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Dépendance affective et besoins humains

Dépendance affective et besoins humains
D. Le vrai problème de la "dépendance affective" On parle habituellement de "dépendance affective" lorsqu'une personne dont les besoins affectifs sont urgents et intenses répète constamment un scénario non satisfaisant qui la conduit à une impasse. Mais ces caractéristiques ne sont pas réservées aux personnes qu'on étiquette "dépendantes affectives". Toute personne arrive à l'âge adulte avec des déficits affectifs substantiels. C'est à la longue, si cette recherche demeure stérile, qu'elle devient destructrice. Ce n'est pas d'avantage le fait de choisir des personnes peu adéquates pour combler ses besoins qui est le vrai problème. Mais si ce n'est ni le besoin, ni le choix des personnes pour y répondre qui sont problématiques, où donc est le problème? Ce qui est au coeur du problème, ce qui en fait un comportement pathologique, c'est le fait de ne pas porter son besoin. Ceci n'est pas toujours bien clair. Mais justement, il ne s'agit pas de faire plus, mais de faire autrement. 1. 2.

Sérénité : Accepter ses émotions : La pensée positive, parce qu’elle ne permet pas de s’ajuster à la situation actuelle, peut être « un déni de réalité, résume Jean-François Gravouil. Pour ne pas être confronté à ce qui nous menace ou nous fait peur, nous refusons de voir ce qui, dans le réel, nous dérange ». Nous l’édulcorons pour être, provisoirement, en paix, mais nous courons en fait à la catastrophe. « Nous avons beau nous dire que la route est droite, s’il y a un virage, nous allons finir dans le décor », illustre-t-il. « Les pensées positives comme les négatives sont deux voies dangereuses et stériles, poursuit le gestalt- thérapeute. Cette injonction moderne à positiver, à faire bonne figure, permet aussi par- fois de museler tout discours un peu trop contestataire. « C’est plus facile, mais c’est assez infantile », observe encore Jean- François Gravouil. L'angoisse est humaine Savez-vous maitriser vos émotions ? « À l’inverse, il peut être tout à fait inopportun de positiver.

Se renier par la DA C. Deux exemples 1. Les malheurs de Julie Julie ne comprend pas pourquoi elle se lie régulièrement à des hommes qui ne l'aiment pas vraiment, qui ne sont là que pour le sexe et que pour l'exploiter. Julie occupe un poste en vue. Avec ses amants elle est généreuse; elle leur ouvre les portes dans la société et les comble de cadeaux. Elle oublie qu'ils la quittent de toutes façons! 2. Bruno a choisi il y a longtemps d'être un "gentil garçon". Bruno est sensible.

Accueil Oserchanger.com La DA, où ne pas savoir dire "non" Dès la naissance, les êtres humains créent des liens affectifs avec leur entourage. À l’adolescence, les liens amoureux entrent en scène et c’est à ce moment qu’une problématique peut frapper. Cette recherche portera donc sur cette problématique, soit la dépendance affective. Il convient d’abord de préciser la population visée et ce qu’est la dépendance affective en détail. En somme, cette recherche parlera de la dépendance affective chez les femmes Québécoises, face au conjoint, et du type où le conjoint est responsable de leur bonheur. La source du problème La source du problème résiderait dans l’enfance des sujets. Est-ce de l'amour ou de la dépendance affective? Il peut parfois être difficile pour ceux qui ne connaissent pas cette problématique de bien faire la différence entre les deux. Les caractéristiques de la dépendante affective, les "symptômes" Une autre explication possible serait une interversion des besoins les plus importants au niveau de la pyramide de Maslow. Attention!

Hyperactivité Adulte TDAH TDA Déficit d'Attention Probleme concentration Procrastination Cyclothymie Impulsivité Ritaline Coaching Apprendre à m'aimer (Sortir de la dépendance affective) C- Parvenir à m'aimer Ce titre me déplaît car il n'est pas juste de dire qu'on apprend à s'aimer. S'aimer veut dire qu'on a de l'estime pour soi et qu'on se veut du bien. L'estime de soi, comme celle qu'on porte aux autres, repose sur une évaluation. Il est donc plus juste de dire qu'on arrive à s'aimer en gagnant sa propre estime. Pour apprendre à s'aimer ou pour se donner cet amour de soi, certains auteurs recommandent de se faire plaisir. Je ne pense pas que c'est ainsi qu'on devient important pour soi. Tout comme on n'est pas porté à passer du temps avec une personne qu'on n'aime pas, on ne trouve pas particulièrement agréable de passer du temps avec soi-même si on est une personne qui ne s'aime pas. Que reste-t-il alors? 1. Il n'est pas nécessaire de m'aimer pour porter attention à ce que je ressens, il s'agit de le décider et de me discipliner à le faire. Pour me découvrir En tant que "dépendant affectif" j'ai tendance à mettre beaucoup d'énergie à me faire accepter par l'autre.

Psychologie Positive DANS LES REVUES SCIENTIFIQUES RECENTES Voir également la rubrique ARCHIVES (tout en bas de la colonne de gauche) Pour quelles raisons les adolescents se sentent-ils aimés par leurs parents ? La testostérone ne mérite pas sa mauvaise réputation Les principales caractéristiques de la compassion (en préparation) Pourquoi l’amitié nous rend-elle heureux ? (en préparation) La criminologie positive, une nouvelle perspective pour le 21e siècle (en préparation) La force de l’empathie Etre heureux réduit le risque de mortalité Avoir un animal domestique, c’est bon pour la santé physique et mentale ! La satisfaction de la vie chez les enfants et les jeunes Une forme de résilience : l’altruisme né de la souffrance Le travail social auprès des familles, basé sur les ressources de celles-ci Si vous êtes chaleureux, les autres le seront avec vous APPELS A CONTRIBUTIONS, BOURSES, etc. Pour sauver notre planète, faisons preuve d’empathie ! Imaginer être altruiste rend altruiste ! Et la bienveillance ? Bien vieillir

Ces femmes qui aiment trop, R. Norwood L'auteur de "Ces femmes qui aiment trop" assimile la forte attirance du "dépendant affectif" à une pathologie comme la dépendance à l'alcool ou à la drogue de l'alcoolique et du toxicomane. Ce rapprochement est, à mon avis, dangereux et largement injustifié. En laissant croire que la "dépendance affective" équivaut à une pathologie, on empêche de trouver des solutions saines aux insatisfactions affectives et aux façons de réagir qui la composent. On laisse croire qu'il s'agit d'une maladie plutôt que d'une tentative maladroite de trouver satisfaction. On prive ainsi la personne de tout moyen réel d'y remédier par elle-même. Alexandra BERNèDE

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