Pourquoi le data-journalisme, c’est l’avenir en marche | Nouvelle formule Elle s’appelle Caroline Goulard, elle est encore étudiante (en 5e année, tout de même), elle est en passe de devenir LA spécialiste française du journalisme de bases de données, le databeyyyse djournaliseume en bon franglais, qui commence à faire florès ailleurs, entendre aux Etats-Unis et en Grande Bretagne, comme d’habitude, mais pas chez nous. Son blog est une mine de renseignements – et de (plaisants) fantasmes éditoriaux - pour ceux qui, comme Sophie Gohier, mon éditrice préférée, ou votre dévoué serviteur pensent que l’info en ligne, c’est pas seulement (surtout pas?) du batonnage de dépêches, des Web reportages et de la sous-télévision. Caroline Goulard a deux actualités: - Un article limpide sur le database journalism, confié à Owni. Nos ambitions, donc. Ca fait quelques mois, voire quelques années, qu’on y pense, aux bases de données. Alors, on cherche la martingale, comme dirait Baroin, la recette miracle. Parmi les ingrédients, il y a aura Pierre Falga, j’aimerais bien.
Journalism++ [Datavisualisation] The Art market for Dummies The Art market represents 43 billion euros in 2012 : the equivalent of Lituania's GDP, and more than the music or the cinema market. THE SCREAM - EDVARD MUNCH. The art market is monopolized by billionaires from different parts of the world : France, United States, China or Middle East. Art is not experiencing a market failure. The Art market compared to other cultural sectors The surface of each square rrepresents the global market revenue for each sector (in euros). Even though the paintings, drawings and sculptures sold for more than a million dollars represent only 0,23% of the total sales, in value, they represent nearly half of the market! Only a few billionaires monopolize the market of high value works of art. The royal family of Qatar bought “The Card Players” by Cézanne for 191 million euros. 2. Picasso, Warhol, Zhang Da Qian are the three most bankable artists since 2008. DEMOISELLES D'AVIGNON - PABLO PICASSO. most bankable artist in the auction market with 1.45B euros. 3. 4.
Une expérience de data journalisme est lancée à Bordeaux Une expérimentation de data journalisme, ou journalisme de données, vient d’être lancée au sein de l’ Institut de journalisme de Bordeaux Aquitaine . L’opération, conçue et coordonnée par l’IJBA et AEC, doit durer trois mois. Elle est baptisée « Data Journalisme Lab ». L’idée, créer un laboratoire de recherche et développement autour d’une forme très innovante de traitement et de diffusion de l’information : la data-visualisation, ou visualisation de données. Le journalisme de données, discipline ambitieuse et très innovante, requiert une bonne dose de rigueur, un peu de temps devant soi mais, surtout, de multiples compétences. Le « Data Journalisme Lab » que viennent de lancer l’ IJBA et AEC à Bordeaux, associe aux côtés des 36 étudiants journalistes en Master 1, dans une dynamique de travail collaboratif, 4 étudiants graphistes et 6 étudiants développeurs. L’expérimentation fait l’objet d’un Work in progress : Du data journalisme à la data visualisation
WeDoData Google lance DataBoard, un nouvel outil vous permettant de créer des infographies personnalisées Google vient de dévoiler un joli petit outil de partage des données pour les entreprises dont le but est de suivre les dernières données disponibles provenant d’études que Google choisit d’inclure. Celui-ci vous permet de facilement insérer vos données que vous recherchez, et de les partager avec d’autres de façons visuellement attrayantes. L’outil nommé Databoard for Research Insights, récupère les données depuis les recherches de la société. « Il est important pour les entreprises de rester à jour sur les recherches les plus récentes et des perspectives liées à leur secteur d’activité. Ce serait bien si Google avait eu la bonne idée de s’associer avec quelques-unes des entreprises de recherche de pointe pour développer cet outil, mais même avec en tirant profit de son propre moteur recherche, c’est assez cool. Alors que ce partage est une belle commodité, la meilleure partie de l’outil est la caractéristique permettant de créer une infographie.
Quatre voies du datajournalism Le datajournalism ou journalisme de données, peut difficilement se résumer à un type de contenus ou à un type de démarche. Il requiert des compétences spécifiques, selon l'usage qui en est fait. J’ai eu l’impression, ces derniers jours, de répéter plusieurs fois la même chose à des personnes différentes (ce qui est un vrai plaisir quand il s’agit de datajournalism). D’où l’idée d’articuler ici ces quelques éléments récurrents. Photo CC par Ian-S sur Flickr Finalement, le datajournalism ou journalisme de données, peut difficilement se résumer à un type de contenus ou à un type de démarche. 1-COMPRÉHENSION : le datajournalism permet de mieux comprendre le monde. Pour cette visualisation des succès au box office américain depuis 1986, l’équipe du nytimes.com a particulièrement travaillé sur la forme des courbes, et leur couleur. Le datajournalism, c’est de la visualisation d’information. La datajournalism ne pourra donc pas se passer des compétences d’un interaction designer.
Données le vertige Des flots d’octets, un océan de données, un déluge de connaissances… A mesure qu’Internet tisse sa toile, le volume d’informations numérisées n’en finit plus d’exploser. D’ici huit ans, cette masse vertigineuse de «datas» sera 50 fois supérieure à ce qu’elle est aujourd’hui, prédit le cabinet d’études IDC. Et il faudra dix fois plus de serveurs informatiques pour espérer gérer cette déferlante. Pas par crainte d’être submergés, mais plutôt pour être en mesure de retrouver, d’extraire et d’exploiter cette nouvelle manne. Il y a vingt ans, nous stockions encore nos fichiers sur des disques durs de quelques mégaoctets (1 Mo équivaut à 1 000 000 d’octets, soit 106 octets, 1 octet valant 8 bits ; le bit est l’unité de base en informatique, à savoir un 0 ou un 1). Photo: Emmanuel Pierrot.Vu pour Libération «Capteurs». C’est là qu’intervient une nouvelle discipline : le «big data». Mesagraph fournit ainsi à Canal + une modélisation de son audience à partir des conversations sur Twitter.
The Do's And Don'ts Of Infographic Design Advertisement Editor’s Note: You might want to read Nathan Yau’s article The Do’s And Don’ts Of Infographic Design: Revisited1 here on Smashing Magazine which is a response to this article. Since the dawn of the Internet, the demand for good design has continued to skyrocket. From Web 1.0 to Web 2.0 and beyond, designers have remained on their toes as they define the trends and expectations of our online universe. The Internet is a great designer’s playground, and online businesses are growing more and more appreciative of what can be gained from a bit of well-executed eye candy. Over the past two years, this fact has become the backbone of a growing trend in online marketing: the infographic. Infographics are visual representations of information, or “data viz” as the cool kids call it these days. Of course, just as Web 2.0 changed 1.0, today’s infographics are far more eye-catching than simple pie charts and bar graphs. Wrapping Your Mind Around Data Viz Show, Don’t Tell Tell a Story (al)
Le journalisme « hacker » À New York, Chicago, Londres, Helsinki ou Buenos Aires, plusieurs centaines de personnes se rencontrent régulièrement, souvent dans des arrières salles de bars ou des salles de conférences [1]. Ils sont étudiants, journalistes, programmeurs ou chefs de projet web, et ils appellent ces réunions informelles des rencontres « hacks/hackers ». « Hacks » est une façon de dénommer les journalistes tandis que « hackers » désigne des passionnés d’informatique. À travers la présentation d’applications informatiques développées pour des sites d’information, la formation à des langages de programmation ou plus simplement la mise en relation de journalistes et de programmeurs, les animateurs de ce réseau veulent relier le monde de la presse aux mondes informatiques de façon à transformer et même « réinitialiser » le journalisme. Les liens entre la presse et les mondes informatiques se sont incontestablement développés ces dernières années. Pourquoi des codeurs s’intéressent-ils à la presse ?