Jung photographié en 1910 Carl Gustav Jung (prononcé [ˈkarl ˈɡʊstaf ˈjʊŋ] écouter) est un médecin, psychiatre, psychologue et essayiste suisse né le 26 juillet 1875 à Kesswil, canton de Thurgovie, et mort le 6 juin 1961 à Küsnacht, canton de Zurich, en Suisse alémanique. Penseur influent, il est l'auteur de nombreux ouvrages de psychologie et de psychosociologie en langue allemande traduits en de nombreuses autres langues. Carl Gustav Jung a été un pionnier de la psychologie des profondeurs en soulignant le lien existant entre la structure de la psyché (c'est-à-dire l'« âme », dans le vocabulaire jungien) et ses productions et manifestations culturelles. Père fondateur d'une psychologie des cultures, il a rassemblé autour de ses travaux des générations de thérapeutes, d'analystes et d'artistes. Biographie[modifier | modifier le code] Premières années[modifier | modifier le code]

Bertrand Russell, la science, la démocratie et la « poursuite de la vérité » Une des pires choses qui résultent de l’augmentation moderne des pouvoirs des autorités est la suppression de la vérité et la diffusion de la fausseté par des agences publiques. Bertrand Russell« Symptoms of Orwell’s 1984 » (1956) L’atmosphère de peur et d’horreur que nous avons appris à respirer peut être dissipée si l’opinion publique peut être rendue plus sage. L’opinion publique peut être rendue plus sage si on peut faire en sorte que les faits soient connus. Et à quiconque se convertit à notre façon de penser on peut montrer quelque chose, de grand ou de petit, qu’il peut faire en vue de la création d’un monde meilleur.Bertrand Russell« Can War Be Abolished ? » (1960) 1 William Clifford, Lectures and Essays, Macmillan, 1901. 2 William James, La Volonté de croire, Les empêcheurs de penser en rond, 2005. 3 Caroline Moorehead, Bertrand Russell. 12Mais le désir de connaître peut prendre également une autre forme, qui appartient à un univers émotionnel différent.

Théodore Monod Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Monod. Théodore Monod Théodore Monod en décembre 1998 - Adrar de Mauritanie Théodore André Monod, né le 9 avril 1902 à Rouen et mort le 22 novembre 2000 à Versailles, est un scientifique naturaliste, explorateur, érudit et humaniste français. Il est « le grand spécialiste français des déserts », « l'un des plus grands spécialistes du Sahara au XXe siècle » et « bon nombre de ses 1 200 publications sont considérées comme des œuvres de référence »[1]. Pour Jean Dorst, Théodore Monod « a été bien plus qu'un savant naturaliste à la curiosité toujours en éveil. Biographie[modifier | modifier le code] Descendant d'une lignée paternelle de cinq pasteurs protestants, il est le fils de Dorina et Wilfred Monod, fondateur de la fraternité spirituelle des Veilleurs[3]. Il effectue avec Auguste Piccard en 1948 au large de Dakar la première plongée en bathyscaphe, FNRS II. Curiosité pour le monde[modifier | modifier le code]

Gilbert Simondon Gilbert Simondon, né le 2 octobre 1924 à Saint-Étienne et mort le 7 février 1989 à Palaiseau, est un philosophe français du XXe siècle. Il est spécialiste de la théorie de l'information, de philosophie de la technique, de psychologie et d'épistémologie. Il est connu pour ses deux thèses, Du mode d'existence des objets techniques et L'individuation à la lumière des notions de forme et d'information. Le reste de son œuvre consiste en de nombreux articles, cours et conférences. Biographie[modifier | modifier le code] Famille[modifier | modifier le code] Formation[modifier | modifier le code] Gilbert Simondon fait ses études secondaires au lycée Claude-Fauriel de Saint-Étienne, sa ville natale, et a tôt l’occasion de fréquenter le milieu industriel, de discuter avec des ingénieurs, de s’intéresser à l’invention scientifique et technologique et à la manière dont les innovations sont reçues au sein de la société[1]. Enseignement et recherche[modifier | modifier le code]

Antoine de Saint-Exupéry Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Antoine de Saint-Exupéry Antoine de Saint-Exupéry au Canada en mai 1942. Œuvres principales Signature Antoine Marie Jean-Baptiste Roger de Saint-Exupéry[1], né le à Lyon et disparu en vol le en mer, au large de Marseille, Mort pour la France, est un écrivain, poète et aviateur français. À partir de 1932, son employeur entre dans une période difficile. En 1939, il est mobilisé dans l'armée de l'air et est affecté dans une escadrille de reconnaissance aérienne. Le Petit Prince, écrit à New York pendant la guerre, est publié avec ses propres aquarelles en 1943 à New York et en 1946 chez Gallimard, en France. Biographie Jeunesse et formation Immeuble de Lyon où Antoine de Saint-Exupéry est né en 1900 Fils du comte Jean-Marc de Saint-Exupéry (1863-1904), inspecteur d'assurances, et de Marie Boyer de Fonscolombe, Saint-Exupéry naît le 29 juin 1900 dans le 2e arrondissement de Lyon dans une famille issue de la noblesse française. Dans l’aviation

Albert Einstein Albert Einstein en 1947. Il publie sa théorie de la relativité restreinte en 1905 et sa théorie de la gravitation, dite relativité générale, en 1915. Il contribue largement au développement de la mécanique quantique et de la cosmologie, et reçoit le prix Nobel de physique de 1921 pour son explication de l’effet photoélectrique[N 2]. Son travail est notamment connu du grand public pour l’équation E=mc2, qui établit une équivalence entre la masse et l’énergie d’un système. Biographie Jeunesse Son père, Hermann Einstein, né le 30 août 1847 à Buchau, est mort le 10 octobre 1902 à Milan. Les Einstein sont des juifs non pratiquants, mais un parent enseigne à Albert les éléments du judaïsme. L'intérêt d'Albert pour la science est éveillé par une boussole alors qu'il est âgé de cinq ans : l'existence d'une action à distance lui paraît « miraculeuse » et l'étonne très vivement. De douze à seize ans, il apprend en autodidacte le calcul différentiel et intégral[4]. Formation Carrière Mort Année 1905 Notes

Stefan Zweig Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Zweig. Stefan Zweig Stefan Zweig, vers 1912[1]. Œuvres principales Biographie[modifier | modifier le code] La lente maturation d'un écrivain (1881-1904)[modifier | modifier le code] Stephan Zweig (debout) et son frère Alfred, vers 1900 Il quitte alors le foyer familial pour une chambre d’étudiant et commence enfin à profiter de ses dix-neuf ans. « Ma mère et mon père étaient juifs par le hasard de leur naissance ». Encouragé par ces premiers succès, mais doutant encore de son talent, Zweig séjourne à Berlin. Avant la Première Guerre mondiale, porté par une curiosité insatiable, il fait de nombreux voyages (Wanderjahre) : il parcourt l’Europe, passe de longs séjours à Berlin, Paris, Bruxelles[N 3] et Londres, et, sur un conseil de Walther Rathenau, se rend en Inde[N 4] en 1910 puis aux États-Unis et au Canada en 1911. Les rencontres décisives (1904-1933)[modifier | modifier le code] — Le monde d'hier, Stefan Zweig

Émile Zola Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Émile Zola Autoportrait au béret, Émile Zola, 1902. Œuvres principales Compléments Sa vie et son œuvre ont fait l'objet de nombreuses études historiques. Biographie Enfance et adolescence provençale (1840 - 1858) Émile Zola enfant avec ses parents vers 1845. Les créanciers poursuivent alors la société du canal. Émilie Aubert, sa mère, totalement démunie, s'occupe de l'orphelin avec sa grand-mère, Henriette Aubert. Au collège à Aix-en-Provence, il se lie d'amitié avec Jean-Baptistin Baille[N 2],[5] et surtout Paul Cézanne qui reste son ami proche jusqu'en 1886. Dès sa prime jeunesse, Émile Zola est passionné par la littérature. Vie de bohème (1858 - 1862) Émile Zola quitte Aix en 1858 et rejoint sa mère à Paris, pour y vivre dans de modestes conditions, espérant trouver le succès. Émile Zola est recalé par deux fois au baccalauréat ès sciences en 1859. Le premier amour de Zola, dont il s'est entiché pendant l'hiver 1860-1861, s'appelle Berthe[8]. .

Albert Schweitzer Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Albert Schweitzer Compléments Albert Schweitzer (Kaysersberg, – Lambaréné, ), était un théologien protestant, musicien organiste, philosophe et médecin alsacien[1]. Connu pour son éthique du « respect de la vie », inspiré (comme il en témoigne[2]) des religions de l'Inde, dont notamment le principe d’ahimsâ (« non-violence ») issu du jaïnisme, de l’hindouisme et du bouddhisme, mais aussi célèbre pour avoir été le précurseur de l’aide humanitaire pour la fondation en 1913 de son hôpital de Lambaréné, au Gabon, ainsi que pour ses travaux sur Bach et ses interprétations à l’orgue, caractéristiques du mouvement de la réforme alsacienne, Albert Schweitzer fut lauréat du prix Goethe en 1928 et du prix Nobel de la paix en 1952. Biographie[modifier | modifier le code] Enfance[modifier | modifier le code] Albert Schweitzer est né le , après l'annexion de l'Alsace-Lorraine par l'Empire allemand. Études[modifier | modifier le code]

Mohandas Karamchand Gandhi Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Vous lisez un « article de qualité ». Mahatma Gandhi Mohandas Karamchand Gandhi, en août 1942 Mohandas Karamchand Gandhi (en gujarati મોહનદાસ કરમચંદ ગાંધી (mohandās karamcaṃd gāndhī), API [ˈmoː.ɦən.d̪aːs ˈkə.rəm.t͡ʃənd̪ ˈɡaːn.d̪ʱi ] Écouter), né à Porbandar (Gujarat) le 2 octobre 1869 et mort assassiné à Delhi le 30 janvier 1948, est un dirigeant politique, important guide spirituel de l'Inde et du mouvement pour l'indépendance de ce pays. Il a été un pionnier et un théoricien du satyagraha, de la résistance à l'oppression à l'aide de la désobéissance civile de masse, le tout fondé sur l'ahimsa (« non-violence »), qui a contribué à conduire l'Inde à l'indépendance. Gandhi conduisit la marche du sel, célèbre opposition à la taxe sur le sel. Adepte de la philosophie indienne, Gandhi vivait simplement, organisant un ashram qui était autosuffisant. Gandhi est reconnu comme le Père de la Nation en Inde, où son anniversaire est une fête nationale.

Albert Camus Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Camus. Albert Camus Albert Camus en 1957. Œuvres principales Compléments Son œuvre comprend des pièces de théâtre, des romans, des nouvelles, des films, des poèmes et des essais dans lesquels il développe un humanisme fondé sur la prise de conscience de l'absurde de la condition humaine mais aussi sur la révolte comme réponse à l'absurde, révolte qui conduit à l'action et donne un sens au monde et à l'existence, et « alors naît la joie étrange qui aide à vivre et mourir »[3]. Il ne se dérobe devant aucun combat, protestant successivement contre les inégalités qui frappent les musulmans d'Afrique du Nord, puis contre la caricature du pied-noir exploiteur, ou prenant la défense des Espagnols exilés antifascistes, des victimes du stalinisme et des objecteurs de conscience[5]. En marge des courants philosophiques, Camus est d'abord témoin de son temps, intransigeant, refusant toute compromission.

Victor Hugo Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Portrait de Victor Hugo par Nadar. Œuvres principales Victor Hugo Écouter, né le à Besançon et mort le à Paris, est un poète, dramaturge et prosateur romantique considéré comme l’un des plus importants écrivains de langue française. Il est aussi une personnalité politique et un intellectuel engagé qui a joué un rôle majeur dans l’histoire du XIXe siècle. Victor Hugo occupe une place marquante dans l’histoire des lettres françaises au XIXe siècle, dans des genres et des domaines d’une remarquable variété[3],[4]. Victor Hugo a fortement contribué au renouvellement de la poésie et du théâtre. Biographie Enfance et jeunesse Maison natale de Victor Hugo à Besançon. En 1817, il participe à un concours de poésie organisé par l'Académie française sur le thème Bonheur que procure l’étude dans toutes les situations de la vie. Jeune écrivain La mort de sa mère le 27 juin 1821 l’affecte profondément[20]. François–Victor naît en octobre 1828. Années théâtre Exil

Jean Pic de la Mirandole Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Jean Pic de la Mirandole Philosophe italien Jean Pic de la Mirandole, Galerie des Offices Jean Pic de la Mirandole (Giovanni Pico della Mirandola), né à Concordia sulla Secchia le et mort le , est un philosophe et théologien humaniste italien, troisième fils d'une vieille famille comtale. Biographie[modifier | modifier le code] Jeune héritier d'une fortune considérable, il eut le loisir d'étudier et de voyager à sa guise, et consacra sa vie au savoir. Yves Hersant, présentant sa traduction de l'ouvrage De la dignité de l'homme, explique : « Lorsqu'il écrit l'Oratio de hominis dignitate, qui aurait dû introduire ses Neuf cents thèses philosophiques, théologiques et cabalistiques, Pic de la Mirandole a vingt-quatre ans. Jeunesse et études[modifier | modifier le code] De 1480 à 1482, il poursuit ses études à l'Université de Padoue, un centre majeur de philosophie aristotélicienne en Italie. Pic est profondément ébranlé par cette expérience.

Related: