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Immanence

Immanence
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Perspective de l'immanence[modifier | modifier le code] La pensée de l'immanence ou de la transcendance de Dieu a divisé les philosophes médiévaux, néo-platoniciens d'après Augustin d'Hippone, ou aristotéliciens d'après Albert le Grand et Thomas d'Aquin. Le symbole de Chalcédoine affirme que le Christ est consubstantiel à l'homme selon l'humanité : cette immanence engage le Saint-Esprit et permet la prière. Dans Pascendi, le pape Pie X a critiqué l'abus de cette notion dans la philosophie de Baruch Spinoza et Emmanuel Kant. Pour Spinoza[modifier | modifier le code] Pour Baruch Spinoza, l'immanence détermine ce qui est par la coprésence de Dieu à la nature ; Dieu est alors ce qui constitue toute valeur et toute intelligibilité. Pour Friedrich Hegel[modifier | modifier le code] Pour Hegel, la négation de l'immanence des choses précise davantage ces « choses » de même que « l'esprit absolu » est précisé par la médiation. Portail de la philosophie

Panthéisme Le panthéisme est une doctrine philosophique selon laquelle « Dieu est tout ». Elle se distingue du monothéisme en considérant que Dieu n'est pas un être personnel distinct du monde, mais qu'il est l'intégralité du monde ; cette conception est appelée l'immanence par opposition au principe de transcendance du Dieu créateur monothéiste. Le panthéisme est distinct du panenthéisme nommé « acosmique » par Hegel (tout est en Dieu[6]), qui est quant à lui une doctrine issue du panthéisme. Typologie des panthéismes[modifier | modifier le code] L'histoire de la philosophie distingue communément plusieurs types de panthéisme. De façon courante on oppose naturalisme et formalisme[7]. a) Le panthéisme matériel ou panthéisme naturaliste identifie Dieu au monde. On peut aussi opposer l'avant et l'après Kant[10]. a) Le panthéisme pré-kantien est réaliste. Vincenzo Gioberti (1840) distingue trois formes de panthéisme.[3] [archive] Philosophie indienne[modifier | modifier le code] On distingue :

Religion Le terme « religion » peut être défini de plusieurs manières, les trois suivantes semblent montrer un certain consensus dans les dictionnaires[1],[2],[3] : Elle est l’objet des recherches universitaires en sciences humaines. Des disciplines telles que l'histoire, la sociologie, l'anthropologie ou la psychologie, étudient ce qu'on nomme le fait religieux sans pour autant s'appuyer sur une définition qui correspondrait de manière homogène à tout ce qui est ainsi étudié. Dans le latin de l'Antiquité, comme l'atteste une expression de Cicéron, il était possible de considérer que « chaque cité a sa religion »[12]. Du XIIe au XIVe siècle, les textes dans lesquels le judaïsme, le christianisme et l'islam sont envisagées comme des choses équivalentes ne parlent pas de « religions » mais, par exemple, de trois « croyances » (créença) dans le catalan de Raymond Lulle[15] ou de trois « lois » (legge) dans l'italien de Boccace[16]. — Nicolas de Cuse, De Pace Fidei « Je ne suis pas religieux. Pour R.

Thomas d'Aquin Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Thomas d'Aquin Théologien et philosophe occidental Théologie et philosophie médiévale Thomas d'Aquin (né en 1224/1225 au château de Roccasecca près d'Aquino, en Italie du Sud, mort le à l'abbaye de Fossanova près de Priverno dans le Latium), est un religieux de l'ordre dominicain, célèbre pour son œuvre théologique et philosophique. Considéré comme l'un des principaux maîtres de la philosophie scolastique et de la théologie catholique, il a été canonisé le [1], puis proclamé docteur de l'Église par Pie V, en 1567 et patron des universités, écoles et académies catholiques, par Léon XIII en 1880. De son nom dérivent les termes : En 1879, le pape Léon XIII, dans son l'encyclique Æterni Patris, a déclaré que les écrits de Thomas d'Aquin exprimaient adéquatement la doctrine de l'Église. Biographie[modifier | modifier le code] Jeunesse et aspiration à la vie dominicaine (1224/1225-1244)[modifier | modifier le code]

Spiritualisme Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Définition et courants[modifier | modifier le code] Dans tous les cas, l'esprit a la préséance sur la matière, et il ne peut pas être réduit à des mécanismes physico-chimiques ou biologiques. Le spiritualisme peut être étroitement lié à la religion dans certains cas, lorsque celle-ci admet l'existence d'une âme, de Dieu qui est un pur esprit, d'une vie après la mort, et de façon générale d'un esprit indépendant du corps et de la matière. Le spiritualisme s'oppose au matérialisme et au physicalisme, c'est-à-dire à toute philosophie qui prétend que l'on peut expliquer les phénomènes spirituels et psychiques par des causes strictement matérielles, comme pour Épicure, de Karl Marx ou de Jean-Pierre Changeux. Littérature[modifier | modifier le code] Notes et références[modifier | modifier le code] Voir aussi[modifier | modifier le code] Articles connexes[modifier | modifier le code] Liens externes[modifier | modifier le code]

Caodaïsme Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Temple Cao Dai au Viet Nam Le caodaïsme est une religion syncrétiste fondée en 1921 et instituée en 1925 en Cochinchine (sud du Viêt Nam actuel) par Ngô Van Chiêu, fonctionnaire vietnamien, qui disait être entré en contact, lors d'une séance de spiritisme, avec un « esprit »[1]. Cet esprit se donna d'abord pour nom « AĂÂ », les trois premières lettres de l'alphabet vietnamien, puis « Cao Dai Tien Ong » (Cao Dai signifie « Être suprême ») et ordonna à Ngô Van Chiêu de créer le caodaïsme. Historique[modifier | modifier le code] Le siège de cette religion s'est installé à Tây Ninh, puis la religion s'est scindée en plusieurs branches du fait de la volonté de la branche de Tây Ninh de s'impliquer dans la politique du pays (création d'une armée, d'un parti politique). Guides spirituels[modifier | modifier le code] Le caodaïsme possède la notion de guide spirituel, dont il puise les figures dans toutes les cultures.

You don’t have a right to believe whatever you want to Do we have the right to believe whatever we want to believe? This supposed right is often claimed as the last resort of the wilfully ignorant, the person who is cornered by evidence and mounting opinion: ‘I believe climate change is a hoax whatever anyone else says, and I have a right to believe it!’ But is there such a right? We do recognise the right to know certain things. Beliefs are factive: to believe is to take to be true. Such judgments can imply that believing is a voluntary act. If the content of a belief is judged morally wrong, it is also thought to be false. ‘Who are you to tell me what to believe?’ I do not mean to revert to the stern evidentialism of the 19th-century mathematical philosopher William K Clifford, who claimed: ‘It is wrong, always, everywhere, and for anyone, to believe anything upon insufficient evidence.’ In exploring the varieties of religious experience, James would remind us that the ‘right to believe’ can establish a climate of religious tolerance.

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