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Le mariage Gates et Monsanto : attention, danger pour le planète

Le mariage Gates et Monsanto : attention, danger pour le planète
Le mariage Gates et Monsanto : attention, danger pour le planète La puissante Fondation Bill et Melinda Gates, dédiée officiellement à des projets philanthropiques, vient d’acquérir 500 000 actions de la société Monsanto. Grâce à un large réseau de connivences, c’est l’ouverture de nouveaux marchés pour le géant des semences agricoles génétiquement modifiées, et des menaces sur la sécurité alimentaire balayées par le grand vent des profits et de la spéculation.Enquête. Créée en 1994 par le fondateur de Microsoft, la Fondation Bill et Melinda Gates gère un capital de 33,5 milliards de dollars pour financer ses projets “philanthropiques”. Un joli pactole investi à hauteur de 23 millions de dollars dans l’achat de 500 000 actions de Monsanto, comme le révélait la Fondation en août 2010. Acquisition aussitôt dénoncée par le mouvement international Via Campesina1. Si doute il y avait, il n’est plus de mise. Encore un bel exemple de cynisme et de mépris pour les plus faibles. 1. Golias

OGM/Wikileaks révélations surprenantes Le site wikileaks n’en finit plus de faire des vagues ! Un mémo, émanant de l’Ambassadeur des Etats-Unis en France, transmis au gouvernement américain, mentionnait la phrase suivante : « Les partisans des biotechnologies en France, comprenant le syndicat agricole (the farm union) nous ont dit que les rétorsions étaient le seul moyen de faire évoluer la position française sur la question ». C’est stupéfiant ! Un syndicat agricole aurait donc demandé à l’ambassade Américaine de prendre des sanctions contre la France pour la forcer à accepter les OGM. Cette information jette le discrédit sur notre profession soupçonnée de trahir les intérêts nationaux pour satisfaire des intérêts particuliers de firmes ou de coopératives qui souhaitent pouvoir tirer profit et pouvoir du développement des OGM, au mépris de la volonté des producteurs comme des consommateurs. Il ne peut s’agir ni de la CR ni de la CONF, qui ont à de nombreuses reprises expliqué leurs résistances sur ce sujet.

AMESSI Les inventeurs de maladies " - Manœuvres et manipulations de l’industrie pharmaceutique Dans ce livre salutaire (fort bien traduit de l’allemand par Isabelle Liber), qui paraît ce mois de mai 2005 chez Actes Sud, Jörg Blech explique comment l’industrie pharmaceutique a, entre autres : - imposé la baisse arbitraire des normes de cholestérol pour que des gens parfaitement normaux aient l’air malade - fait naître la terreur de l’ostéoporose chez les femmes ménopausées afin de favoriser la consommation de médicaments destinés à "prévenir les fractures" - manipulé l’opinion afin d’élargir la consommation de médicaments destinés à "traiter l’impuissance masculine" - surmédicalisé les femmes, les enfants et les personnes âgées, etc. Le texte qui suit est le début de la post-face que j’ai écrite pour l’édition française. Les inventeurs de maladies par Jorg Blech, Actes Sud, mai 2005 Six milliards de malades imaginaires... par Martin Winckler (post-face à Les Inventeurs de Maladies de Jorg Blech)

Qu’est-ce qu’une plante Roundup Ready ? Pour les chats vu la DL50 même en tenant compte du fait que celle du Roundup serait plus forte que celle du Gyphosate pas de danger, de plus vu son utilisation intensive peu d’accidents et il faut vraiment être très imprudent ! Attention au vent, enlever très rapidement les vêtements imprégnés, porter des gants ! Il faut savoir que pour beaucoup : pas de gants, si vêtements imprégnés : pas grave ! ! Soyons vigilants, prudents, mais pas alarmistes outre mesure ! On qualifie ces plantes de « polluvores », car elles seraient capables de nous débarrasser des substances toxiques qui empoisonnent de plus en plus nos intérieurs. A noter Le lierre, le chlorophytum et le dracaena boulottent formaldéhyde, benzène et monoxyde de carbone. On pensait qu’elles pouvaient nuire à la santé des patients. Mais aussi plantes toxiques !

OGM - Le WWF et Monsanto… - « L' amarante » pas… - Le mythe des OGM - OGM, une… Nous ne pourrions pas nourrir toute la planète sans OGM. Vous les Africains, les Amérindiens, les Asiatiques, vous ne savez pas vous nourrir tout seul, vous ne savez pas comment vous y prendre. Nous, l'homme blanc occidental, allons vous apporter nos prouesses technologiques avec, à la clé, de la nourriture en abondance! Ce mythe des OGM est un des mutiples exemples de paternalisme qui a la peau dure. Déjà mentionné a plusieurs reprises, un rapport de la FAO a enfin admis que l'agriculture biologique (locale et traditionnelle) permettrait non seulement de résoudre les problèmes de faim dans le monde mais de considérablement réduire l'émission de gaz à effet de serre. Et si, en dehors de toute considération commerciale nous analysions le point de vue purement scientifique, biologique, évolutif? « J’ai l’impression que la science a franchi une barrière qui aurait dû rester inviolée. » – Dr Erwin Chargaff, biochimiste et père de la biologie moléculaire. Briser les barrières biologiques

Le maïs OGM se trouve déjà dans les assiettes des Européens Depuis le début des années 2000, le maïs NK603 de Monsanto est autorisé dans l'Union européenne aux fins d'utilisation dans l'alimentation animale et de traitement industriel. Depuis 2005, la mise sur le marché d'aliments et d'ingrédients alimentaires issus de cet OGM est également autorisée. Les produits contenant des OGM, tels les popcorn, sont étiquetés de façon à ce que le consommateur sache s'il consomme des OGM ou non. Mais, avertit Maurice Losch, de Greenpeace, ce n'est pas le cas quand, par exemple, l'OGM est présent dans l'alimentation animale. Philippe Baret, professeur de génétique à l'UCL, était l'invité du chat de la rédaction. En Europe, le maïs NK603 n'est pas autorisé à la culture. Des évaluations contestables L'étude française montre que le maïs OGM NK 603 et l'herbicide Roundup, auquel il résiste, sont très toxiques. Cette nouvelle étude devrait offrir de nouvelles perspectives... Julie Calleeuw

EXCLUSIF. Oui, les OGM sont des poisons ! (Cet article paraît dans le "Nouvel Observateur" daté du 20 septembre 2012) C’est une véritable bombe que lance, ce 19 septembre à 15 heures, la très sérieuse revue américaine "Food and Chemical Toxicology" - une référence en matière de toxicologie alimentaire - en publiant les résultats de l’expérimentation menée par l’équipe du français Gilles-Eric Séralini, professeur de biologie moléculaire à l'université de Caen. Une bombe à fragmentation : scientifique, sanitaire, politique et industrielle. Elle pulvérise en effet une vérité officielle : l’innocuité du maïs génétiquement modifié. Lourdement toxique et souvent mortel Même à faible dose, l’OGM étudié se révèle lourdement toxique et souvent mortel pour des rats. En 2006, c’est comme un véritable thriller que commence cette recherche, dont le maître d’œuvre, Gilles-Eric Séralini, divulgue lui-même les conclusions dans un ouvrage à paraître la semaine prochaine ("Tous cobayes !" Nom de code In Vivo Pathologies lourdes, tumeurs mammaires

Une étude française le montre: les OGM sont hautement toxiques L'étude est publiée ce mercredi dans la revue américaine Food and Chemical Toxicology et reprise par Le Nouvel Obs. L'équipe du professeur a travaillé dans le plus grand secret, craignant des interférences de l'industrie. Les scientifiques ont récupéré des semences de maïs OGM NK 603, propriété de Monsanto, via un lycée canadien. Ils ont ensuite nourri deux cent rats avec des croquettes fabriquées avec les récoltes obtenues. Ainsi, les rats nourris avec le maïs transgénique traité ou non au Roundup, herbicide de Monsanto, ou alimentés avec de l'eau contenant de faibles doses d'herbicide, ont tous été victimes de lourdes pathologies au 13e mois de l'expérience. Les rats OGM ont deux à trois fois plus de tumeurs que les rats non OGM, quel que soit leur sexe. "Pour la première fois au monde, un OGM et un pesticide ont été évalués pour leur impact sur la santé plus longuement que les agences sanitaires, les gouvernements et les industriels ne l'ont fait", a affirmé le professeur Seralini.

Le Roundup de Monsanto, lié à la stérilité, trouvé dans tous les échantillons d’urine analysés 28 janvier 2012 | 1 commentaire(s) | vu 2 364 fois Natural Society , Mike Barrett, via Alter Info Une étude récente menée par une université allemande a trouvé des concentrations très élevées de glyphosate, un produit chimique cancérigène que l’on trouve dans des herbicides comme le Roundup de Monsanto, . La quantité de glyphosate dans l’urine était stupéfiante, chaque échantillon contenant des concentrations . Il s’agit juste d’un exemple de plus montrant que les pulvérisations d’herbicides sont, pour le moins, hors de contrôle. Ces informations arrivent à peine un mois après la découverte de la contamination des nappes phréatiques par le glyphosate du Roundup de Monsanto dans les régions où il est utilisé. Monsanto continue à prétendre que ses produits Roundup sont absolument sûrs pour les animaux et les humains. Ce procédé semble avoir été élaboré non seulement pour ruiner le système agricole, mais pour compromettre aussi la santé de millions de gens dans le monde entier.

OGM et étude de Séralini mise en doute : l'EFSA est une agence qui s'auto-protège Pour l'autorité européenne de sécurité des aliments, "il est peu probable que l'étude [de Séralini] se révèle fiable" (CRIIGEN/AFP) La vraie question n’est pas celle de l’étude de Gilles-Eric Séralini, c’est celle de la responsabilité croissante de l’autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA). Pourquoi ? Un organisme à faible légitimité D’abord parce qu’un pré avis rendu par des fonctionnaires de l’EFSA et relu par seulement deux scientifiques, sans aucun débat contradictoire, n’est pas admissible sur le plan déontologique. Ensuite et surtout parce que les critiques sur la méthodologie suivie par l’étude Séralini, à savoir le nombre d’animaux testés, devraient avant tout être adressées à toutes les études que l’EFSA a validé sans exception depuis 10 ans ; qu’en particulier, l’étude de Séralini n’est pas une étude de cancérogénèse mais toxicologique. L'EFSA ne remplit pas son rôle

Des réunions secrètes à l'UE pour imposer les OGM Le gros problème avec les OGM, c’est que ces cultures se retrouve en pleine nature et polonises les plants existants. Car il faut bien savoir que les semences OGM utilisé actuellement sont des Hybrides et ne donnent de bon résultat qu’en première génération. Ce qui signifie simplement que les plants issues de ces plants ne produiront pas autant que la génération précédant. Il faut donc acheter de nouvelles semences chaque année pour maintenir sa productivité. De plus Monsanto n’a pas seulement modifié une séquence de gênes liés à la vulnérabilité de certains désherbants, mais bien plus que cela ! La mesure de la rentabilité se fait au pied par hectare, en d’autre thermes cela permet de réduire l’espace possible entre chaque plant de mais. Autres nouveauté, bien plus alarmante, est le fait que certaines semences ont été modifié pour ne plus se reproduire (les graines ne peuvent être replanté). Pourquoi ? Les molécules de carbone produit par le mais est retracable dans le corps humain.

Les OGM vantés à l'école | Marie Allard «Nutritifs et résistants, les fruits et légumes seront, dit-on, encore plus savoureux», précise le texte destiné aux élèves de 6e année. «Les pommes n'auront plus de pépins, les fraises seront plus sucrées et plus juteuses et les poires se conserveront plus longtemps. On prévoit aussi intégrer des médicaments et des vaccins dans les aliments.» Coralie a aussi sursauté en lisant son cahier d'exercices de français. «Je suis en désaccord avec ça, a dit la jeune fille, qui consomme des aliments biologiques. «C'est surréaliste, a ajouté Jérôme Plante, beau-père de Coralie et directeur général du distributeur d'aliments biologiques Le Jardin des Anges. «Prospective scientifique» Il s'agit plutôt de «prospective scientifique formulée pour des enfants d'âge scolaire», selon Jean Bouchard, directeur général du Groupe Modulo, éditeur de Cyclades. De faux bienfaits Stéphanie Côté, nutritionniste d'Extenso, centre de référence en nutrition de l'Université de Montréal, a lu les deux extraits.

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