Freenet
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Freenet a été créé suite à une inquiétude croissante à propos des libertés sur internet. Cette citation de Mike Godwin datant de 1996 résume cette inquiétude : « Je suis tout le temps soucieux au sujet de mon enfant et d'Internet, bien qu'elle soit encore trop jeune pour se connecter. Voilà ce qui m'inquiète. Je redoute que dans 10 ou 15 ans elle vienne me voir et me demande : “Papa, où étais-tu quand ils ont supprimé la liberté de la presse sur Internet ?” Principe de fonctionnement[modifier | modifier le code] De par sa conception, Freenet permet d'exploiter une topologie de type Mixnet c'est-à-dire combinant un réseau pair à pair de type DarkNet (dans lequel tous les pairs sont des personne de confiance) et OpenNet (dans lequel des pairs peuvent être des inconnus). La conception acentrée (car sous forme d'architecture distribuée) du réseau interdit à quiconque — même à ses concepteurs — d’interrompre son fonctionnement. mais aussi :
Diaspora (logiciel)
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Diaspora est un projet de logiciel permettant de déployer une application web de réseautage social offrant des fonctionnalités similaires à Facebook[2]. L'objectif du projet est de proposer un système décentralisé et sécurisé, permettant de préserver la vie privée des participants[3] et de faire communiquer différentes instances de Diaspora installées sur différents serveurs à travers le monde. Diaspora est un logiciel libre distribué sous licence AGPL. Les promoteurs du projet sont Max Salzberg, Dan Grippi, Raphael Sofaer et Ilya Zhitomirskiy († (à 22 ans))[4]. Ils étaient alors étudiants à l'Institut Courant des mathématiques de l’Université de New York. Les développeurs de Diaspora. Les développeurs à l'origine du projet sont Dan Grippi, Max Salzberg, Raphael Sofaer et Ilya Zhitomirskiy (en)[9]. Le projet a été annoncé le 24 avril 2010 sur le site web de levée de fonds Kickstarter[11]. Copie d'écran d'une version alpha de Diaspora
Reporters Sans Frontières - Les autorités en croisade contre l'a
Reporters sans frontières exprime son inquiétude suite aux déclarations des autorités de Pékin, qui ont indiqué vouloir obliger les internautes à s’identifier pour publier des commentaires en ligne. « Les autorités chinoises sont engagées dans une véritable frénésie législative destinée à renforcer le contrôle du Web. Après l’adoption d’un amendement à la Loi sur les secrets d’Etat, elles partent désormais en croisade contre l’anonymat en ligne et tentent d’empêcher les nombreuses discussions sur des sujets sensibles - politiques ou sociaux - qui ont lieu en ligne. D’après Wang Chen, numéro deux du Département de la propagande, cité dans un article publié le 5 mai par le quotidien China Daily : « Nous envisageons un système d’authentification des identités pour les utilisateurs de forums. » A ce jour, les internautes sont tenus de s’enregistrer avant de poster des commentaires sur ces sites, mais ils peuvent le faire sous un pseudonyme.
Darknet
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Un darknet (parfois appelé réseau friend-to-friend (F2F) : ami à ami) est un réseau privé virtuel dont les utilisateurs sont considérés comme des personnes de confiance. La plupart du temps, ces réseaux sont de petite taille, souvent avec moins de dix utilisateurs chacun. Un darknet peut être créé par n'importe quel type de personne et pour n'importe quel objectif, mais la technique est le plus souvent utilisée spécifiquement pour créer des réseaux de partage de fichiers en pair à pair[réf. nécessaire]. Les darknets sont distincts des autres réseaux pair à pair distribués car le partage y est anonyme (c'est-à-dire que les adresses IP ne sont pas partagées publiquement) et donc les utilisateurs peuvent communiquer avec peu de crainte d'interférence gouvernementale ou d'entreprise[1]. Histoire[modifier | modifier le code] Années 2010[modifier | modifier le code] 2011 : Anonymous « opération Darknet »[modifier | modifier le code]
Lutter contre les préjugés liés à l'open source
Les éditeurs de logiciels open source doivent lutter quotidiennement contre des préjugés particulièrement tenaces qui circulent dans les entreprises, malgré un volume croissant d'adeptes qui viennent témoigner de la réussite de leurs projets. Mais il est surtout surprenant de constater que ces idées fausses contredisent en fait tout ce que représentent réellement les logiciels open source et que les véritables bénéfices restent encore non identifiés. De manière évidente, de nombreuses entreprises utilisent des solutions open source avec des réserves et continuent d'investir d'énormes quantités d'argent, année après année, dans des logiciels traditionnels. En termes stratégiques, cela n'a pas de sens, surtout lorsque l'on voit apparaître sur le marché de plus en plus d'alternatives open source qui offrent les mêmes niveaux de puissance et de fiabilité que leurs équivalents propriétaires, particulièrement coûteux. Ceci est très loin de la réalité.
BAS LES MASQUES – Nadine Morano souhaite supprimer l’anonymat sur Twitter
On lui sait le tweet prolifique : le compte de Nadine Morano enregistre près de 3 500 tweets depuis novembre 2011 seulement ; Télérama y consacrait cet article évoquant la désormais ancienne ministre qui y "prêchait la bonne parole sans se lasser. Quitte à épuiser les lecteurs". "Sur son compte officiel, la secrétaire générale de l'UMP en charge des élections estime que 'sur tweeter (sic), il y a beaucoup de lâches qui insultent cachés derrière leur anonymat ce qui me conforte dans l'idée qu'il faudrait l'interdire'. "Ce n'est pas la première fois que la très sarkozyste Nadine Morano s'en prend ainsi à l'anonymat, qu'elle avait qualifié à Noël dernier de "'superficiel et pas courageux'" rappelle le site Numerama. D'autres politiques s'étaient également insurgés contre l'anonymat sur Internet souligne Pure Media : le sénateur Jean-Louis Masson et le député UMP André Wojciechowski. Nadine Morano, rompue au "clash" sur Twitter n'a pas tardé à répondre aux critiques qui lui étaient adressées.
Invisible web invisible
Des moteurs comme Google, MSN/Live Search, Yahoo! Search ou des répertoires tels que Yahoo! Directory ne vous donnent accès qu'à une petite partie (inférieure à 10%) du web, le Web Visible. La technologie de ces moteurs conventionnels ne permet pas d'accéder à une zone immense du web, le Web Invisible, espace beaucoup plus important que le web visible. Lors d'une navigation en Antarctique pour prélever des échantillons de glace sur des icebergs, si vous vous limitez à leur partie émergée, vous vous privez de la surface immergée, en moyenne 50 fois plus importante. Sur le web, c'est la même chose ! > Une partie du web est non accessible aux moteurs parce que : • Les documents, pages et sites web ou bases de données sont trop volumineux pour être entièrement indexés. • des pages sont protégées par l'auteur (balise meta qui stoppe le robot). • les pages sont protégées avec une authentification par identifiant (login) et mot de passe.
Comparatif entre Mule, servicemix, OpenESB, JbossESB
Moi , j'utilise Glassfish ESB 2.2 (version OpenESB avec possibilité de support ) sans encombre . Je trouve qu'il réponds à toutes mes préoccupations. Pour les difficultés la-dessus cela doit dépendre du niveau de compétence. -un Service Assembly de IEP - Intelligent Event Processing (Event Driven Architecture ) il s'agissait d'écouter les ajouts sur plusieurs tables puis de passer les enregistrements dans des processeurs d'évènement qui selon des conditions détectent des informations utiles pour les décideurs. Je pense qu'il convient parfaitement pour quelqu'un qui recherche : -Un ESB JBI Opensource accompagné d'outils parfaitement intégré et graphique (xsd editor , webservice editor pour les BC , IEP Editor etc. -Un ESB JBI Opensource qui possède un Service Engine IEP (Event Driven Architecture ). -Un ESB JBI Opensource qui gère les WS-security (via les composants de sécurité de l'AS Glassfish. -Un ESB JBI Opensource qui tourne en mode clusters -Un ESB JBI Opensource extrêment documenté.