rr0 Le projet Blue Book C'est à la suite d'une vague d'observations d'ovnis sans précédent et de la manière contestée dont celles-ci sont traitées par les responsables du projet Grudge (dénégation systématique, invention d'explications banales ou psychologiques), que l'étude de l'USAF sur les ovnis est renommée projet Blue Book a, toujours basée à Wright-Patterson. Le projet est confié à un jeune capitaine, Edward J. Ruppelt dès September 1951. Le projet dispose de plus de moyens que son précédesseur, est plus ouvert au public, et son but officiel est annoncé le Saturday 12 April 1952 : Trouver une explication pour l'ensemble des témoignages d'observations d'ovnis Déterminer si les ovnis représentent une menace pour la sécurité des Etats-Unis Déterminer si les ovnis présentent une technologie avancée que les Etats-Unis pourraient exploiter. Durant sa fonction officielle, Ruppelt va se révéler prudent et mesuré, mais n'en pense pas moins, comme on s'en apercevra plus tard. le major Dewey J.
Pythagore Pythagore (en grec ancien : Πυθαγόρας / Puthagóras) est un maître de sagesse charismatique et philosophe présocratique qui serait né aux environs de 580 av. J.-C. à Samos, une île du sud-est de la mer Égée ; on situe sa mort vers 495 av. Si nous sommes assurés de l'existence de Pythagore[2], on ne sait rien de sa vie, si bien qu'il est difficile d'éclairer l'histoire de ce penseur. Hérodote voyait en celui qu'il appelait « le sage Pythagore (...) l'un des plus grands esprits de la Grèce »[5], et Pythagore jouira d'un grand prestige au fil des siècles, Hegel disant de lui qu'il était « le premier maître universel[6] ». Selon une remarque importante d’Héraclide du Pont[7] rapportée par Cicéron, Pythagore serait le premier penseur grec à s’être qualifié lui-même de φιλόσοφος (philosophos), dont le sens est « ami du savoir ou de la sagesse » : — Cicéron, Tusculanes, V, 3, § 8 Sources Biographie Naissance Pythagore naît donc sur l'île de Samos, à proximité des côtes de l'Asie Mineure, vers 580.
Scepticisme scientifique Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le scepticisme scientifique, nommé aussi scepticisme rationnel ou scepticisme contemporain, est une pratique et une position épistémologique qui remet en doute la véracité de certaines allégations par manque de preuves empiriques ou de reproductibilité. Cette démarche cherche à promouvoir la science, la pensée critique et à soumettre à la méthode expérimentale (lorsque cela est possible) les affirmations d'existence de phénomènes paranormaux (notamment ceux étudiés par l'ufologie, la parapsychologie et la cryptozoologie) ou surnaturels (réincarnation, résurrection). Historique[modifier | modifier le code] En 1952 Martin Gardner publie son premier ouvrage, In the Name of Science[1],[2], réédité sous le titre Fads and Fallacies in the name of Science[3]. En 1991, Michael Shermer cofonde la Skeptics Society et le Skeptic magazine. Description[modifier | modifier le code] Approches[modifier | modifier le code] Critiques[modifier | modifier le code]
Parménide Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Parménide d'Élée (Παρμενίδης) Philosophe grec Antiquité Parménide Biographie[modifier | modifier le code] On ne connaît pas avec exactitude les dates de naissance et de mort de Parménide. Parménide était le fils de Pyrès (ou Pyrrhès)[4]. Doctrine[modifier | modifier le code] Parménide a écrit en vers un traité De la nature ; selon la Souda, il aurait également écrit des œuvres en prose, mais ce point est controversé. Parménide divisait la philosophie en deux parties nettement opposées, la vérité, (ἀλήθεια) et l'opinion (δόξα). « Χρεὼ δέ σε πάντα πυθέσθαι ἠμέν Ἀληθείης εὐκυκλέος ἀτρεμὲς ἦτορ ἠδὲ βροτῶν δόξας, ταῖς οὐκ ἔνι πίστις ἀληθής. » « Apprends donc toutes choses, Et aussi bien le cœur exempt de tremblement Propre à la Vérité à l'orbe pur, Que les opinions des mortels, dans lesquelles Il n'est rien qui soit vrai ni digne de crédit. » Fragment 1, 28 à 30[3]. Physique[modifier | modifier le code] Parménide et Gorgias[modifier | modifier le code]
1967 Zénon d'Élée Zénon d'Élée (en grec ancien Ζήνων / Zếnôn), né vers 490 et mort vers 430 av. J.-C., est un philosophe grec présocratique. Diogène Laërce raconte qu'il serait mort torturé pour avoir pris part à une conspiration contre un tyran d'Élée. Toujours selon Diogène Laërce[4], Aristote attribue à Zénon d'être l'inventeur de la dialectique (méthode de raisonnement qui cherche à établir la vérité en défendant successivement des thèses opposées) ; l'œuvre de Zénon a été consacrée à argumenter contre les contradicteurs de son maître. Biographie[modifier | modifier le code] « Ayant entrepris de renverser le tyran Néarque (d'autres disent Diomédon), il fut arrêté (...). Diogène n'est pas sûr de l'identité du tyran : il indique qu'il pourrait s'agir de Néarque ou de Diomédon. « Zénon d'Élée, à qui Denys demandait en quoi consiste la supériorité de la philosophie, répondit : « Dans le mépris de la mort ! Ouvrages[modifier | modifier le code] Les œuvres de Zénon ont été perdues. Paradoxe de la dichotomie
Le mystère de la plaque gravée extra-terrestre Le mystère de la plaque gravée extra-terrestre " L'histoire de cette plaque métallique gravée de façon presque barbare est incroyable, tellement que moi-même, qui en suis le découvreur, qui la détient et en suis possesseur depuis 1967, je l'ai toujours détenue en dehors des chroniques et de la publicité " L.R. (Leonardo Romano ?) Elle a été une seule fois montrée et photographiée au 1er congrès d'Ufologie catholique d'Italie en 1976 et, depuis lors, a été gardée jalousement. De nombreux chercheurs importants s'y sont intéressés et parmi eux, Daniela Giordano, Miss Italie 1966 et actrice dans les années 1980, qui s'est occupé du sujet OVNI et de parapsychologie à sa retraite à Palerme et qui n'a cessé d'étudier la plaque. En l'an 1967, un immigré italien (LR) vivait à Edmonton, Alberta, Canada. Après quelques minutes de contemplation du paysage ... puis, tout à coup, LR a repéré une lumière brillante dans le ciel sombre. En fait, le point brillant a commencé à devenir plus faible. Ivan T.
Hermann Diels Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Diels. Hermann Diels Hermann Alexander Diels, né à Biebrich le 18 mai 1848 et mort à Dahlem le 4 juin 1922, est un philologue allemand, spécialiste de la philosophie antique. Il est enterré au cimetière de Dahlem. Travail sur les doxographes[modifier | modifier le code] Diels et son maître et inspirateur, Hermann Usener, avaient remarqué les similitudes existant entre les Placita, résumé des opinions des philosophes antérieurs faussement attribués à Plutarque, et les Eclogæ physicæ, surtout leur livre premier, de Jean Stobée, un compilateur du Ve siècle. « Diels se propose donc de reconstruire la table des matières d'un "simulacre du monument théophrastéen", parce qu'il a l'obsession du retour aux sources (si possible une source unique) et qu'il veut retrouver la filiation historiquement exacte. L'édition des Présocratiques[modifier | modifier le code] Le même Bollack avait écrit (op. laud., p. Auguste Diès
1980 Doxographe Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'activité d'un doxographe consiste à reproduire et souvent commenter les propos, opinions et écrits de penseurs antérieurs ou contemporains, surtout de la Grèce antique. John Burnet : "Par le terme de doxographes, on entend tous les écrivains qui rapportent les opinions des philosophes grecs et qui dérivent leurs matériaux, directement ou indirectement, du grand ouvrage de Théophraste, Les opinions des philosophes (Diogène Laërce, V, 46)" (L'aurore de la philosophie grecque, Payot, 1970, p. 420). Le terme doxographe a pour origine (de doxa, "opinion", et de graphein, "écrire") le philologue allemand Hermann Diels (Doxographi graeci, Berlin, 1879). De très nombreux textes de doxographes, de toutes origines, nous permettent d'établir l'histoire d'une discipline ou d'une pensée. Doxographes célèbres[modifier | modifier le code] Bibliographie[modifier | modifier le code] Recueils antiques[modifier | modifier le code] A.
5 Billion Year Thomas Gaisford Thomas Gaisford Thomas Gaisford (22 December 1779 – 2 June 1855) was an English classical scholar. On 23 June 1843, his 21 year-old son, William Gaisford, drowned while swimming in the river Thames at Sandford Lock - a notoriously dangerous spot. He got into difficulties and his friend, Richard Philmore (the son of Joseph Phillimore), entered the water to save him. Memorial[edit] The Gaisford Prize was founded in Gaisford's honour, shortly after his death. Gaisford Street in Kentish Town, north London, was named in his honour. Quotation[edit] "Nor can I do better, in conclusion, than impress upon you the study of Greek literature, which not only elevates above the vulgar herd, but leads not infrequently to positions of considerable emolument." Notes[edit] References[edit] This article incorporates text from a publication now in the public domain: Chisholm, Hugh, ed. (1911).
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