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E-réputation, réseaux sociaux et règles juridiques pour un site internet en 2012

E-réputation, réseaux sociaux et règles juridiques pour un site internet en 2012

Vie privée sur Internet: de nouveaux outils pour les jeunes Avec le lancement de ce site, la commissaire à la protection de la vie privée du Canada, Jennifer Stoddart, veut sensibiliser les jeunes adolescents à certains dangers de la navigation sur Internet. - Photo: Étienne Ranger, Le Droit La commissaire à la protection de la vie privée du Canada, Jennifer Stoddart, veut sensibiliser les jeunes adolescents à certains dangers de la navigation sur Internet. Son bureau a produit une vidéo, ainsi que des documents pour les parents et les professeurs, afin de communiquer les pratiques à adopter pour protéger sa vie privée dans les méandres du cyberespace. Mme Stoddart a affirmé mardi que ces nouveaux outils sont destinés aux jeunes de première et deuxième année du secondaire. La commissaire à la protection de la vie privée avait produit une autre «boîte à outils» pour les jeunes un peu plus vieux l'automne dernier. Les parents devraient aussi prendre en compte le danger que peut représenter un téléphone intelligent pour la vie privée, a-t-elle ajouté.

Axa France publie son « Guide du bon sens numérique » pour aider à l’usage sécurisé des nouvelles technologies Internet guide vie privée La filière française du groupe d’assurance Axa vient de rendre publique les résultats d’un projet initié avec ces collaborateurs visant à exprimer le bon usage des médias numériques et des réseaux sociaux au travers d’un guide complet distillant 20 conseils indispensables pour prévenir les risques numériques. Cela a notamment permis de sensibiliser les équipes françaises d’Axa France aux nouvelles technologies ainsi qu’à leurs bons usages aussi bien en tant qu’activité professionnelle que personnelle. Le guide Axa France du bon sens numérique est le fruit de témoignages et d’expériences recueillies sur une plateforme collaborative auprès du personnel d’Axa France. Parce que de bons conseils avisés ne sont jamais de trop, le Guide du bon sens numérique est disponible et accessible à tous.

Propriété intellectuelle et exception pédagogique Le protocole d’accord du 1er février 2012 (publié au BO n°16 du 19 avril 2012) intitulé « Utilisation des livres, de la musique imprimée, des publications périodiques et des œuvres des arts visuels à des fins d’illustration des activités d’enseignement et de recherche » met fin à une période de presque cinq mois durant laquelle aucun texte officiel ne définissait le domaine de l’exception pédagogique, suite à la fin du protocole d’accord du 8 décembre 2010. C’est un texte complexe qu’il faut lire et relire attentivement pour en comprendre toutes les applications, mais voici plusieurs remarques visant à en simplifier quelque peu la lecture : La catégorie des manuels est remplacée par celle d’ « œuvres conçues à des fins pédagogiques » (OCFP). La numérisation recouvre à la fois la « scannérisation » et la ressaisie de textes. La notion d’extrait ne s’applique plus aux œuvres des arts visuels. Un tableau récapitulatif recense les différents usages pour les différents types d’œuvres.

Les entreprises doivent former leurs salariés aux risques des réseaux sociaux Une large majorité des firmes empêchent leurs employés d'accéder aux sites collaboratifs, pour des questions de sécurité et de productivité. Mais le dialogue et la formation sont souvent plus efficaces. Alors que les réseaux sociaux prennent une place de plus en plus importante dans le quotidien des internautes, les entreprises tentent d'en limiter l'utilisation sur le lieu de travail. Ainsi, près des trois quarts des firmes dans le monde bloquent totalement l'accès à ces plates-formes, selon une étude de Kaspersky. En France, les compagnies seraient un peu plus permissives : 64 % "seulement" empêcheraient leurs salariés de naviguer sur Facebook et autres Twitter. Une sécurité souvent compromise Certaines entreprises ne peuvent s'en passer dans leur stratégie de communication. Des actes simples pour pallier aux principales attaques

MP3, ebooks... on a vérifié, ils ne vous appartiennent pas | Rue89 Culture Rue89 a mis son nez dans les conditions d’utilisation des grandes plateformes de vente de culture numérisée. Prêter un ebook ou un album à un ami ? N’y pensez pas. Un livre en papier ou un CD en plastique, c’est pratique. Quand vous achetez des livres et de la musique numérique (mais également des films, des jeux vidéo ou des séries), que ce soit sur Google Play, Amazon ou l’iTunes Store d’Apple (et sur bien d’autres sites), vous avez simplement le droit de lire le livre ou de regarder votre vidéo. Nous avons épluché les conditions générales de vente et d’utilisation (le texte qui définit les conditions auxquelles vous pouvez utiliser une plateforme ou un service) des grandes plateformes de vente de biens culturels numériques (l’iTunes Store d’Apple, Google Play, Amazon, la Fnac...) pour en dénicher les dispositions surprenantes. Les contenus ne vous appartiennent pas La boutique d’achat de MP3 d’Amazon fait de même : Un livre que vous avez acheté peut être supprimé Google, par exemple :

Les salariés privés de réseaux sociaux ? L’information a été déjà beaucoup reprise, par exemple ici et là, mais impossible de trouver en ligne la méthodologie de réalisation de l’étude en question. Quoi qu’il en soit, le fait que cette information soit reprise est intéressant en soi et en particulier les motifs évoqués pour interdire l’accès à ces plateformes. En premier lieu vient le risque que les salariés dilapident leur temps de travail à discuter avec leurs "amis" sur Facebook de toute autre chose que de travail… ou à twitter à tout bout de champ ce qu’ils font à l’instant "t". Viennent ensuite les questions de sécurité (introduction de virus et diffusion volontaire ou involontaire d’informations confidentielles). Mais, les divers commentateurs du chiffre de Kaspersky s’intéressent surtout à la question de la confiance : en agissant de la sorte, les employeurs ne feraient pas confiance à leurs employés et à leur capacité à limiter de leur propre chef leurs activités extraprofessionnelles sur le lieu de travail.

Exception pédagogique : les accords en 2012 Question : Protocole d’accord transitoire pour l’utilisation des livres, de la musique imprimée, des publications périodiques et des œuvres des arts visuels à des fins d’illustration des activités d’enseignement et de recherche où en est-on à la rentrée 2012 [1] ? Réponse : Le caractère exclusif du droit d'auteur et des droits voisins confère à leur titulaire le droit d'autoriser ou d'interdire toute représentation ou reproduction d'une œuvre ou d'un objet protégé [2]. L'auteur peut négocier cette cession partielle ou totale de droit de reproduction, de représentation, de traduction. L'exception pédagogique, ou plus exactement « l'exception à des fins d'enseignement et de recherche » [3] régie par l'article 122-5 3° point e [4], déroge à ce principe en permettant à l'utilisateur d'effectuer des représentations ou des reproductions sans l'accord de l'auteur. L'auteur créateur de l'œuvre utilisée a droit à une rétribution de son travail [5]. Depuis 2006, six accords ont été conclus.

Réseaux sociaux : sensibilisez vos salariés aux risques Parmi les 72,3% de Français qui se connectent à Internet, 78% sont membres d'au moins un réseau social - Facebook, Viadeo, Twitter... - (*) et 30% posteraient des informations d'ordre professionnel (**). Autant dire que les entreprises doivent rester vigilantes sur ce qui circule sur la Toile. Des commentaires désobligeants dans un cas sur cinq 15% des salariés du privé avouent parler de leur entreprise sur des réseaux sociaux, révèle une enquête menée par Hopscotch, société de relations publiques, et l'institut de sondage Viavoice. Si le chiffre peut paraître faible, il représente tout de même 2,5 millions de personnes dans le secteur privé, souligne l'étude. La judiciarisation, une solution insuffisante 86% des salariés ont conscience qu'ils prennent des risques en parlant de leur entreprise sur les réseaux sociaux. Sensibiliser les salariés à la question Comment alors les entreprises peuvent-elles appréhender ce phénomène ?

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