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Faire apprendre : vocation, profession, occupation ou passe-temps ?

Faire apprendre : vocation, profession, occupation ou passe-temps ?
Il existe plusieurs appellations pour nommer celui à qui on donne le mandat de faire apprendre. Qu’on le nomme enseignant, professeur, maître, formateur, animateur, pédagogue, instructeur, moniteur ou éducateur, sa fonction est toujours essentiellement la même : amener la personne en formation à changer. Là où le bât blesse le plus souvent, c’est dans la manière d’agir de celui qui est en avant de la classe pour atteindre le but et les attentes de la formation qui fait en sorte que la raison d’être de la fonction s’en trouve dénaturée. Entre l’intention et l’action, il y a la compétence. Contrairement à la pensée populaire, être un enseignant ou un formateur compétent ne relève pas d’un don que l’on reçoit à la naissance. Il est vrai que certaines personnes ont des aptitudes à faire apprendre qui semblent nous indiquer que cela relève plus de ce qu’ils sont que de ce qu’ils savent. Faire apprendre a toujours été, et est encore, une tâche complexe. Like this: J'aime chargement… Related:  Courants pédagogiques

Modèle social - John DEWEY Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Dewey. John Dewey XIXe siècle-XXe siècle John Dewey en 1902 Sa philosophie est d'abord marquée par l'instrumentalisme, c'est-à-dire par sa volonté de rompre avec une philosophie classique qu'il voyait comme plus ou moins liée à la classe dominante, pour en faire un instrument permettant aux hommes de mieux s'adapter au monde moderne. Dewey a participé également, en parallèle avec le Nouveau Libéralisme anglais, à la constitution de ce qui est actuellement nommé le « social-libéralisme » dont il se situe à l'aile gauche. Biographie[modifier | modifier le code] Son parcours[modifier | modifier le code] Les années de jeunesse[modifier | modifier le code] Les années à l'université de Chicago[modifier | modifier le code] En 1886, il se marie à Alice Chipman, une femme d'une grande force de caractère dont il a six enfants. Maturité et postérité[modifier | modifier le code] Bibliothèque Harper de l'université de Chicago.

Le SCRUM Découvrez un article invité d’Eponine Pauchard. Conseillère en amélioration des processus chez Desjardins, au Canada et blogueuse sur la thématique de l’excellence opérationnelle. Le développement Agile de logiciels, fort de son Manifesto, reprend les mêmes principes que ceux de l’excellence opérationnelle : l’humain au cœur des préoccupations et la satisfaction des besoins du client. La technique des petits pas ou l’utilisation de la roue de Deming sont très proches des itérations du développement Agile. Pour profiter de la force de l’agilité, laissez-moi vous suggérer quelques éléments: La philosophie avant tout Que ce soit en excellence opérationnelle ou en mode Agile, les valeurs doivent être comprises, partagées et surtout appliquées. Comment respecter l’humain et écouter le client, dans le quotidien du projet, avec le stress et la pression des délais ? Le respect passe par la responsabilisation des équipes. Quelques outils pratiques Conclusion Eponine Pauchard

Comportementaliste / Behaviouriste _ SKINNER Burrhus Frederic (B. F.) Skinner (March 20, 1904 – August 18, 1990) was an American psychologist, behaviorist, author, inventor, and social philosopher.[1][2][3][4] He was the Edgar Pierce Professor of Psychology at Harvard University from 1958 until his retirement in 1974.[5] Skinner invented the operant conditioning chamber, also known as the Skinner Box.[6] He was a firm believer of the idea that human free will was actually an illusion and any human action was the result of the consequences of that same action. If the consequences were bad, there was a high chance that the action would not be repeated; however if the consequences were good, the actions that led to it would be reinforced.[7] He called this the principle of reinforcement.[8] He innovated his own philosophy of science called radical behaviorism,[9] and founded his own school of experimental research psychology—the experimental analysis of behavior, coining the term operant conditioning. Biography[edit] Theory[edit]

Postures à réaliser seul(e) - S'étirer c'est capital ! Elle est simple. Elle vise à étirer toute la chaîne postérieure (l'arrière du corps) et elle sert de base aux six postures suivantes. Dans le guide, vous verrez que le texte (photos comprises) comporte une partie imprimée sur un fond gris. C'est ainsi que sont toujours présentées les erreurs et tricheries naturelles à éviter pour obtenir un bon étirement. La posture de base se termine par un résumé en images. Cliquez sur Posture1.pdf, Vous trouverez le détail de cette posture. Celle-ci, sans être exagérément difficile, est un peu plus corsée. Cliquez ci-dessous pour voir le début de la posture, décrite de la page 73 à 77. Celle-ci est une alternative à la posture plus difficile qui la précède.On s'aidera d'une ou plusieurs chaises pour la réaliser. ÉTIREMENT DES BRAS : POSTURE DEBOUTCliquez ci-dessous pour voir le début de la posture, décrite de la page 113 à 114.

Humaniste - Carl Rogers Portrait de Carl Rogers Il a principalement œuvré dans les champs de la psychologie clinique, de la psychothérapie, de la relation d'aide (counseling), de la médiation et de l'éducation. Sa méthode met l'accent sur la qualité de la relation entre le thérapeute et le patient (empathie, congruence et considération positive inconditionnelle). Cette approche a été introduite en France sous l'appellation de méthode non-directive dans les années 1950, mais Carl Rogers l'avait déjà dénommée psychothérapie centrée sur le client (« Client-Centered Therapy ») puis approche centrée sur la personne (« Person-centered Approach »). Une étude publiée en 2002 dans la Review of General Psychology a classé Carl Rogers comme le 6ᵉ psychologue le plus important du XXe siècle[1]. Biographie[modifier | modifier le code] Enfance et études[modifier | modifier le code] Les trois attitudes rogériennes[modifier | modifier le code] L'empathie (ou verbalisation) s'exprime par des messages verbaux et non verbaux. 1930.

NOS JOURS ABSOLUMENT DOIVENT ÊTRE ILLUMINÉS Connaître les grands courants de l'apprentissage Bien souvent, enseignants et apprenants manquent de recul sur leurs pratiques. Ceci, parce qu'ils ignorent les grands principes connus qui régissent l'enseignement et l'apprentissage. Dans ces conditions, les choix pédagogiques relèvent de l'intuition et des représentations, et les insatisfactions de part et d'autres sont mal vécus. Le comble c'est quand pour un choix proclamé, le socioconstructivisme par exemple, on en vient à soumettre les apprenants à une pédagogie de transmission. De la connaissance des courants de l'apprentissage et du choix de l'un d'eux, on pourra définir un scénario pédagogique qui fait sens avec les objectifs visés. Dans une vidéo d'une quizaine de minutes intitulée L'évolution de l'apprentissage à travers le temps, Judith Cantin, conseillère pédagogique en intégration des TIC, propose de survoler les grands courants de l'apprentissage. Vision de l'apprentissageRôle de l'enseignant et de l'élèveForces et limitesPistes de réflexion.

ile calot Apprentissage social? Alors voilà, cette semaine, nous traitons de la dimension sociale de l’apprentissage : Quel rôle joue notre environnement, notre entourage dans nos apprentissages ? J’avoue que j’ai un peu été désorientée par le « butinage » proposé et par les deux expressions proposées « Social Learning et « Apprentissage par les pairs ». Y-a-t-il une différence entre les deux termes ? En lisant les premiers liens, j’ai eu l’impression que le social learning ne parlait que d’apprentissage par le réseau… "Après le e-learning, le social learning est le nouveau concept qui doit révolutionner la formation dans les années à venir. ou encore: "Le social learning ne repose pas tant sur le contenu que sur la façon dont on va se connecter aux autres", explique Frédéric Domon. En fait sur la page proposée par Thot cursus, il y a cette page : Apprentissage social : retour aux sources de Christine Vaufrey et là, je découvre le nom d’Albert Bandura. Et conclut en disant : Like this: J'aime chargement…

Dix constats clés de la recherche cognitive sur l'apprentissage (Schneider & Stern, 2010 1. L’apprentissage est une activité exercée par l’apprenant L’enseignant ne peut pas intervenir dans le cerveau de ses élèves pour y insérer de nouveaux éléments de savoir. Les connaissances que chacun possède ne sont accessibles qu’à lui seul. C’est donc l’apprenant qui doit créer lui-même de nouvelles structures de connaissance. Ce constat peut paraître évident, mais il a de profondes implications. Il signifie en effet que l’apprenant est placé au centre du dispositif. Dès lors, l’enseignant ne doit pas se contenter de bonnes connaissances pédagogiques et de bonnes connaissances du contenu de la discipline qu’il enseigne, mais il doit aussi avoir une bonne connaissance du contenu pédagogique, c’est-à-dire comprendre comment les apprenants construisent leurs savoirs dans un domaine donné (Schulman, 1987). 2. L’enseignant ne peut aider ses élèves que s’il connaît leurs acquis. Dans l’exemple donné en introduction, l’enseignant n’a pas tenu compte des connaissances de ses élèves. 3.

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