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Thomas d'Aquin

Thomas d'Aquin
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Thomas d'Aquin Théologien et philosophe occidental Théologie et philosophie médiévale Thomas d'Aquin (né en 1224/1225 au château de Roccasecca près d'Aquino, en Italie du Sud, mort le à l'abbaye de Fossanova près de Priverno dans le Latium), est un religieux de l'ordre dominicain, célèbre pour son œuvre théologique et philosophique. De son nom dérivent les termes : « thomisme » / « thomiste » : concerne l'école ou le courant philosophico-théologique qui se réclame de Thomas d'Aquin et en développe les principes au-delà de la lettre de son expression historique initiale ;« néo-thomisme » : courant de pensée philosophico-théologique de type thomiste, développé à partir XIXe siècle pour répondre aux objections posées au christianisme catholique par la modernité ;« thomasien » : ce qui relève de la pensée de Thomas d'Aquin lui-même, indépendamment des développements historiques induits par sa réception. Biographie[modifier | modifier le code] Related:  Philosophes - psychanalystes (H)

Aristote Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Aristote (Ἀριστοτέλης) Philosophie grecque Antiquité Portrait d'après un original en bronze de Lysippe. Véritable encyclopédiste, il s'est beaucoup intéressé aux arts (musique, rhétorique, théâtre) et aux sciences (physique, biologie, cosmologie) de son époque ; il en théorisa les principes et effectua des recherches empiriques pour les appuyer. Son époque est marquée par le renouveau du royaume de Macédoine et le déclin de l’influence de la démocratie athénienne. Biographie[modifier | modifier le code] Buste d'Aristote. Les années de jeunesse[modifier | modifier le code] Vers -367, alors âgé de 17 ans, il est envoyé à l’Académie de Platon[6]. La maturité[modifier | modifier le code] Il s’intéresse alors à la vie politique locale mais ne peut y participer du fait de son statut de métèque (« étranger » à la cité). En -338 Philippe II de Macédoine soumet Athènes où Aristote revient en -335. La formation du lycée[modifier | modifier le code]

Immanence Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Perspective de l'immanence[modifier | modifier le code] La pensée de l'immanence ou de la transcendance de Dieu a divisé les philosophes médiévaux, néo-platoniciens d'après Augustin d'Hippone, ou aristotéliciens d'après Albert le Grand et Thomas d'Aquin. Le symbole de Chalcédoine affirme que le Christ est consubstantiel à l'homme selon l'humanité : cette immanence engage le Saint-Esprit et permet la prière. Dans Pascendi, le pape Pie X a critiqué l'abus de cette notion dans la philosophie de Baruch Spinoza et Emmanuel Kant. Pour Spinoza[modifier | modifier le code] Pour Baruch Spinoza, l'immanence détermine ce qui est par la coprésence de Dieu à la nature ; Dieu est alors ce qui constitue toute valeur et toute intelligibilité. Pour Friedrich Hegel[modifier | modifier le code] Pour Hegel, la négation de l'immanence des choses précise davantage ces « choses » de même que « l'esprit absolu » est précisé par la médiation. Portail de la philosophie

Augustin d'Hippone Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Augustin d’Hippone Antiquité tardive Augustin vu par Botticelli à Ognissanti (vers 1480) Augustin d’Hippone (latin : Aurelius Augustinus), ou saint Augustin, né dans le municipe de Thagaste (actuelle Souk Ahras, Algérie) le et mort le à Hippone (actuelle Annaba, Algérie) est un philosophe et théologien d'origine berbère. Sa culture et sa formation sont profondément romaines même si ses écrits laissent apparaître une sensibilité et des traits liés à sa région de naissance. Il est, à la suite d'Ambroise de Milan, le principal penseur qui permet au christianisme d'intégrer une partie de l'héritage grec et romain, en généralisant une lecture allégorique des Écritures liée au néoplatonisme. Dans sa théologie, le poids du péché et de l'habitude du péché est tel que sans la grâce divine l'homme ne peut pas se sauver : c'est le sens de la lutte contre le pélagianisme, qui soutient l'inverse. Biographie[modifier | modifier le code]

Ernst Mach Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Mach. Ernst Mach Ernst Mach en 1900 Ernst Mach (né le et mort le ) est un physicien et philosophe autrichien. Biographie[modifier | modifier le code] Ernst Mach est né à Chirlitz-Turas, près de Brno, en République tchèque actuelle. Ses premiers travaux portèrent sur l’effet Doppler, l'optique et l'acoustique. En 1895, Mach retourne à l’université de Vienne en tant que titulaire de la chaire de philosophie des sciences inductives, nouvellement créée pour lui, et qu’il nomma « Histoire et théorie des sciences inductives ». Il meurt le à Haar, près de Munich, en Allemagne. Physique[modifier | modifier le code] Ces recherches sont rapidement suivies d'importantes découvertes dans le domaine des vitesses supersoniques. Psychologie de la perception[modifier | modifier le code] Philosophie des sciences[modifier | modifier le code] Les citations ci-dessous sont extraites des écrits de Mach pour illustrer sa philosophie.

Panthéisme Le panthéisme est une doctrine philosophique selon laquelle « Dieu est tout ». Elle se distingue du monothéisme en considérant que Dieu n'est pas un être personnel distinct du monde, mais qu'il est l'intégralité du monde ; cette conception est appelée l'immanence par opposition au principe de transcendance du Dieu créateur monothéiste. Le panthéisme est distinct du panenthéisme nommé « acosmique » par Hegel (tout est en Dieu[6]), qui est quant à lui une doctrine issue du panthéisme. Le panthéisme entretient en revanche certains rapports avec les courants monistes. Typologie des panthéismes[modifier | modifier le code] L'histoire de la philosophie distingue communément plusieurs types de panthéisme. De façon courante on oppose naturalisme et formalisme[7]. a) Le panthéisme matériel ou panthéisme naturaliste identifie Dieu au monde. On peut aussi opposer l'avant et l'après Kant[10]. a) Le panthéisme pré-kantien est réaliste. Philosophie indienne[modifier | modifier le code] On distingue :

Au fil de l'eau Franz Brentano Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Brentano. Franz Brentano Philosophe germanique XIXe siècle Franz Brentano était le neveu du poète et romancier allemand Clemens Brentano et de sa sœur Bettina von Arnim. Bibliographie originale[modifier | modifier le code] Zukunft der Philosophie, éd. Bibliographie en français[modifier | modifier le code] F. Notes et références[modifier | modifier le code] Liens externes[modifier | modifier le code] Sur les autres projets Wikimedia : Franz Brentano, sur Wikimedia Commons Le blog de Jean MERCIER Agnostiques, je vous aime ! Dans son discours d’Assise, le pape fait le bilan de 25 ans d’éthique interreligieuse, et tend la main aux non-croyants de bonne volonté. 1/ Dénoncer le travestissement de la religion. De la même manière que le pape, devant le Bundestag, le 22 septembre, s’est élevé contre la « contrefaçon » du droit, Benoit XVI a fustigé la violence qui travestit la religion, en écho à ce que venait de dire le représentant des musulmans. « Que la religion motive la violence est une chose qui doit nous préoccuper fortement. Mais le pape estiment que chaque groupe religieux est concerné « si nous voulons contester de manière réaliste et crédible le recours à la violence pour des motifs religieux ». 2/ Balayer devant sa porte Purifier le christianisme, et l’Eglise catholique en particulier : on peut dire qu’il s’agit là de l’obsession de Benoit XVI, l’une des lignes de force du pontificat. 3/ Nier Dieu est une violence 4/ Débusquer la violence du Dieu Argent

Diogène de Sinope Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Diogène. Diogène de Sinope Philosophe grec Antiquité Disciple de Xéniade, il devient le maître entre autres de Zénon de Cition et de Monime de Syracuse. La masse d'anecdotes légendaires sur Diogène de Sinope montre en tout cas que le personnage a profondément marqué les Athéniens. Diogène avait l'art de l'invective et de la parole mordante. Vie[modifier | modifier le code] Plusieurs anecdotes témoignent de son mépris des richesses et des conventions sociales. On l'aurait également vu parcourir les rues d'Athènes en plein jour, une lanterne à la main, déclarant à ceux qui lui demandaient ce qu'il faisait : « Je cherche un homme. »[7] (parfois traduit « Je cherche l'homme » ou « Je cherche un vrai homme »). Diogène a d'abord vécu en homme libre, mais il se dirigeait vers Égine en bateau, quand ce dernier fut pris par des pirates. La rencontre de Diogène et d'Alexandre. Œuvre et pensée[modifier | modifier le code]

Léon Brunschvicg Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Biographie[modifier | modifier le code] Léon Brunschvicg est élève d'Alphonse Darlu au lycée Condorcet, comme Marcel Proust qu'il a côtoyé en outre dans l'adolescence[1]. Il se fait connaître entre 1900 et 1940 comme un philosophe idéaliste, voire intellectualiste ; il est le représentant de ce que l'on a appelé le courant idéaliste français. Il est nommé professeur à la Sorbonne en 1909, où il enseigne pendant trente ans. Il participe en 1929 au deuxième cours universitaire de Davos, avec de nombreux autres intellectuels français et allemands. Il est président, à partir de 1932, de l'Académie des sciences morales et politiques. Sous l'Occupation, Brunschvicg doit quitter son poste à la Sorbonne et se réfugier en zone libre pour échapper aux nazis qui le traquent en raison de ses origines juives. Il meurt en janvier 1944 à l'âge de 74 ans. Œuvre[modifier | modifier le code] Critique[modifier | modifier le code] Ouvrages[modifier | modifier le code]

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