Bois Raméal Fragmenté Un article de Ékopédia, l'encyclopédie pratique. Le Bois Raméal Fragmenté (dits BRF ou encore bois raméaux fragmentés) est le nom donné à un mélange de résidus de broyage de rameaux de bois frais (branches). Par sa couverture du sol et son apport en lignine, il favorise le développement d'humus qui permet de limiter, voire de supprimer, le labour, les apports d'engrais et l'irrigation. En utilisant des branches fraîchement broyées et répandues rapidement au sol, une pédofaune et une pédoflore vont s'installer et ainsi reproduire les mêmes mécanismes que la forêt, laquelle est autosuffisante. Les BRF sont considérés comme des aggradants (on parle alors d'aggradation à l'inverse de dégradation) et présentent donc un matériau de premier choix pour restaurer les sols épuisés. La culture sur B.R.F permet de neutraliser les principales maladies dont sont victimes les tomates (exemple, la Fusariose). Définitions Vue des basidiomycètes dans le sol Vue des basidiomycètes Basidiomycètes Mycélium Intérêts
L’élevage, un outil pour un futur post-industriel | 1+1=salade ? J’aimerais dans cet article résumer ce que j’ai pu écrire précédemment sur les avantages d’un certain type d’élevage, et rajouter quelques nouveaux éléments, pour la plupart empruntés au livre Meat, a Benign Extravagance de Simon Fairlie. Ce billet ne concerne pas le véganisme, mais comme je veux montrer l’intérêt et les conséquences de l’élevage, il est utile de voir ce qui se passerait dans un monde sans élevage. Que se passerait-il si demain le monde devenait subitement vegan ? Beaucoup de choses, mais l’une est particulièrement intéressante, et déduite des chiffres de la FAO (encadré 5.1) : si le monde devenait subitement vegan, il n’y aurait pas plus de protéines disponibles pour l’alimentation humaine au niveau mondial (1). Comment cela est-il possible, au regard des énormes quantités de maïs et de soja détournés par l’élevage ? Vache urbaine, Inde * Élevage de poule en permaculture (4) Système sylvo-pastoral en Espagne, la dehesa * Quelle utilisation pour nos territoires ? J'aime :
Les Paniers d'Endoume Loss Of Animals' Poop Disrupts Nutrient Cycles, New Study Shows Believe it or not, we rely more heavily on animals' feces than you would think. Essentially, the poop from wild animals keeps the planet fertile by transporting nutrients deep from the ocean floor all the way to mountain tops, a recent study revealed. This makes the extinction of large animals even more devastating. "This once was a world that had ten times more whales; twenty times more anadromous fish, like salmon; double the number of seabirds; and ten times more large herbivores--giant sloths and mastodons and mammoths," Joe Roman, a biologist at the University of Vermont (UVW) and co-author of the recent study, said in a news release. The ability of animals to readily transport nutrients over a wide area has significantly decreased since the mass extinction following the end of the last ice age, according to researchers from UVM. Basically, the more animals eat, the more they poop. So how do nutrients cycle through different ecosystems?
Quatre adolescentes africaines Créer un générateur de Pee-Powered | Vivre BON In the past week or so since Hurricane Sandy devastated a large portion of the East Coast, we've seen people get creative about ways to harness power. From sharing outlets on the street , to using bikes as generators , people have come up with innovative ways to charge their cell phones and other items necessary for everyday life. While these ideas were resourceful, none of them are nearly as outside-the-box as what four African teenage girls came up with: a pee-powered generator. During the Maker Faire Africa , in Lagos, Nigeria on November 5 and 6, 14-year-olds Duro-Aina Adebola, Akindele Abiola, Faleke Oluwatoyin, and 15-year-old Bello Eniola presented their unique proposal. According to The Next Web , here's how it works: Urine is put into an electrolytic cell, which cracks the urea into nitrogen, water, and hydrogen. The hydrogen goes into a water filter for purification, which then gets pushed into the gas cylinder. This purified hydrogen gas is pushed into the generator.
FondsGoetheanum - Voilà pourquoi le fumier de vache est un engrais si précieux Aucun animal cornu n’est pas ruminant, et presque tous les ruminants ont des cornes. De là à penser qu’il y a une relation entre ces deux réalités, il n’y a qu’un pas. La vache, en tant que ruminant, a quatre estomacs. Le bovin est un animal hautement spécialisé dans la digestion, et c’est bien nécessaire quand on sait qu’une vache mange chaque jour environ 100 kilos d’herbe en été, et l’équivalent de foin en hiver. Elle digère toute cette herbe et la transforme en lait et en viande, produisant en même temps un fumier de haute valeur qui favorise la formation d’humus stable dans les sols, et donc leur fertilité à long terme. Les cornes poussent à partir de l’âge où le veau commence à manger du foin et de l’herbe.
Localisme Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Local. Affichage de la provenance locale des produits dans un bar à Rennes. Le localisme (du latin locus, lieu) est une doctrine qui consiste à privilégier ce qui est local sans toutefois se fixer de limites frontalières, afin de favoriser la démocratie participative, la cohésion sociale et l'économie de proximité, donc l'emploi local et la préservation de l'environnement via une moindre empreinte écologique liée au transport de personnes et de marchandises. Histoire[modifier | modifier le code] Apparu au XXe siècle, le concept de localisme s'est fortement inspiré des écrits de Leopold Kohr, Ernst Friedrich Schumacher, Wendell Berry et Kirkpatrick Sale, parmi d'autres. Au cours des années 1980, une tendance localiste s'est développée aux États-Unis visant à privilégier la consommation de produits locaux. Application opérationnelle[modifier | modifier le code] Fondements[modifier | modifier le code]
Regenerating Grassland: Comparison Photos of Holistically Managed Land Versus Conventionally Managed Land Grasslands LLC is the managing partner of The Savory Institute. Grasslands LLC is holistically managing a total of 160,000 acres in Montana, Hawaii, South Dakota, and New Zealand. Grasslands LLC is also providing support and consulting services to another 350,000 acres in the U.S. Holistic Management is practiced on over 40 million acres around the world. The results are amazing. Here are some before and after photos of some of these sites, with descriptions we've edited from the original postings on PlanetTech. The photo above is South Africa (Karoo country) showing desertification with low stocking rates and conventional grazing on the right, and high stocking rates using Holistic Management on the left. Check out the two pictures below. The photo above and the photo below were taken on the same day about 3 miles apart in Chihuahua. The photo below was published on Hut With a View, along with some other good before and after shots.
Les vols d’étourneaux fonctionnent comme des systèmes critiques Cet article présente admirablement les systèmes d’interaction et de communication organisant l’action de certains groupes d’animaux grégaires. Il est repris du site Ornithomedia.com, où on le trouvera dans sa version originale. Nous remercions Ornithomedia de nous avoir autorisé à le reproduire dans le cadre de nos recherches sur les nouveaux modèles scientifiques concernant les manières de fluer dans les systèmes complexes. Les grands groupes d’Étourneaux sansonnets (Sturnus vulgaris), qui se forment notamment en hiver près des dortoirs, nous émerveillent : ils volent de façon coordonnée comme s’ils ne formaient qu’un seul être, réagissant tous ensemble de façon quasi-instantanée. Les résultats d’une étude intitulée « Scale-free correlations in starling flocks » menée par des chercheurs italiens ont été publiés en ligne le 14 juin 2010 dans la revue Proceedings of the National Academy of Sciences (PNAS). Qu’est-ce qu’un système critique dans la nature ? Pour illustrer cette théorie, P.
Un cas rare de mutualisme entre hommes et animaux sauvage « Il en faut peu pour être heureux : quelques rayons de miel et de Soleil », chante Baloo dans le Livre de la Jungle. Cet adage n’a jamais été aussi vrai que pour les chasseurs de miel de la tribu Yao au Mozambique, et pour les grands indicateurs, des oiseaux qui les aident à dénicher les ruches dans les arbres de la réserve nationale de Niassa. Claire Spottiswoode, de l’Université de Cambridge, et ses collègues ont montré qu’un son spécifique émis par les chasseurs de miel mozambicains est à la base de cette coopération. Les grands indicateurs (Indicator indicator, ou honeyguides en anglais) sont une espèce d’oiseau endémique de l’Afrique subsaharienne. Mais comment fonctionne cette collaboration ? Les chercheurs se sont penchés plus en détail sur ce mode de fonctionnement. Claire Spottiswoode et ses collègues ont ensuite voulut déterminer si le son spécifiquement émis par les chasseurs fournit des informations concrètes aux indicateurs.
Permaculture, la méthode de Sepp Holzer Pionnier de l'agroécologie, Sepp Holzer dont la ferme est installée au sud de Salzbourg (Autriche), est à l’origine d’une des plus belles réussites en permaculture. Sa philosophie ? Il faut miser sur la biodiversité et coopérer avec la nature plutôt que la combattre. En Autriche, depuis le succès de sa biographie éponyme qui s’est vendue à 120 000 exemplaires, on l’appelle l’agriculteur rebelle. Bouille ronde et barbe poivre et sel, coiffé d’un éternel chapeau de feutre, Sepp Holzer témoigne depuis 50 ans qu’un autre paradigme est possible. Qu’il existe des alternatives durables et prometteuses à l’agriculture conventionnelle qui épuise les sols et contribue largement au réchauffement climatique. Ici, pas de plantes hybrides qui lient l’agriculteur au semencier auprès duquel il doit racheter chaque année ses semences, mais une profusion de variétés anciennes de légumes, céréales et fruits, goûtus et nourrissants. Un précurseur de la permaculture Ouvrir le champ des possibles Eric Tariant
Terra preta Ces sols ont pour la plupart été créés par l’être humain entre −800 et 500[5], les plus vieux remontant pour leur part à −2800[6]. Ils sont donc d'origine précolombienne. Des milliers d'années après leur création, ils sont si réputés au Brésil qu'ils sont récoltés et vendus comme terreau à rempoter (voir pédologie). Leur profondeur peut aller jusqu'à deux mètres[6]. Les étendues de terra preta sont généralement entourées de sols infertiles, principalement l'oxisol[3], mais aussi ferralsols, acrisols et arénosols[b 1]. La terra preta est un mélange complexe de terrain « naturel » (jaune ou rougeâtre et acide, dans le cas de l'Amazonie), de charbon, de fragments d’objets de poterie, de déchets organiques (résidus de récolte, déjections animales, os de poisson, etc.) et enfin de milliers de micro-organismes différents[7]. La terra preta est très fertile, ce qui est une anomalie par rapport aux sols peu productifs de la forêt amazonienne[8]. Références de la bibliographie
Introduction au biochar | myfood Environmental disruptions and climate change due to human activity in the atmosphere as well as underground no longer need to be demonstrated. Therefore, since the light has been shed on these new preoccupations, we need to find solutions to re-balance nature while maintaining the same agricultural wield and quality. By allowing an increase of up to 200% for several plant species (up to 750% for cabbage!) all the while preserving the soil’s richness and fertility is where the Biochar becomes a growing hope! So, what is Biochar? It is an organic product that is very similar to charcoal, therefore rich in carbon. Even though this is an ancestral technique used by aboriginal populations across the world, scientists only just recently demonstrated that Biochar stimulates the earth’s biology, nutrient retention and underground water, the increase of acid grounds’ pH and the increase of organic matter in the ground.
Planting oxygen / Research Arthrospira microalgae Planting oxygen 15 December 2017 When resources are limited, you have to work with what you have – especially in the harsh environment of space. Breath of fresher air Researchers are studying how photosynthesis – the process by which organisms convert light into energy, producing oxygen as a byproduct – takes place in space. They loaded the microalgae Arthrospira, commonly known as spirulina, into a photobioreactor, a kind of cylinder bathed in light. Artemiss reactor Though a routine process on Earth, we must understand how it works in space before we can exploit it. The microalgae will be analysed after Dragon returns to Earth next April, looking at the genetic information to build a clearer picture of the effects of weightlessness and radiation on the plant cell. This Artemiss pilot project is the first of its kind, and its researchers and engineers hope to follow it up with a longer study that continuously feeds in microalgae. AstroPlant plant lab