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"Avec le harcèlement de rue, la ville reste le domaine des hommes" Pourquoi, en tant qu’homme, vous êtes vous intéressé à la question de la femme dans la ville ? Yves Raibaud- Cette question m’a concerné très jeune car j’ai été victime d’un “frotteur frôleur” de métro à 12 ans, souvenir très humiliant que j’avais gardé pour moi, puis dragué et suivi plusieurs fois lorsque j’étais lycéen. Ensuite il m’est arrivé de faire peur à des femmes dans la rue, je m’apercevais qu’elles hâtaient le pas parce que je marchais derrière elles, ce qui m’avait fait adopter la conduite “changer de trottoir” préconisée par Hollaback. Mais c’est réellement ma fonction de chargé de mission égalité femmes-hommes à l’Université Bordeaux-Montaigne qui m’a mis devant l’ampleur et le caractère systématique du harcèlement de rue des étudiantes.
Notre magazine - Français du monde-adfe Notre magazine dans sa nouvelle formule est en ligne : FDM 194 L’apprentissage des langues a bien évolué au cours des années. Sans remonter à l’époque où les familles aristocratiques engageaient une Mademoiselle, une Fräulein ou une Miss pour enseigner leur langue aux enfants de la famille ou plus tard lorsque les jeunes filles de bonne famille étaient envoyées dans un pensionnat en Suisse pour apprendre le français, les motivations pour apprendre une langue ont bien changé.
Top 10 des sites à consulter quand on s’ennuie Au bureau ou en vacances, même constat : vous vous ennuyez comme un rat mort. Et encore, le rat mort, lui a la chance de ne pas ressentir l'ennui, et donc de ne pas se sentir frustré par cet ennui. Mais grâce à Dieu, ce petit top 10 des sites internet sympatoches à consulter lorsque l'ennui vous envahis, vient vous sauver. Vous pouvez très bien les consulter quand vous avez la pêche aussi d'ailleurs ! Pourquoi les pauvres fument-ils toujours autant Campagnes de prévention de plus en plus directes, forte augmentation du prix du paquet de cigarettes, élargissement continu des lieux où il est interdit de fumer : depuis une quarantaine d'années les pouvoirs publics ne lésinent pas sur les moyens engagés dans la lutte contre le tabagisme. Mais les résultats sont-ils au rendez-vous ? Un article récent étudiant la prévalence du tabagisme au sein de trois générations de fumeurs, montre que, si progrès il y a eu, ceux-ci n'ont pas concerné l'ensemble de la population, si bien que les inégalités sociales en la matière se sont aggravées. Au sein de la cohorte la plus ancienne étudiée (les personnes nées entre 1941 et 1955), le tabagisme est en effet, à peu de choses près, également réparti au sein de la population : « A 25 ans, 57 % des hommes non scolarisés ou diplômés de l'enseignement primaire étaient fumeurs alors qu'ils étaient 53 % chez les plus diplômés (trois années ou plus d'études supérieures, ndlr) ». Pour quelles raisons ?
Expérience de Stanford L’expérience de Stanford (parfois surnommée effet Lucifer) est une étude de psychologie sociale menée par Philip Zimbardo en 1971 sur les effets de la situation carcérale, ayant eu un très grand écho social et médiatique. Elle fut réalisée avec des étudiants qui jouaient des rôles de gardiens et de prisonniers. Elle visait à étudier le comportement de personnes ordinaires dans un tel contexte et eut pour effet de montrer que c'était la situation plutôt que la personnalité autoritaire des participants qui était à l'origine de comportements parfois à l'opposé des valeurs professées par les participants avant le début de l'étude.
Livres, boutiques, vidéos... Enquête sur le business Alain Soral Robin D'Angelo et Mathieu Molard sont journalistes pour StreetPress. Dans une enquête fouillée à paraître en septembre, ils révèlent les dessous du florissant business d'Alain Soral... En voici des extraits.
Le capitalisme ne rend pas heureux Le capitalisme fait décidément des ravages. En Europe, la montée de la pauvreté et de l’insécurité économique ouvre les portes du pouvoir à des partis anti-libéraux et autoritaires, note Nouriel Roubini. Mais le capitalisme s’avère même incapable d’assurer le bien-être des populations, que ce soit du fait des mauvais tours que nous jouent les marchés (George Akerlof et Robert Shiller) ou de l’incapacité de l’argent à nous rendre heureux (Angus Deaton, Daniel Kahneman, et Jean Gadrey). Le travail du sexe contre le travail Alors que dans les pays anglophones, le terme de « sexwork » est devenu tout à fait courant, on constate de grosses réticences à parler de « travail sexuel » chez les intellectuel-le-s et militant-e-s francophones. Que ce soit chez les prohibitionnistes pour qui la prostitution n’est ni un métier ni un travail mais une violence, une atteinte à la dignité des femmes – comme si le « travail » et la « violence » s’excluaient mutuellement – ou chez celles et ceux qui, à l’exemple de Lilian Mathieu, s’opposent à cette prohibition tout en conservent un certain « scepticisme devant la revendication d’une reconnaissance du “travail du sexe”» : ce refus de parler de travail du sexe semble symptomatique des difficultés que rencontrent notamment une partie de la gauche et des féministes à penser le travail des femmes. Si la thématique suscite certes un intérêt croissant, ces difficultés ne sont pas nouvelles.
«Raqqa est une prison sous les bombes» Il y a encore cinq ans, la moitié des Syriens ne savaient pas situer Raqqa sur la carte de leur pays. La ville fut pourtant, jadis, la capitale d’été du célèbre vizir Haroun al-Rachid. «Même le présentateur de la météo à la télévision syrienne avait du mal à placer le nuage prévu au-dessus de la ville, ironise un de ses habitants réfugié en Turquie. Aujourd’hui, Obama évoque le carrefour Al-Naim [principale place des exécutions publiques menées par les hommes de l’Etat islamique, ndlr], Hollande dit avoir frappé le "stade noir" et des dizaines d’avions de reconnaissance qui coûtent des millions de dollars scrutent les caniveaux. Raqqa occupe les discussions au sommet du G20 à Antalya, ils pourraient au moins nous inviter, ces goujats !