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La taxonomie révisée (1991)

La taxonomie révisée (1991)

Comprendre l'apprentissage pour enseigner Nous partirons de l’un de nos principes : Enseigner, c’est mettre en place des situations (des dispositifs, des situations-problèmes, des activités … et pourquoi pas un bon exposé de synthèse) dans lesquelles l’étudiant(e) pourra apprendre. Ce « pourra » marque son intentionalité et une certaine indétermination. Nous nous baserons aussi sur une vidéo » Teaching teaching & Understanding understanding » qui tout à la fois inspire et illustre notre propos. « Teaching Teaching & Understanding Understanding » is an award-winning film about university and tertiary teaching generally. We follow Susan and Robert in their studies. Le livre peut être examiné sur Scribd : Teaching for Quality Learning at University on Scribd Bien. I. Le défi pour l’enseignant est d’engager Robert dans un apprentissage en profondeur. Quelques points de cette première partie dont je vous propose un développement à présent (le point de vue des étudiants) : - Apprentissage en surface et en profondeur 1. II. III. IV.

La taxonomie DISCAS La taxonomie de DISCAS est un effort pour regrouper, à partir de l'examen des divers programmes d'études, les diverses habiletés et attitudes sollicités chez l'élève dans l'ensemble du curriculum. Ces 18 processus génériques, situés dans le tableau ci-dessous, constituent la taxonomie de DISCAS. Les 18 catégories (les 18 verbes, si l'on préfère) se retrouvent sous la colonne Processus, puisque ces verbes désignent, selon le cas, des processus cognitifs ou psychomoteurs (des habiletés) ou des processus affectifs (des attitudes) auxquels recourt l'élève dans ses divers apprentissages. Des exemples de verbes de comportement correspondant à chacun des processus se retrouvent dans la colonne voisine: Exemples de comportements. Chacun des 18 processus est cliquable et donne accès à la fiche descriptive détaillée du processus en question.

les théories de l'apprentissage : si on parlait pédagogie 1. Tentons de travailler avec les apprenants plutôt que de nous acharner à agir sur eux ..... Un scénario qui tient compte de l'apprenant, être global. Assurons la mise à jour de nos connaissances sur ce qu'est apprendre si nous ne voulons pas rester prisonniers de nos vieux schèmes, de nos vieilles croyances. Nos connaissances sur la façon dont le cerveau fonctionne et, par conséquent, sur la façon dont une personne apprend ont beaucoup évolué grâce surtout aux progrès réalisés dans les sciences cognitives et à l'apport des découvertes amenées par les neurosciences .... ( voir D. De la même manière qu'il est impossible d'imaginer un médecin qui refuserait de prendre en considération les découvertes de la biologie pour soigner les malades, il est impensable que les formateurs ne cherchent pas à intégrer à leur pratique les découvertes des sciences cognitives et des neurosciences pour faire apprendre leurs apprenants. 1. 2. A. B. 3. B. C. D. 4. L'important est ici : 5. A. B. C. D. E. F.

Andragogie 1. Différences entre pédagogie et andragogie Le contexte d’apprentissage des enfants et des adultes varient en différents points : 2. Pour apprendre efficacement, l’adulte doit : Etre motivé Les motivations peuvent être très variées : satisfaction professionnelle, évolution professionnelle attendue, développement de ses compétences, plaisir d’échanger avec d’autres, goût pour apprendre, etc Se sentir intégré dans le groupe En effet, les échanges entre pairs sont un des leviers majeurs d’apprentissage des adultes. Comprendre Attention aux mots compliqués, aux abréviations, aux jargons … ! Agir Plus l’adulte est passif, moins il a de chance d’apprendre. Faire le lien entre la formation et sa pratique L’adulte en formation doit en permanence faire des rapprochements entre sa pratique et les apports de la formation, qui viennent parfois en contradictions avec ses habitudes. Donner du sens à son apprentissage L’adulte a besoin de savoir où il va, pourquoi et comment il va ou comment on l’y mène. 3.

Theo van Gogh marchand de tableaux, collectionneur, frère de Vincent Vincent van GoghEugène Boch© RMN-Grand Palais (Musée d'Orsay) / Hervé Lewandowski La légende a fait de Vincent van Gogh un solitaire. En réalité il eut un double, son frère Theo avec lequel il partagea sa passion pour l'art et qu'il initia aux recherches picturales les plus audacieuses. Commissaires John Leighton, directeur du Vincent van Gogh Museum d'Amsterdam et Henri Loyrette, directeur du musée d'Orsay Cette exposition a été organisée par la Réunion des musées nationaux, le musée d'Orsay et le Van Gogh museum, Amsterdam et réalisée grâce au soutien de Fortis Investment Management Publications

L’expérience client : bien plus que du marketing! / ms - mg 09/08/13 Mettre en place une stratégie client qui permet de développer une vraie expérience client, c’est modifier la culture et repenser les processus internes de votre organisation pour mettre le client au cœur de votre stratégie. Attirer c’est bien, mais retenir c’est mieux! Dans plusieurs organisations, c’est encore le marketing qui élabore le positionnement qui dictera l’expérience client afin d’attirer de nouveaux consommateurs pour augmenter le chiffre de vente à court terme. Voici les facteurs clés de succès pour développer une expérience client : 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. Ainsi, pour développer une stratégie axée sur vos clients, vous devez élaborer une vraie expérience client et non pas un simple positionnement marketing. Rappelez-vous que vos clients doivent être au cœur de chacun de vos processus et stratégies d’affaires. Ajouter à mon classeur

Ericksonienne La pratique de Milton H. Erickson, psychiatre et psychologue, est si connue qu’elle a inspiré de nombreux centres de formation et donné naissance à un courant très largement répandu en France : l’hypnose ericksonienne. Qui est Milton H. Erickson ? Milton H. par Didier Michaux (2011) © Institut Français d’Hypnose Psychiatre américain, Erickson utilise très tôt l’autohypnose comme un outil dans sa propre lutte contre une paralysie motrice et sensorielle de tout le corps apparue dans le cadre d’une poliomyélite. La pratique de l’hypnose avant Milton H. Jusqu’aux travaux de Milton Erickson, la pratique hypnotique était fondée sur des suggestions dans lesquelles l’hypnothérapeute proposait directement au patient la solution d’un problème. Un tournant dans la pratique de l’hypnothérapie : Erickson et l’hypnose ericksonienne L’hypnose ericksonienne : Un patient acteur de sa guérison Avec Erickson, l’hypnothérapeute ne se sent plus dans la nécessité de fournir une solution à son patient.

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