Vivagora, un nouvel organe de débat implanté dans le corps social Amiante, nanotechnologies, biologie de synthèse, OGM, gaz de schiste… Notre société est mal organisée pour faire face aux risques engendrés par les avancées scientifiques et technologiques. Une association courageuse et salutaire, Vivagora, tente de combler ce vide. Mais ses efforts sont encore mal reconnus par les pouvoirs publics. L’association Vivagora, née en 2003, milite pour mettre en discussion les développements scientifiques et technologiques. Laboratoire d’idées et de pratiques, rompue à la gestion de la controverse, elle favorise le dialogue général pour que ces développements « contribuent à la qualité de la vie et à l’autonomie des personnes ». Comment faire en sorte que les projets techniques et scientifiques soient soutenables, d’un point de vue social, sanitaire et écologique ? Vivagora s’efforce de combler un vide laissé par le système parlementaire, judiciaire et institutionnel. « Collusion organisée entre industriels, politiques et institutions de recherche »
Business du "débat citoyen" : quand Vivagora dupe ses partenaires Notre secret, c’est de tout dire. Nous avons reçu d’un lecteur un document que nous ne voudrions vous cacher pour rien au monde (voir ci-dessous). Il s’agit d’un courrier électronique de Yann Fiévet, président d’Action Consommation et membre de l’ACEN (Alliance citoyenne sur les enjeux des nanotechnologies), aux membres du bureau de cette association, qui viennent de voter leur propre dissolution. L’ACEN a été créée en 2009 à l’instigation de Vivagora, officine d’acceptabilité des nouvelles technologies. Vivagora et sa déléguée générale Dorothée Benoit-Browaeys ont sévi à Grenoble en 2007 ; la Communauté d’Agglomération Grenoble Métropole les ayant payées 23 000 euros pour organiser un cycle de pseudo-débats “NanoViv”, en réponse à la manifestation contre l’inauguration de Minatec. Patatras. Le business du bourrage de crâne citoyen est un créneau d’avenir. (1) cf Aujourd’hui le nanomonde n°15 : Message électronique De : Yann Fiévet Bonjour à tous,
VivAgora - Débattre de la biologie de synthèse MARSOUIN.ORG L’originalité d’OPSIS est d’associer à la construction de ses enquêtes des chercheurs en sciences humaines et sociales et ainsi de proposer des questionnaires enrichis des problématiques de la recherche scientifique. OPSIS est l’observatoire des usages, des outils et techniques liés aux technologies de l’information et de la communication, de M@rsouin, au service des chercheurs et des acteurs bretons. Acteur dans la réflexion prospective sur la Société de l’Information, l’observatoire régional breton mesure en particulier les évolutions du niveau de déploiement et d’appropriation des TIC, en Bretagne, mais aussi en France. Les missions de l’observatoire Opsis publie très régulièrement des chiffres repères et des indicateurs synthétiques pour une bonne compréhension des évolutions sociétales notamment en matière d’usages (et de non usages) des TIC. Il participe activement à l’édition du panorama des TIC en Bretagne qui pointe la progression des usages. Les compétences Contacts
vivagora - A la une ! Lanceurs d’alerte : les scientifiques en première ligne - Lanceurs d'alerte: Les scientifiques en première ligne - 2011-10-06 Lanceurs d'alerte: Les scientifiques en première ligne Réchauffement climatique, biodiversité, OGM, substances chimiques nocives, ondes électromagnétiques émises par les antennes... de nombreux chercheurs ont ces dernières années alerté l’opinion sur des risques liés à des développements économiques et industriels, à l’utilisation de nouvelles technologies ou à l’évolution de nos modes de vie. Comment leur parole est-elle reçue dans le débat public ? Subissent-ils des préjudices en retour ? Faut-il une protection juridique pour les chercheurs qui lancent l’alerte ? Comment garantir l’indépendance de l’expertise ? Débat organisé à l’occasion de la parution récente de l’ouvrage Le Climat à découvert, qui livre un panorama large des méthodes et outils mis en oeuvre pour étudier notre climat et son avenir. Intervenants: - Jean Foyer, Sociologue Chercheur CNRS à l’Institut des sciences de la communication du CNRS (ISCC) Spécialiste des controverses autour des biotechnologies