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Licence Art Libre

Licence Art Libre
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Logo de la Licence Art Libre Description[modifier | modifier le code] Elle autorise tout tiers (personne physique ou morale), ayant accepté ses conditions, à procéder à la copie, la diffusion et la transformation d'une œuvre, comme à son exploitation gratuite ou commerciale, à condition qu'il soit toujours possible d'accéder à sa source pour la copier, la diffuser ou la transformer. Elle a été rédigée en juillet 2000 grâce aux contributions de la liste de diffusion <copyleft_attitude Cette licence est consultable sur le site artlibre.org[2] ; elle est également disponible en anglais[3], en allemand[4], en espagnol[5], en italien[6] et en portugais[7]. Soumise au droit français, elle est valide dans tous les pays ayant signé la Convention de Berne ; cette convention établit une norme juridique internationale sur la propriété littéraire et artistique. Historique[modifier | modifier le code] Notes et références[modifier | modifier le code]

Licence libre Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. usage de l'œuvre ;étude de l'œuvre pour en comprendre le fonctionnement ou l'adapter à ses besoins ;modification (amélioration, extension, transformation) ou incorporation de l'œuvre en une œuvre dérivée ;redistribution de l'œuvre, c'est-à-dire sa diffusion à d'autres usagers, y compris commercialement. Ces libertés peuvent être soumises à conditions, notamment l'application systématique de la même licence, ou d'une licence prodiguant les mêmes droits aux utilisateurs, aux copies de l'œuvre et aux œuvres dérivées : un principe nommé copyleft. Lorsqu'une œuvre est sous licence libre, on parle alors d'œuvre libre. Définition[modifier | modifier le code] Une licence libre est un contrat juridique qui confère à toute personne morale ou physique, en tout temps et en tout lieu, les quatre possibilités suivantes sur une œuvre : Pourquoi « Open Data » « Open Source » ou « Open Standards » ? Confusions courantes[modifier | modifier le code]

Licence de documentation libre GNU Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Logo (stylisé) de la GFDL. La licence de documentation libre GNU (de l' anglais GNU Free Documentation License ), abrégée en GFDL , est une licence relevant du droit d'auteur produite par la Free Software Foundation . Caractéristiques [ modifier ] L'objet de cette licence est de rendre tout support (manuel, livre ou autre document écrit) « libre » au sens de la liberté d'utilisation, à savoir : assurer à chacun la liberté effective de le copier ou de le redistribuer, avec ou sans modifications, commercialement ou non. Cette licence est fondée sur le même principe que copyleft et la Licence publique générale GNU (GPL) utilisés par un grand nombre de logiciels libres . La GFDL, comme la GPL, autorise chacun à redistribuer une œuvre qu'elle protège à condition que cela soit fait sous ses termes identiques. Compatibilité [ modifier ] Incompatibilité entre GNU GPL et GFDL [ modifier ] Compatibilité entre GFDL et CC-BY-SA [ modifier ]

Copyleft Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le symbole du copyleft, avec un C « inversé » (tourné à gauche), est l'« opposé » du copyright (C tourné à droite). En 2009, il n'est pas reconnu comme symbole légal. Le copyleft[Note 1] est l'autorisation donnée par l'auteur d'un travail soumis au droit d'auteur (œuvre d'art, texte, programme informatique ou autre) d'utiliser, d'étudier, de modifier et de diffuser son œuvre, dans la mesure où cette même autorisation reste préservée. L'auteur refuse donc que l'évolution possible de son travail soit accompagnée d'une restriction du droit à la copie, à l'étude, ou à de nouvelles évolutions. Jeu de mots et traductions[modifier | modifier le code] Le terme copyleft est un jeu de mot construit par opposition au terme copyright. L'idée suggérée par Copyleft est donc laisser copier, en opposition avec copyright (Droit de reproduction/d'auteur). Fondements[modifier | modifier le code] — Richard Stallman Régime juridique[modifier | modifier le code]

Pour être moins enchaîné : Logiciels Libres & Open source (solutions, alternatives, outils…) Les RMLL en 2016 Le thème Sécurité organise des conférences et des ateliers du 4 au 6 juillet 2016 dans les locaux de Mozilla-Paris : 3e édition des RMLL décentralisées (RMLLd) dans l’océan Indien, multi-thèmes, à St-Joseph (La Réunion) du 7 au 10 juillet 2016 : Libre en Fête 2016 : Découvrir le logiciel libre (du 5 mars au 3 avril 2016) Panorama de l'offre : Vous retrouverez Writer, Calc et Impress pour le traitement de texte, le tableur et les présentations. Vous diposerez également de 20 Gb de stockage vous permettant de centraliser tous vos documents créés sur Open365. Logiciels Éducatifs Libres – Tableau Dynamique Le Pack de 100 Logiciels Libres de l’Entreprise Le site Web : (Source CCI Oise)

Licences Du « loser » au super-héros, trente ans de hackeurs au cinéma A l'occasion de la sortie du film « Hacker », de Michael Mann, retour sur la figure emblématique du hackeur au cinéma et de ses clichés, qui, peu à peu, commencent à se fissurer. Il est beau, fort et charismatique : Nicholas Hattaway, le personnage principal du film Hacker, sorti le 18 mars, a tout du cliché du héros américain. A ceci près qu'il s'agit, comme le titre du film l'indique, d'un hackeur, type de personnage peu habitué à ce genre de représentation. « C'est une nouvelle manière de représenter les hackeurs, non plus comme maladroits, mais comme des leaders et des héros », se réjouit Damian Gordon, chercheur à l'Institut de technologie de Dublin, auteur de recherches sur la figure du hackeur au cinéma. Lire la critique du film : « Hacker » : l'homme et la machine à couteaux tirés Le hackeur, ce magicien « Ils sont dépeints comme des magiciens. Une vision bien éloignée de la réalité. « En vrai, c'est du travail ! Un truc d'ados Hackeurs, hackeuses La normalisation du hackeur

Convention de Berne pour la protection des œuvres littéraires et artistiques du 9 septembre 1886, complétée à PARIS le 4 mai 1896, révisée à BERLIN le 13 novembre 1908, complétée à BERNE le 20 mars 1914 et révisée à ROME le 2 juin 1928, à BRUXELLES le 26 juin 1948, à STOCKHOLM le 14 juillet 1967 et à PARIS le 24 juillet 1971 et modifiée le 28 septembre 1979 Les pays de l’Union, également animés du désir de protéger d’une manière aussi efficace et aussi uniforme que possible les droits des auteurs sur leurs œuvres littéraires et artistiques, Reconnaissant l’importance des travaux de la Conférence de révision tenue à Stockholm en 1967, Ont résolu de réviser l’Acte adopté par la Conférence de Stockholm, tout en laissant sans changement les articles 1 à 20 et 22 à 26 de cet Acte. En conséquence, les Plénipotentiaires soussignés, après présentation de leurs pleins pouvoirs, reconnus en bonne et due forme, sont convenus de ce qui suit: Article premier Constitution d’une Union 2 Article 2 Œuvres protégées:1. Article 3 Critères pour la protection:1. Article 22 Assemblée:1.

Bilan "indiscutable" de l'Hadopi ? Pas pour Le Figaro ! Dans la course à l'élection présidentielle, la loi Hadopi est en matière de politique culturelle un point d'achoppement constant entre les candidats. Certains veulent la supprimer, d'autres l'aménager. Nicolas Sarkozy, lui, veut conserver le dispositif. Cette position, tous ne la partagent pas. Le Figaro s'est également intéressé à l'enquête conduite par l'autorité publique. Présentation biaisée des résultats Les mesures effectuées sont sévères pour la Haute Autorité. Le bilan de l'Hadopi après un an et demi d'existence doit donc être fortement nuancé. Il convient par ailleurs de souligner que l'étude de l'Hadopi cesse à la fin de l'année 2011. Comme une critique ne vient jamais seule, Le Figaro a également pointé du doigt l'arrangement bien commode des graphiques, utile pour démontrer l'utilité de la Haute Autorité à l'heure où elle pourrait disparaître.

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