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Entreprise Info Service - Covid-19 : quel avenir pour l'économie ?

Entreprise Info Service - Covid-19 : quel avenir pour l'économie ?
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Coup de chaud sur les matières premières Du cuivre, à l’étain, en passant par le blé, le maïs, l’huile de palme ou le soja, sans oublier le pétrole ou le fer, tous ces produits ont un point commun : leurs prix connaissent une forte poussée de fièvre. Depuis l’automne 2020, les cours des matières premières ont commencé à s’enflammer. Et la tendance se poursuit en ce début d’année 2021. Article réservé à nos abonnés Lire aussi « Les investisseurs, gagnés par la fièvre acheteuse, font flamber les cours de l’étain » A cet égard, le cas de l’étain est exemplaire. Les matières premières agricoles ne sont pas en reste. Ces évolutions se traduisent par une hausse continue du prix des denrées alimentaires de base, un indice publié tous les mois par la FAO, l’agence des Nations unies chargée de l’agriculture et de l’alimentation. Ce retour de flamme généralisé a conduit les banques américaines Goldman Sachs, puis JPMorgan à évoquer un nouveau « supercycle des matières premières »

DIRECT. Plan de relance européen : la France devrait obtenir 40 milliards d'euros de subventions, selon Bruno Le Maire Retrouvez ici l'intégralité de notre live #RELANCE 09h44 : Bruno Le Maire a précisé que ces 40 milliards de subventions européennes sont inclus dans les 100 milliards d'euros du plan de relance du gouvernement français. Ce plan sera dévoilé le 24 août prochain. Voici un extrait de l'interview du ministre de l'Economie sur franceinfo ce matin. 09h40 : Bonjour @a. 09h40 : 40 sur 750 milliards ?? 09h21 : Fumée blanche à Bruxelles. 09h11 : Voici le point sur l'actualité à 9 heures : • La France devrait obtenir 40 milliards d'euros de subventions dans le cadre du plan de relance validé cette nuit par les dirigeants de l'UE, annonce Bruno Le Maire. • Une semaine après la signature d'accords sur les salaires dans le secteur hospitalier, le gouvernement doit dévoiler aujourd'hui ses propositions pour améliorer le fonctionnement et l'organisation du système de soins français, à l'occasion de la clôture du "Ségur de la santé". 08h11 : L'interview de Thierry Breton sur franceinfo est terminée.

Le vélo « made in France », une lente renaissance « Vélo fabriqué en France » : voici une promesse séduisante, gage de proximité, de qualité et de durabilité. Celui qui acquiert un vélo français non seulement ferait un geste vertueux pour la planète, mais se poserait aussi en protecteur de l’emploi local et en apôtre de la sobriété, soucieux de ne pas importer des marchandises du bout du monde, dans des porte-conteneurs propulsés aux hydrocarbures. Plusieurs marques françaises jouent sur la localisation hexagonale de leur production, comme Mercier, qui vient d’annoncer son arrivée dans les Ardennes, ou l’usine de la Manufacture française du cycle située à Machecoul-Saint-Même (Loire-Atlantique). Elles espèrent profiter de la forte expansion du marché du vélo, constatée avant même la progression de l’usage observée en 2020. Jusqu’alors, le nombre de vélos vendus, 2,6 millions par an, évoluait peu, mais le chiffre d’affaires du secteur, 2,33 milliards d’euros en 2019, progresse de 13 % depuis 2017.

Le marché du sucre, au bord de l'implosion ? Vous êtes peut-être en train de prendre votre petit-déjeuner. Regardez bien le morceau de sucre que vous vous apprêtez à diluer dans votre café ou votre lait chaud : il traverse même une tempête. Le cours du sucre est particulièrement chahuté en ce moment, son prix s'étant effondré de 30 % depuis le début de l'année. Pourtant, cette tendance n'a aucun lien avec un éventuel mouvement spéculatif. Pour cause, 80 % des transactions ne se font pas en bourse, mais par contrat de gré à gré entre les producteurs de cannes à sucre et l'industrie agro-alimentaire. Depuis l'automne dernier, le marché n'est plus régulé de la même façon. Un marché saturé Alors que le marché européen est saturé, la culture de la canne à sucre est en plein boom en Asie, grâce à une météo très favorable. En France, la taxe soda vient d'être alourdie pour inciter les fabricants à diminuer le taux de sucre dans leur boissons.

Coronavirus et chômage partiel : que changent les annonces du gouvernement ? Que va changer l'annonce du gouvernement concernant le chômage partiel ? Le ministère du Travail a expliqué ce lundi 25 mai que les entreprises paieront 15% du chômage partiel à partir du 1er juin "afin d'accompagner la reprise de l'activité économique". La prise en charge du chômage partiel par l'État et l'Unédic passera de 100 à 85% de l'indemnité versée au salarié, dans la limite inchangée de 4,5 Smic, indique le ministère dans son communiqué. Toutefois, cela ne changera rien pour le salarié puisque l'indemnité versée reste la même : pendant l'activité partielle, il perçoit au minimum 70% de sa rémunération brute (environ 84% du salaire net) et au minimum le SMIC net. Cette mesure sera mise en œuvre par décret, après l'adoption d'un projet de loi en cours d'examen au Parlement qui permettra notamment une modulation du dispositif selon les secteurs d'activité. Plus de 8 millions de salariés au chômage partiel en avril Lire la suite

En Italie, l’attelage hétéroclite du gouvernement de Mario Draghi L’entrée en fonctions d’un président du conseil est un rituel codifié, comportant ce qu’il faut de lenteurs pour que les observateurs aient le temps de scruter le moindre détail. Certains cherchent, en profitant de ce moment d’attention maximale, à marquer les esprits, comme Giuseppe Conte. Pour son intronisation, en 2018, ce dernier était arrivé au palais du Quirinal en taxi, refusant de façon un peu théâtrale le confort feutré des voitures aux vitres teintées que les partis « antisystème » ont l’habitude de critiquer comme l’un des mille et un privilèges de la caste des puissants. Son successeur, Mario Draghi, s’est refusé, vendredi 12 février, la moindre fioriture. Tout juste les commentateurs des chaînes de télévision auront-ils relevé, en le voyant apparaître sur l’esplanade, que l’ancien président de la Banque centrale européenne (BCE) s’est présenté, comme à son habitude, en veste, sans manteau. Lire notre éditorial : Mario Draghi, le pari politique de l’Italie

L’irrésistible hausse des prix de l’énergie Le monde a de nouveau soif de pétrole, de gaz, d’électricité et de charbon pour faire fonctionner ses usines, ses centrales thermiques et ses transports. La reprise économique est solidement installée en Europe, en Asie et en Amérique du Nord, et la forte demande en énergie tire depuis des mois les prix vers le haut. Article réservé à nos abonnés Lire aussi Commerce mondial : la Chine tire le mieux son épingle du jeu A commencer par ceux du pétrole, ce qui permet aux entreprises du secteur de renouer avec des résultats exceptionnels. La compagnie publique Saudi Aramco a ainsi annoncé, dimanche 8 août, un bénéfice de 25,5 milliards de dollars (21,7 milliards d’euros) au deuxième trimestre, quatre fois plus qu’un an auparavant. Le pétrole : cher et volatil Lire aussi L’OPEP et ses partenaires s’accordent sur une légère augmentation de la production de pétrole Le gaz : la Russie, la demande et les stocks

Les questions que pose le plan de relance automobile Emmanuel Macron est arrivé mardi après-midi dans une usine Valéo à Etaples, près du Touquet (Pas-de-Calais), pour annoncer un plan de soutien "massif" à la filière automobile, qui souffre de la crise du coronavirus, a constaté une journaliste de l'AFP. Accompagné des ministres de la Transition écologique Elisabeth Borne et de l'Economie Bruno Le Maire, le chef de l'Etat va visiter les chaînes de l'usine spécialisée dans les alternateurs électriques, avant de prononcer un discours dans l'après-midi. Selon des sources concordantes, les mesures annoncées devraient inclure le renforcement de la prime à la conversion, une sorte de prime à la casse. Le bonus écologique devrait être augmenté pour atteindre 7.000 euros pour l'achat de véhicules électriques par les particuliers. - Pourquoi un tel plan ? La pandémie de Covid-19 a provoqué un arrêt brutal du commerce automobile. - Quelles mesures ? - Des débats inévitables L'efficacité économique des mesures nécessitera une coordination européenne.

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