Utopiales : René Laloux, la science-fiction sauvage Avec nos partenaires, nous traitons vos données pour les finalités suivantes : le fonctionnement du site, la mesure d'audience et web analyse, la personnalisation, la publicité et le ciblage, les publicités et contenus personnalisés, la mesure de performance des publicités et du contenu, le développement de produit, l'activation des fonctionnalités des réseaux sociaux. Vos préférences seront conservées pendant une durée de 6 mois. Science et science-fiction : ce qui les lie, ce qui les distingue Avec nos partenaires, nous traitons vos données pour les finalités suivantes : le fonctionnement du site, la mesure d'audience et web analyse, la personnalisation, la publicité et le ciblage, les publicités et contenus personnalisés, la mesure de performance des publicités et du contenu, le développement de produit, l'activation des fonctionnalités des réseaux sociaux. Vos préférences seront conservées pendant une durée de 6 mois.
Débat critique spécial SF : "Conquest" de Nina Allan, le roman à décoder urgemment ! Avec nos partenaires, nous traitons vos données pour les finalités suivantes : le fonctionnement du site, la mesure d'audience et web analyse, la personnalisation, la publicité et le ciblage, les publicités et contenus personnalisés, la mesure de performance des publicités et du contenu, le développement de produit, l'activation des fonctionnalités des réseaux sociaux. Vos préférences seront conservées pendant une durée de 6 mois. “Le Monde de Julia” : la science-fiction a tous les droits ! Avec nos partenaires, nous traitons vos données pour les finalités suivantes : le fonctionnement du site, la mesure d'audience et web analyse, la personnalisation, la publicité et le ciblage, les publicités et contenus personnalisés, la mesure de performance des publicités et du contenu, le développement de produit, l'activation des fonctionnalités des réseaux sociaux. Vos préférences seront conservées pendant une durée de 6 mois.
Au Pompidou-Metz, la science-fiction ouvre les portes du possible La science-fiction est mise à l’honneur au Centre Pompidou-Metz, dans une exposition qui alerte sur les dangers de notre temps mais montre aussi le chemin vers une infinité de futurs imaginaires et pas forcément apocalyptiques. L’écrivaine américaine Ursula Le Guin disait que la science-fiction était un genre « en fait moins mythologique que réaliste ». À première vue, elle nous présente un futur imaginaire mais si l’on regarde mieux, c’est d’un présent bien réel qu’elle nous parle. Un hommage à la littérature de science-fiction Plus de 200 œuvres sont présentées dans cette expo ambitieuse : sculptures, installations, vidéos, photos, peintures… Le tout en tissant constamment des liens avec la littérature, berceau incontesté de la SF. La section nommée « Neuromancien », d’après l’ouvrage de William Gibson, poursuit cette réflexion en dénonçant le rôle envahissant des techno-sciences dans nos vies. Cyborgs et féminisme Infos pratiques :