5 sites pratiques sur la formation Que l’on soit jeune, senior, salarié ou demandeur d’emploi, trouver une formation n’est pas chose facile. Tout dépend de votre âge, de votre situation, de votre statut, de votre zone d’habitation, et bien d’autres choses encore. Heureusement pour vous, les sites web informatifs se multiplient, et ils sont de plus en plus ciblés, pour éviter aux internautes des recherches infructueuses. Voici une sélection de cinq sites pour vous aider à trouver une formation près de chez vous, ou tout au moins des informations sur le cursus qui vous conviendrait. On commence par l’apprentissage. Le site www.bourse-apprentissage.com met en relation les entreprises qui proposent des contrats en alternance et les jeunes en recherche d’une entreprise pour leur formation. Pour développer la mobilité européenne des apprentis, l’Assemblée Permanente des Chambres de Métiers et de l’Artisanat (APCMA) lance la campagne «Apprenti en Europe» qui se tiendra jusqu’au 17 novembre 2011.
Dangers, incertitudes et incomplétude de la logique de la compétence en éducation 1 La déferlante des compétences touche également d’autres pays, mais nous sommes dans l’incapacité d’ (...) 1L’école ressemble à une mer tumultueuse : au déferlement d’une vague fait suite le déferlement d’une autre. Dans le champ pédagogique, ces vagues ont pour nom : pédagogie active, pédagogie par centres d’intérêt, pédagogie fonctionnelle, pédagogie par projets, pédagogie par objectifs et, dernière écume, pédagogie par compétences. Ces courants successifs ne sont pas des modes : chacun a sa logique propre et, généralement, a pour ambition de combler une défaillance du courant précédent et/ou du système éducatif. Quel(s) problème(s) éducatif(s) et/ou sociétal (ou sociétaux), l’approche par compétences a-t-elle l’ambition de résoudre ? 2Pour Delvaux (2003), le concept de compétences constitue un concept étendard dans la mesure où il réalise, autour de lui, le consensus de groupes de pression traditionnellement en opposition. 5• elle s’applique à une famille de situations ;
Les 7 compétences clés du travail de demain Michel Serres nous rappelait récemment que l’évolution des technologies nous force à être intelligents. Les technologies révolutionnent en effet notre environnement de travail et nous poussent à développer de nouvelles compétences. De nombreuses prospectives alimentent le débat et mettent en lumière les compétences qui feront la différence sur le marché du travail de demain. Quelles sont les évolutions dans les compétences distinctives ? Un consensus se dégage autour de 7 compétences Etre compétent dans son travail requiert un savant mix de compétences techniques (les hardskills), comportementales (les softskills), et sectorielles (je maîtrise les enjeux et la culture du secteur d’activité dans lequel j’évolue). 1. Une grande qualité relationnelle : Ecoute, partage, empathie, communication interpersonnelle, être en capacité à se «connecter» aux autres et d’établir des relations riches et sincères. 2. À découvrir >> Formateurs, comment animer une classe virtuelle ? 3. 4. 5. 6. 7.
Devenir formateur L'article L.6351-1 du Code du travail dispose que : Toute personne qui réalise des prestations de formation professionnelle continue au sens de l'article L.6313-1 dépose auprès de l'autorité administrative une déclaration d'activité, dès la conclusion de la première convention de formation professionnelle ou du premier contrat de formation professionnelle [] Pendant longtemps (jusqu'en 2002), l'administration, par voie de circulaire, a considéré que cet article excluait les sous-traitants du régime de la déclaration d'activité, car elle visait la conclusion d'un contrat ou d'une convention. Depuis 2002, l'administration a assoupli (ou durci, c'est selon) sa position : désormais, et tel est le propos tenu dans la circulaire DGEFP du 06 janvier 2011 (voir PJ), les sous-traitants doivent s'enregistrer. En effet, cette circulaire dit que : Est recevable le déclarant suivant : En espérant que ces explications vous apparaîtront plus claires,
Connaissances ou compétences, que transmettre ? La question de la transmission scolaire a toujours fait débat. Le vieil affrontement entre tenants de l’instruction et ceux de l’éducation resurgit aujourd’hui, à travers de virulentes critiques de la notion de compétences. Il n’est guère de question plus centrale pour l’école que de définir ce que l’on juge bon et nécessaire d’y transmettre aux élèves. L’école et le monde du travail La carrière de la notion de compétence débute en France à l’orée des années 1980, après que nombre de critiques ont ébranlé l’école (1). Ces questionnements, certains pédagogues progressistes les avaient avancés depuis longtemps. La science contre le marché ? D’emblée, la notion de compétence a suscité des réticences. Depuis les années 2000, la critique de l’approche par compétences prend une nouvelle tournure : ne consacre-t-elle pas une entrée en force du néolibéralisme à l’école (3) ? Une dictature de l’utile ? (1) Voir Françoise Ropé et Lucie Tanguy (dir.), Savoirs et compétences. Flora Yacine
Identifier ses compétences : quelques repères Identifier ses compétences : quelques repères Posted by: Maxime Pollet Tags: capital ressources, compétences, Reconnaissance Posted date: août 30, 2013 | No comment Si les logiques compétences se développent et s’affirment (bilan de compétences, portefeuille de compétences, validation des acquis de l’expérience, certificat de compétences, gestion prévisionnelle des emploi et des compétences…), la compétence et son identification restent des problèmes épineux. Mais avant tout, une petite précision sur la définition même de la compétence. Pour cela, nous allons, en nous appuyant sur les travaux du même auteur, présenter plusieurs façon d’envisager la compétence, de l’identifier, et de la formaliser : libre ensuite au lecteur de sélectionner l’approche la plus pratique pour lui ! L’identification des compétences : trois modes d’entrée L’entrée par les performances L’entrée par les pratiques professionnelles L’entrée par les ressources L’expression et la mise en forme des compétences Share This
Depuis quarante ans... Depuis quarante-cinq ans... Créée en 1969 par Bertrand Schwartz, EDUCATION PERMANENTE est la première revue francophone de recherche dans le champ de la formation et du développement des adultes, au travail et hors travail. Depuis sa création, EDUCATION PERMANENTE s’efforce de répondre aux exigences d’une revue de recherche reconnue et à la nécessité de rendre service aux professionnels, en leur fournissant des instruments de pensée critique de leurs pratiques et de leurs contextes. EDUCATION PERMANENTE occupe une place essentielle dans un champ de pratiques sociales traversé d’enjeux multiples et contradictoires : entre action et connaissance ; entre individuel et collectif ; entre déterminants sociaux et déterminants psychologiques des conduites ; entre déterminations et forces d’autonomie. Au fil du temps, le concept d’éducation permanente s’est dilué dans celui de « formation tout au long de la vie ». Depuis quarante-cinq ans, EDUCATION PERMANENTE s’efforce de répondre à ce besoin.
Pas cinq mais dix compétences à maîtriser pour être numériques d’ici 2020 ! Je rebondis ici sur un billet paru sur le blogue de l’ami Philippe Martin où il cite un jeune de chez Google :«Aditya Mahesh est une jeune recrue depuis un an chez Google avec le titre de product marketing manager. Dans un article de TechCrunch il partage son expérience et pointe vers ce qu’il estime les compétences essentielles que toute personne devrait acquérir pour être totalement en phase dans ce nouveau monde numérique qui se met en place.» Je dois avouer que je ne suis guère impressionné par les cinq compétences qu’il juge essentielles et que Philippe a reproduites comme suit : 1- Design: savoir utiliser Photoshop pour créer ou modifier des fichiers graphiques ou des photos, savoir également créer des maquettes et des «wireframe» afin de mieux visualiser vos idées et concepts. Ressources : 35 Excellent Wireframing Resources 2- Code: sans devenir un codeur pro, au moins acquérir quelques rudiments afin de mieux comprendre les différentes techniques et leurs possibilités.
Taxonomie de Bloom La taxonomie de Bloom est un modèle de la pédagogie proposant une classification des niveaux d'acquisition des compétences[1]. Benjamin Bloom, bien qu'il n'en soit pas le seul créateur (34 universitaires américains participent aux conférences de 1949 à 1953), est souvent reconnu comme le « père » de cet outil[2],[3]. Elle peut être résumée en six niveaux hiérarchiques[5]. Depuis sa formulation en 1956, les critiques de la taxonomie de Bloom ont généralement porté, non pas sur l'existence des six catégories, mais sur la réalité d'un lien hiérarchique séquentiel entre elles[7]. Certains considèrent les trois niveaux les plus bas (connaissance, compréhension, application) comme étant hiérarchiquement ordonnés, mais les trois niveaux supérieurs (analyse, évaluation et synthèse) comme égaux. Ainsi, en 2001, une taxonomie révisée de Bloom a été proposée par plusieurs auteurs dont Lorin W. Chaque niveau englobe les précédents.
Komélya - Centre de formation web et communication Quimper Bretagne