Livret personnel de compétences - EduSCOL Pour 2012-2013, un livret personnel de compétences simplifié Pour l'année scolaire en cours, le processus de validation du socle commun est simplifié. Le principe selon lequel seule la validation des compétences est obligatoire est réaffirmé. L'effort de simplification porte sur le processus de validation et l'information des familles. Utiliser le livret, de l'école au collège L'acquisition du socle commun est progressive. A l'école primaire, le livret personnel de compétences est une des composantes du livret scolaire. Au collège, le livret contribue à l'évaluation des élèves, comme le bulletin scolaire. Évaluer et valider les acquis des élèves avec le LPC A l'école primaire, l'évaluation du socle se fait progressivement au cycle 2 pour la maîtrise de la langue française, les principaux éléments de mathématiques et les compétences sociales et civiques et au cycle 3 pour les sept grandes compétences. La validation privilégie une démarche collégiale. À consulter : Examens et diplômes
Ac-Lille - Socle Commun de Connaissances et de Compétences La loi d’orientation et de programme pour l’avenir de l’école du 23 avril 2005 a posé le principe que « la scolarité obligatoire devait au moins garantir à chaque élève les moyens nécessaires à l’acquisition d’un socle commun constitué d’un ensemble de connaissances et de compétences qu’il est indispensable de maîtriser pour accomplir avec succès sa scolarité, poursuivre sa formation, construire son avenir personnel et réussir sa vie en société. » Les sept compétences du socle commun sont désormais connues de tous : il s’agit de la maîtrise de la langue française, de la pratique d’une langue vivante étrangère, des principaux éléments de mathématiques et de la culture scientifique et technologique, de la maîtrise des techniques usuelles de l’information et de la communication, de la culture humaniste – qui est une spécificité française, des compétences sociales et civiques, et enfin de l’autonomie et de l’initiative. Marie-Jeanne PHILIPPE Recteur de l’Académie de Lille
S'observer pour devenir plus compétent - Le Cercle de Reche L’idée d’une évaluation par niveau de compétence n’est pas nouvelle en EPS. Et pourtant, la construction d’un outil d’évaluation formative qui permette un véritable retour réflexif sur les apprentissages de la compétence visée n’est pas si simple. Un exemple dans une activité de rugby en classe de 6e. J’ai repris cette idée d’outil et l’ai bricolé afin qu’il réponde à mes attentes : permettre à l’élève de se situer dans son degré d’acquisition de la compétence, lui permettre de se mettre en projet d’apprentissage sur des points non acquis de la compétence, construire un outil pour échanger sur les ressources nécessaires afin de réussir un niveau de compétence (pour ensuite s’entraîner afin d’améliorer ces ressources). Quelques précisions sur la compétence recherchée La Compétence du programme collège en EPS (Bulletin officiel spécial n° 6 du 28 août 2008) est la suivante : Il s’agit bien d’une compétence « spécifique » [1] au sens où l’entend B. Comment ai-je utilisé cet outil ? Annexe
Être compétent, c'est aider les autres à le devenir - Le Ce Gros plan sur… La charte de tutorat entre élèves (Document construit par une classe de 6e en 2007-2008 au collège Guynemer, Montbéliard. H. Le tuteur Ne pas se moquer de celui qu’on aide, au contraire l’encourager Ne pas lui donner sa copie, son cahier ou les réponses de l’exercice.Si l’aide est contestée, elle cesse immédiatement. Comment aider ? En face d’une consigne, on peut lui dire de : Relire la consigne lentement, ou étape par étape, plusieurs fois. Pour réaliser l’exercice, on peut : Lui rappeler ce qu’il y a eu de nouveau dans le cours. Je suis aidé Je bénéficie de l’aide d’un camarade qui accepte pendant certains cours et en ATP, de me donner des « coups de pouce ». de recevoir conseils et aides en respectant mon camarade, de tenir compte des remarques dans la réalisation de mon travail, De plus, je dois faire un effort particulier d’attention en classe. En cas de non-respect de ces principes, l’aide me sera retirée.Je suis aidé(e) par : ........................ en ......... Exemples
La délicate intégration des compétences dans les programmes - Le L’auteur retrace ici la lente introduction de la notion de compétences dans les contenus d’enseignement, en tentant d’expliquer pourquoi, si elle semble indispensable, sa mise en œuvre dans les pratiques ne suit que de loin son inscription dans les textes officiels. L’observateur attentif n’aura pas pu rater la révolution en cours dans la rédaction des contenus d’enseignement. D’une présentation dans les années soixante-dix qui ressemblait au sommaire d’un manuel scolaire, on est passé progressivement à une rédaction de plus en plus précise incluant notamment des indications didactiques. Cela a eu comme conséquence immédiate, un allongement du texte des programmes qui n’est pas synonyme d’un alourdissement : être plus précis dans les formulations ne signifie pas nécessairement être plus exigeant ou plus complet. Le résultat d’une histoire Depuis la fin des années quatre-vingt, s’est répandue l’utilisation du mot compétences dans l’enseignement général. Une véritable révolution
“Tolérance tragique à l’échec scolaire”, la chronique de Nathalie Mons | Les débats d'Educpros Dans le cadre de notre partenariat avec l’émission Rue des écoles, sur France Culture, EducPros vous propose chaque semaine le texte de la chronique de Benoît Falaize ou de Nathalie Mons. Cette semaine, Nathalie Mons, maître de conférences en sociologie à l’université de Paris-Est-Marne-la-Vallée, dénonce “le faible engouement des instances dirigeantes de l’Éducation nationale à s’imposer une obligation de résultats en termes de réussite scolaire”, notamment concernant le socle commun au collège. “Cette semaine, il est deux faits d’actualité qui nous rappellent combien l’institution scolaire française – et ses élites en tête – demeure tragiquement tolérante à l’égard de l’échec scolaire. Tous deux concernent la réforme du socle commun, inscrite dans la loi Fillon de 2005, qui vise à garantir à chaque élève un bagage scolaire et culturel à l’issue de la scolarité obligatoire. Quels sont ces faits d’actualité ? Et le second fait d’actualité ? Mais peut-être est-ce un cas isolé ?
Affiches et 4 pages LE SOCLE COMMUN, promesse démocratique Affiches et 4 pages Pour rendre visible notre action et susciter la participation de tous à la réflexion sur le blog, vous pouvez imprimer ces documents à afficher et distribuer largement : Affiche A3 Affiche au format A4 Version livret Version Livret pour impression recto-verso Share this: Like this: J'aime chargement… Un commentaire sur “Affiches et 4 pages” Ping : Socle commun | Le corps enchaîné Les commentaires sont fermés. Pages Catégories Scoop.it : Le socle commun pour les nuls Pour nous joindre Contact Méta Propulsé par WordPress.com. Suivre Recevez les nouvelles publications par mail. Propulsé par WordPress.com %d bloggers like this:
LETTRE OUVERTE AU MINISTRE Monsieur le Ministre, Le principe d’un socle commun dont l’acquisition est garantie à chaque élève à l’issue de la scolarité obligatoire est inscrit dans la loi depuis 2005. Ce principe est fondamental pour tous ceux qui prennent au sérieux la promesse démocratique de l’Ecole, émancipatrice par sa capacité à donner à chacun les moyens de son autonomie, libératrice aussi par son partage de la culture et des valeurs républicaines sans lesquelles notre société ne peut fonctionner collectivement. Le socle commun est un levier majeur de transformation de notre Ecole, encore trop organisée pour la sélection d’une élite. Or, depuis 2005, le socle a été transformé en un objet technocratique au service d’une évaluation de la « performance » du système et des élèves, centrée sur des « fondamentaux » réducteurs. Il n’a pas été mis au service des apprentissages des élèves : le travail par compétences n’a pas été accompagné et les programmes ont été très inégalement adaptés au socle. Signataires :
[Se-Unsa] Article publié le mardi 14 mai 2013. Le groupe « socle commun, promesse démocratique » (CRAP-Cahiers Pédagogiques, Education et Devenir, SE-Unsa et Sgen-CFDT) poursuit son combat pour transformer notre école du tri social en une école de la promotion de tous. La loi d’orientation et de programmation trace des perspectives, ouvre des possibles, mais rien n’est joué : les décrets à venir seront décisifs pour la « refondation ». Le principe du socle commun inscrit dans la loi d’orientation de 2005 a été dévoyé. Nous ne voulons plus de ces errements. Nous attendons du futur Conseil Supérieur des Programmes qu’il soit indépendant de tous les lobbies disciplinaires habituels et qu’il fasse une large place aux praticiens innovants, aux militants des mouvements pédagogiques, aux chercheurs en science de l’éducation dans leur diversité, et à des personnalités extérieures au système éducatif. Nous voulons des programmes au service de l’acquisition des compétences du socle commun.
Consultation socle commun – Le projet du CSP doit évoluer Le projet du CSP doit évoluer La consultation sur le projet de socle commun du Conseil Supérieur des Programmes est ouverte. L’enjeu est capital pour les élèves comme pour les enseignants en école et en collège. Car ce sont eux qui “vivront” le socle au quotidien dans les années à venir. Le socle commun de 2005 présentait des défauts importants: définition des compétences sous forme de catalogue hétéroclite, inadéquation entre les programmes et le socle, livret personnel de compétences mal conçu et double système d’évaluation. La loi d’orientation de 2013, qui confirme le socle commun comme le principe organisateur de la scolarité obligatoire, a demandé au CSP de redéfinir son contenu en renommant le socle “socle commun de connaissances, de compétences et de culture”. De quoi avons-nous besoin ? Quel est le projet du CSP ? 5 domaines d’apprentissages interdisciplinaires20 ”objectifs de connaissances et de compétences”160 “composantes” différentes Que devons-nous exiger ensemble ? J'aime :