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Armes made in Israel pour les Contras syriens de l’Oncle Sam ?

Armes made in Israel pour les Contras syriens de l’Oncle Sam ?
Le fait mérite d’être noté :jusqu’à une date récente, l’État hébreu ne s’était guère fait remarquer sur le volet syrien de ce que nos media ont – un peu abusivement, il est vrai – appelé les « révolutions arabes ». La (relative) prudence hiérosolymitaine n’était pas infondée. Les Israéliens estimant notamment le comportement de Washington sur le sujet comme essentiellement « ostentatoire ». Le veto russe a, semble-t-il, passablement durci la position israélienne. Au bout du compte, Tel-Aviv reste beaucoup plus prudent que bien des Européens jouant les Rodomonte. Simple vœu pieux ? Interrogé, lui aussi, sur le dossier syrien, le député Yitzhak Herzog a reconnu avoir des « contacts avec l’opposition syrienne », notamment des éléments appartenant au pro-américain CNS. Est-ce tout ? Qu’est-ce qui me permet d’être aussi formel ? De son côté, Tsahal a adopté le FAL en remplacement du Mauser-CZ, au lendemain de la crise de Suez (1956). Tsahal n’en gardât pas moins ses FAL. Notes Partager !

Syrie – L’insurrection menace l’économie libanaise, avertit le FMI Économie :: Samedi, 11 février 2012 :: Le Commerce du Levant :: L’économie libanaise se trouve menacée par l’insurrection en Syrie, le climat politique incertain dans le pays même et la crise financière en Europe, a averti le Fonds monétaire international (FMI) dans sa revue annuelle. Le ralentissement de la croissance du PIB, passée de 7% en 2010 à 1,5% en 2011, conjugué à un fort niveau d’endettement public et au déficit de la balance des paiements courants sont d’importants facteurs de risque, souligne l’institution monétaire. Le FMI « note que les facteurs négatifs sont élevés en raison de l’insurrection en Syrie, des perspectives incertaines pour la région et la crise financière en Europe ». La croissance devrait reprendre légèrement cette année à 3,5%, mais sans atteindre le niveau des quatre années avant 2011. Le Fonds appelle à l’application de réformes urgentes dans les infrastructures et à l’amélioration du climat nécessaire aux investissements et du marché du travail. Partager !

Rapport du chef de la Mission des observateurs de la Ligue Arabe en Syrie 24 décembre 2011 – 18 janvier 2012 : Premièrement : Considérations juridiques. 1 – Le conseil de la Ligue arabe a adopté la résolution numéro 7436 en date du 02/11/2011 l’inscrivant comme plan de travail arabe annexé à la résolution, et il a salué l’approbation du Gouvernement syrien de ce plan. Il a également souligné la nécessité de s’engager à la mise en œuvre immédiate et complète du contenu de ce plan et de l’ensemble de ses parties. 2 – Le conseil de la Ligue arabe a adopté la résolution numéro 7439 en date du 16/11/2011 approuvant le projet de protocole sur le statut juridique et les fonctions de la Mission d’observation de la Ligue arabe en Syrie chargée de vérifier l’application des termes du plan arabe pour résoudre la crise en Syrie et de fournir une protection pour les civils syriens. Deuxièmement : Constitution de la Mission Troisièmement : Visite en Syrie d’une délégation du Secrétariat général Quatrièmement.

Siège de Homs : à qui la faute ? Nul ne peut rester indifférent devant les images effroyables qui nous viennent de Homs. Nul ne peut rester de marbre devant la souffrance de ces familles terrées dans leurs caves, sans pain, sans eau et sans espoir. Les obus pleuvent et s’écrasent dans un bruit assourdissant, fauchant des vies sans demander l’âge ni l’identité de leurs victimes. Devant le drame de Homs, on ne peut qu’éprouver rage et colère à l’encontre du président syrien, de son parti et de son armée. Mais ce camp aujourd’hui en pleine offensive après avoir été totalement débordé par la violence terroriste (1), est-il le seul à blâmer ? Le 28 janvier, nous avons tous été bouleversés par les images du massacre d’une famille sunnite à Nasihine, femme, enfants et bébés inclus. Le 23 février, un groupe armé commit un nouveau massacre d’innocents. Tout ça pour ça ? Peu d’analystes s’interrogent sur les réelles motivations des rebelles. Et pour faire quoi messieurs ? Bien entendu, comparaison n’est pas raison. Notes Partager !

International : Le chef d'al-Qaida encourage les insurgés syriens VIDÉO - Les ministres arabes des Affaires étrangères se disent favorables à la formation d'une mission de paix conjointe avec l'Onu. Parallèlement, un chef d'al-Qaida accuse dans une vidéo le régime syrien de crimes contre ses citoyens. • La Ligue arable favorable à l'envoi de Casques bleus Face au blocage diplomatique consécutif au veto russe et chinois à l'ONU il y a une semaine, la Ligue arabe tenait une série de réunions ce dimanche au Caire pour décider de la marche à suivre après l'échec de ses précédentes tentatives pour régler la crise. Dans le même texte, la Ligue envisage également d' «ouvrir des canaux de communication avec l'opposition syrienne et de lui fournir toutes les formes de soutien politique et matériel». Le chef de la mission des observateurs de la Ligue arabe en Syrie, le général soudanais Mohammed Ahmed Moustapha al-Dabi, a par ailleurs démissionné dimanche, selon un responsable de l'organisation panarabe qui ne pouvait expliquer les raisons de ce départ.

International : Le conflit en Syrie commence à déborder sur le Liban A Tripoli, au nord de Beyrouth, des affrontements entre pro et anti-syriens ont fait trois morts et une vingtaine de blessés la semaine dernière, réveillant le spectre de la guerre civile. Le conflit syrien est-il en train de s'exporter chez son voisin libanais? «La peur est latente et les gens sont inquiets», concède Fawaz Sankari, le rédacteur en chef d'al-Tamadon, un hebdomadaire de Tripoli. Dans cette grande ville située au nord de Beyrouth, les affrontements qui ont opposé, les 10 et 11 février, des Libanais pro et anti-syriens ont fait ressurgir le spectre de la guerre civile. Le bilan s'élève à trois morts et une vingtaine de blessés. Depuis le début du soulèvement syrien contre Bachar el-Assad en mars dernier, Tripoli vit au rythme des événements qui secouent le pays voisin. En juin dernier, des heurts survenus à la suite de manifestations hostiles au pouvoir syrien avaient déjà causé la mort de six personnes. » Syrie: la Ligue arabe réclame une force d'interposition

Syrie: "La Russie a apporté de l'oxygène à Bachar el-Assad, le mal est fait" La Chine et la Russie n'envoient aucun représentant à la Conférence des amis du peuple syrien qui doit se tenir ce vendredi à Tunis. Pourquoi cet entêtement à bloquer ou contourner les initiatives internationales dans le dossier syrien? Les deux pays partagent une même vision du monde: les affaires intérieures d'un Etat ne regardent que cet Etat, les autres nations n'ont pas à s'en mêler. Au nom de la non-ingérence, ils ont rejeté les résolutions portées par les pays arabes et occidentaux au Conseil de sécurité de l'ONU. De quel "prix à payer" parlez-vous? La Chine n'a pas d'intérêt économique majeur, la Syrie n'est pas un marché capital pour elle. Puisque vous évoquez l'Iran en filigrane... Cela ferait beaucoup de comploteurs, vous ne croyez pas? Les émergents (Brésil, Afrique du Sud et Inde) ont en effet voté la deuxième résolution au Conseil de sécurité de l'ONU alors qu'ils s'étaient abstenus lors du premier vote. Reste la Russie donc...

Turquie/Qatar et Israël premiers bénéficiaires du conflit syrien ? Il signe la fin du bras de fer américano-russe et l’heure du règlement de compte sunno-chi’ite. Les puissances mondiales s’affrontent autour de la Table du Conseil de Sécurité de l’ONU en se neutralisant mutuellement, à travers les résolutions successives, qui ne permettent pas de mettre un terme au massacre en Syrie. La question d’une frappe des installations nucléaires iraniennes occupe la scène médiatique, par les indiscrétions volontaires du Secrétaire américain à la Défense, Léon Panetta : il l’évoque à moins de trois mois, de la part des Israéliens. Mais on cherche, fondamentalement à savoir qui « dominera le Moyen-Orient », à travers le découpage des rapports de force qui fera suite à ces deux crises foncièrement imbriquées. Américains, depuis leur retrait d’Irak, et Russes, dans leur soutien désespéré à Assad, à quelques semaines de la Présidentielle que se réserve Poutine, semblent, tous deux, dans un jeu perdant-perdant. Combattants sunnites de l’ASL rebelle. lessakele.over-blog

Les monarchies du Golfe jouent avec le feu en Syrie «Désormais, tout dialogue sur ce qui se passe est vain. » Voilà ce que pense le roi Abdallah d’Arabie saoudite à propos de la situation en Syrie. Il l’a dit au président russe, Dmitri Medvedev. Une phrase en forme de déclaration de guerre. Riyad (tout comme Doha) n’a jamais vraiment cherché une solution pacifique et s’appuie sur l’horrible et sanglante répression du régime, notamment à Homs, pour pousser ses pions. Les pays du Golfe, par le biais de leur Conseil de coopération, ont tenté d’instrumentaliser la Ligue arabe et, quand le rapport des observateurs dépêchés en Syrie n’allait pas dans le sens de leurs visées, ils mettaient sous le boisseau les observations faites et sabordaient la mission sous les prétextes les plus fallacieux. Déstabilisation d’une puissance proche de l’Iran Que des États théocratiques recherchent les affrontements confessionnels, cela n’a rien de surprenant. Un CNS dont l’attitude est dénoncée par de nombreux opposants.

Syrie : le pourquoi du veto russe On est fermement convaincu, à Moscou, que l’Occident a l’intention de renverser le régime de Bachar Al-Assad et que rien ne l’arrêtera. Et c’est précisément par cette intention que l’on explique l’obstination avec laquelle la Russie et la Chine défendent la Syrie à l’ONU. Incompréhension mutuelle Les diplomates russes expliquent le veto ainsi : pour l’Occident, cette résolution créait de remarquables possibilités de pression sur Assad. La résolution ne contenait pas seulement un appel commun adressé aux deux parties du conflit de cesser la violence. Plus loin, et très en détail, elle énumérait les exigences envers le gouvernement syrien, notamment l’obligation de retirer ses troupes des villes. La position de la Russie et de la Chine, qui a provoqué l’extase tumultueuse des habitants de Damas , a valu à Moscou et Pékin un torrent de critiques internationales. À l’Ouest, on ne comprend décidément pas la position russe. Quels motifs au veto ? La place du Qatar dans le conflit

Une drôle de chose s'est produite sur le chemin (du changement de régime) de Damas. (Information Clearing House) par Daniel McADAMS Traduction : Israël prévient qu’ « il ne reste que quelques semaines » au président Syrien ». 2 Janvier 2012 - Le ministre israélien de la défense, Ehud Barak, a assuré ce lundi qu’ »il ne reste que quelques semaines » au gouvernement du président Syrien Bashar Al Assad ET A SA FAMILLE et que le départ du président serait « une bénédiction pour le Moyen Orient ». Devant la Commission Parlementaire des Relations Etrangères et de la Défense , le ministre a dit : « (…) dans la situation actuelle il est impossible de prévoir ce qui va arriver après la chute de Bashar El Assad ». (…) Les déclarations du ministre Barak ont été faites tandis que des observateurs de la Ligue Arabe étaient en visite dans plusieurs villes depuis le 22 décembre dernier afin de mener une enquête sur les affaires légales, administratives, concernant les Droits de L’homme et la sécurité en Syrie. Les observateurs ont noté qu’ils circulaient en toute liberté et rendaient visite aux prisonniers sans difficultés.

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