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Le street art ou art urbain

Le street art ou art urbain
Il s’agit de toutes formes d’art réalisé dans la rue ou dans des endroits publiques et englobe diverses méthodes telles que le graffiti, le graffiti au pochoir, les stickers, les posters, la projection vidéo, les installations de lumière, la céramique, etc. Le street-art parsème l’univers visuel des grandes cités. On en retrouve sur les murs, les trottoirs, les rues, dans les parcs ou sur les monuments. Le terme est par ailleurs utilisé afin de différencier une forme artistique d’un mouvement territorial ponctué de vandalisme et d’illégalité. Bien que le street-art ne soit pas toujours légal, sa valeur artistique est incontestable et de plus en plus en demande. Les motivations conduisant ces « street-artistes » à perpétrer leur art sont tout autant variées que le nombre d’artistes lui-même. Cela dit, tous les murs de toutes les villes du monde peuvent devenir le canevas parfait pour un street-artiste. L’art urbain s’est peaufiné avec le temps. Voir - Qui est Cornbread ?

Banksy Art - Street art Mouvement artistique e « Street art » est l'art, développé sous une multitude de formes, dans des endroits publiques ou dans la rue. Le terme englobe la pratique du graffiti, du graffiti au pochoir, de la projection vidéo, de la création d'affiche, du pastel sur rues et trottoirs. La valeur subversive du « street art » est très puissante et les motivations qui poussent les artistes à afficher leur art dans la rue sont des plus variées. Certains artistes de la rue voient le « street art » comme un large espace vierge pour réaliser leurs oeuvres alors que d'autres adoptent cette forme d'art dans le but de retrouver les émotions fortes qui émanent des risques encourus par la réalisation de projets sur la propriété privée ou publique (arrestations, contraventions, etc.). Les techniques utilisées sont variées et de diverses proportions. report this adInitialement, le « street art » regroupait particulièrement les artistes graffeurs et était associé à la culture « punk ».

STREET ART Streep - media digital de l'art urbain contemporain Cultures Urbaines 06 Les passages parisiens de Walter Benjamin : <i>Gilles Behnam</i> Articles PASSAGES : « Ces passages, nouvelle invention du luxe industriel, sont des galeries recouvertes de verre, lambrissées de marbre, qui traversent des blocs entiers d’immeubles dont les propriétaires se sont regroupés en vue de telles spéculations. De part et d’autre de ces galeries, qui reçoivent le jour d’en haut, s’alignent les boutiques les plus élégantes, en sorte qu’un pareil passage est une ville, un monde en miniature. »Définition tirée d’un Guide illustré de Paris, citée dans Paris, capitale du XIXe siècle 1. 1. J’ai souhaité dans cet article revenir sur ces lieux singuliers 2 tels qu’en parle de manière innovante et saisissante Walter Benjamin, et tenter de prendre la mesure de ses thèses et arguments. 2. 3. 4. 5. Mais justement la rupture est consommée chez Benjamin du fait que l’horizon futur du XIXe n’est plus celui de l’art, sans être cependant, comme chez Hegel, celui de la philosophie, mais plutôt celui de la technique. 6. 7. Gilles Behnam 1.

street art manifesto Art urbain L'art urbain, ou street art[1], est, à la fois, un mouvement artistique et un mode d'expression artistique, qui s'affirme ou se revendique ainsi à partir de la fin du XXe siècle. « Aux origines illégales, subversives et éphémères, il s’agit en général d’œuvres ou productions plastiques prenant en compte le contexte de création de manière à le questionner, l'explorer, le marquer, le dégrader, le détourner ou le sublimer[2]. » C'est principalement un art éphémère vu par un large public. Il ne doit pas être confondu avec l'art dans la ville, dans l'espace urbain ou public (en anglais public art), et tous les projets initiés par des institutions publiques, comme le Federal Art Project américain des années 1930 ou les expériences menées en France à partir des années 1960 et 1970. Histoire[modifier | modifier le code] L'art urbain en tant qu'initiative individuelle commence à s'épanouir en France à partir de Mai 1968[10]. Influence[modifier | modifier le code] Entre autres : Quelques exemples :

streetART - Accueil et l'Histoire incroyable du street art Dès 1960, en France, on le compare à une forme d’art, ce qui s’avère être plutôt singulier à l’époque. Même si les critiques sont mitigées, l’art du graffiti était né, au grand plaisir des artistes qui s’adonnaient à cette pratique. Vers la fin des années 1960, on retrouve une valeur très intellectuelle et songée au sein des graffiti conventionnels, inspirés par la politique pour la plupart.

Interstices urbains et pratiques culturelles Sommaire de l'article Navigation Zoomer : CTRL + Roulette de la souris Revenir au sommaire du dossier Quitter le dossier Notes et remarques [1] Paul Ardenne, extrait d’un entretien paru dans la revue Mouvement, n°50, janvier-mars 2009 [2] Pascal Nicolas-Le Strat , Expérimentations politiques, chapitre « Multiplicité interstitielle » [3] Livre vert sur la cohésion territoriale: faire de la diversité territoriale un atout. [4] Rapport Fabrice LEXTRAIT sur les Nouveaux territoires de l’art [5] Le territoire, dans sa définition anthropologique, telle que Marc Augé peut le définir comme espace relationnel, identitaire et historique. On parle ici de (non) lieu. [6] Multitudes n°31, Agir urbain, hiver 2008. « Dans les sociétés très normalisées qui étouffent sous le consensus, relèveront de l’art le plus intéressant a priori les créations qui instillent dans la mécanique du contrôle une figure d’indiscipline, d’irréductibilité à la normalisation. vers une nouvelle manière de vivre/d’investir la ville ?

Passages & Galeries, Paris Paris's historic covered arcades - locally known as passages or galeries - were the precursors of today's shopping malls. Of the more than one hundred passages that were built during the nineteenth century, about twenty have survived. Most of the surviving covered arcades are located in the very center of Paris, in or near the 2nd arrondissement. At the end of the eighteenth and beginning of the nineteenth century numerous covered passages were created in Paris. At its peak during the mid-nineteenth century, there was a network of more than 140 passages, many connected to each other. Galerie Colbert such as Galeries Lafayette and Printemps, and many were abandoned and started to fall in disrepair. Today the passages are home to numerous upscale, quirky and specialty shops. The oldest surviving covered shopping arcade is the Passage du Caire (Cairo Passage). Passage duGrand-Cerf It was named after panoramic paintings depicting large cities that originally decorated the entrance.

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