Les bons sentiments électriques des géants du Net | American Miroir De l’énergie propre aux Etats-Unis, ça serait un nouveau truc lancé par Obama pour briller à la conférence de Paris sur le climat ? Comme si les renouvelables n’avaient pas déjà envahi le marché électrique américain ! Les entreprises du Net font évoluer le paysage au galop, Apple jouant les locomotives. J’ai moi-même assisté ces quinze dernières années à la mutation fulgurante du paysage énergétique. Mais c’est récemment en Caroline du Nord, où je vis depuis neuf ans, que j’ai mesuré la force du rouleau compresseur Apple dans les changements en cours. Des océans de panneaux noirs entre coton et tabac Des montagnes de l’Ouest aux plaines costales sableuses de l’Est, le paysage rural de la Caroline du Nord s’est piqué en quelques années de vastes centrales solaires couchées presque au ras du sol. Là où poussaient coton, soja et tabac se dressent à présent des millions de modules solaires reliés aux réseaux des compagnies privées électriques, les « utilities ». Amazon a cédé à son tour.
Manifeste pour le cyberespace Coloniser l'internet ? Civiliser "la toile" ? À l'heure des grand-messes ronflantes sur l'internet qu'il faut dompter, Yann Leroux rappelle ce qu'est internet, ce qu'il doit rester et ce qu'il faut défendre. Manifeste. Nous, digiborigènes, constatons un état d’hostilité envers le cyberespace qui culmine avec le eG8. La neutralité sur laquelle repose nos échanges est fortement mis en cause sous des prétextes fallacieux. Nous avons transformé une province éloignée de la culture en une cité cosmopolite et vibrante, dont la richesse profite à tous. Le cyberespace n’est pas un nouvel espace à conquérir. Le cyberespace est un espace de civilisation. L’internet porte un regard égal à Kevin ou à Mark. Nous refusons le cyberespace soit transformé en un espace de surveillance. Nous refusons que les États abandonnent les protections qu’ils doivent au citoyen. Nous refusons que les États violent le droit à la vie privée dans le cyberespace. Nous ne pouvons nous permettre de perdre ces futurs.
Dashboard, tout ce que Google sait de vous 01net le 05/11/09 à 17h30 Historique des conversations sur Gtalk, courriels dans Gmail, albums photos sur Picasa, vidéos sur YouTube, historique des recherches Web... d'un seul coup d'œil, l'internaute embrasse sur Dashboard l'ensemble des données personnelles qu'il a laissé ici ou là sur les différents services de Google. Ce tableau de bord, lancé ce jeudi 4 novembre par le mastodonte de la recherche en ligne, agrège en un seul endroit tous les contenus postés par l'internaute sur une vingtaine de services de l'américain. Gérer la confidentialité des données « Dashboard rassemble les données des produits sur lesquels l'utilisateur se connecte par son compte Google [gmail, NDRL]. Depuis le Dashboard, l'internaute peut supprimer les données qu'il veut effacer des serveurs ou encore restreindre leur accès, quand il a oublié de le faire. Plus dérangeant, ou pour le moins surprenant, le tableau de bord fait apparaître les dernières requêtes effectuées sur le moteur de recherche maison.
Energie, pollution et internet La lecture de la semaine provient du New York Times, il s’agit du premier article d’une série consacrée au coût écologique du Cloud computing (informatique dans les nuages, le fait que nos données soient stockées, non pas dans les nuages, mais dans des infrastructures très matérielles). Le titre “Energie, pollution et Internet”, ce début d’article fait un résumé de la longue enquête du quotidien américain. “Des dizaines de milliers de data center (gigantesques bâtiments abritant des serveurs) sont aujourd’hui nécessaire pour supporter l’explosion de l’information numérique. Des quantités gigantesques de données sont mises en circulation chaque jour lorsque, d’un simple clic ou au contact du doigt, les gens téléchargent des films sur iTunes, regardent l’état de leurs comptes sur le site de leur banque, envoient un mail avec une pièce jointe, font leurs courses en ligne, postent un message sur Twitter ou lisent un journal en ligne.” Xavier de la Porte
5 Tools for Building a Next-Generation 'Hybrid' Class Website [Nicholas C. Martin is a visiting professor at American University and the United Nations University for Peace. He is also co-founder and president of TechChange, an organization that trains leaders to leverage emerging technologies for sustainable social change. TechChange specializes in creating “next-generation” e-learning content, tools and communities. You can follow him on Twitter at @TechChange. Last month, I co-taught a course at American University’s School of International Service entitled ”Applications of Technology for Peacebuilding.” Prior to the course, we created an online social learning community in Drupal with a number of innovative features. Once we got the Drupal site up and running we began creating and embedding various tools to support the learning process. If you’re interested in seeing some of these tools in action you can view a sample TechChange Unit. What We’re Working on Next: Photo provided by Nick Martin. Return to Top
Une société de la requête (4/4) : Comprendre Google Par Hubert Guillaud le 17/12/09 | 7 commentaires | 1,599 lectures | Impression La machine à globaliser : réinterpréter les résultats des machines Pour la chercheuse Esther Weltevrede, membre de GovCom.org, une association hollandaise dédiée à la création d’outils politique en ligne, et de l’Initiative Méthodes numériques (Digital methods initiative), la question clef à se poser est “quel type de machine à globaliser est Google ?” Image : Esther Weltevrede photographiée par Anne Helmond. Si le PageRank est considéré comme un système de classement mondial de toutes les pages web, conçu pour toutes les informations du monde, que se passe-t-il quand Google passe à l’échelle locale ? Qu’arrive-t-il aux résultats locaux ? Elle a ainsi comparé les 10 premiers résultats à la requête “droits de l’homme” dans chacun des Google nationaux. En exécutant une requête sur le terme “droits” Esther montre que ceux qui arrivent en tête de résultats sont assez différents d’un domaine local à l’autre.
Chiffres Google - 2015 À l’origine, Google n’était qu’un moteur de recherche, sans doute le meilleur au niveau de la pertinence des liens. Mais depuis, les services offerts par Google se sont multipliés : gestion des emails avec Gmail, du calendrier avec Agenda, stockage et édition de documents avec Drive… Un nombre incalculable de services permettant à Google de figurer parmi les toutes premières entreprises du web. Nous mettons régulièrement à jour cette page, qui rassemble les principaux chiffres en rapport avec l’entreprise Google, de l’activité sur les outils aux utilisateurs actifs en passant par les résultats financiers. Moteur de recherche Part de marché Google Monde : 90,35% – Bing à 3,7%, Yahoo! Source : StatCounter. Requêtes Google 30 000 milliards de pages sont indexées par Google.20 milliards de sites sont visitées (crawlées) par Google, chaque jour.3,3 milliards de requêtes sont effectuées chaque jour (100 milliards par mois).15% des requêtes sont de nouvelles requêtes (500 millions par jour) !
UNG – Un clone open source de Google Docs UNG – Un clone open source de Google Docs Vous connaissez tous Google Docs, qui permet de réaliser 100% en ligne, des tâches de bureautique, que ce soit de l'édition de documents, de tableurs ou de présentations façon powerpoint...etc. Ce concurrent à Microsoft Office est de plus en plus utilisé et j'avoue très pratique pour l'édition collaborative de documents (mais moins qu'un pad :-)). Seul hic, qui peut en faire frissonner certains : Vos chers documents sont stockés sur les serveurs de Google. Autant dire qu'il vaut mieux éviter d'y mettre des choses trop sensibles... Pour répondre à ce besoin de suite bureautique en ligne, tout en conservant la main sur ses propres données, des étudiant brésiliens ont eu l'excellente idée de créer UNG (UNG is not Google). UNG utilise une base de données NOSQL et s'appuie sur SlapOS d'ERP5 mais d'après les dev, l'objectif à terme est de se détacher d'ERP5 et de s'appuyer sur les standards Unhosted. UNG est téléchargeable ici. [Source]
Google : Les données personnelles, une question de vie ou de mort «Le fait d'avoir ces données personnelles a beaucoup de valeur. Moins on gardera de traces comme celles-là, plus on aura de chances de tous mourir» . On s'est un peu pincé en lisant dans le Telegraph cette déclaration attribuée à Larry Page, cofondateur de Google, présent près de Londres pour le Google Zeitgeist 2009. A deux doigts de penser que le vénérable quotidien anglais nous sortait soit une citation tronquée, soit un poisson d'avril à retardement. Et pourtant, d'autres médias comme la BBC la rapporte également -- sans préciser toutefois si la phrase n'a pas été déclarée sur un ton badin, du genre «Barack Obama s'est inspiré de ma campagne» . Ce qui ne changerait de toute manière pas grand chose au propos. Comme nous l'avions déjà signalé dans ces pages, l'Union Européenne souhaite réduire à 6 mois (maximum) la durée de rétention des données personnelles par les moteurs de recherche. Les réactions n'ont pas tardé. Eric Schmidt, Sergey Brin and Larry Page - CC Joi
Combien de CO2 pèsent un mail, une requête Web et une clé USB Surfer sur le Net, envoyer un email, télécharger des documents, les partager : toutes ces actions ont un poids pour la planète, d’autant plus important que nous sommes actuellement 1,5 milliard d’internautes à naviguer sur le Web quasi quotidiennement, tant pour notre vie professionnelle que personnelle. Les technologies de l’information et de la communication (TIC) contribuent ainsi à hauteur de 2 % aux émissions européennes de gaz à effet de serre, selon un rapport de septembre 2008 réalisé par l’agence d’évaluation environnementale BIO Intelligence service pour la Commission européenne. Ce chiffre devrait doubler d’ici 2020, si nous ne changeons pas nos modes de vie. Les emails. Chaque jour, c’est une inflation de messages qui se bousculent dans nos boîtes : des courriels professionnels, des messages personnels mais aussi d’innombrables newsletters, chaînes de mails ou publicités. Les requêtes Web. La clé USB. Comment expliquer cet impact ? Photo : The Opte project
First Rapid Release Firefox Beta Now Available Mozilla is pleased to release a new Firefox Beta for download and testing. Mozilla recently introduced the Firefox Aurora development channel to support more frequent releases. The shift to a rapid release development cycle delivers cutting edge Firefox features, performance enhancements, security updates and stability improvements to users faster. After five weeks of testing on the Firefox Aurora channel, the next version of Firefox is ready for the beta channel. This release includes the Firefox channel switcher, performance and stability enhancements and support for the new CSS Animations standard to allow developers build more amazing Web experiences. Thanks to Firefox Beta testers for being a crucial part of refining and preparing the next version of Firefox for more than 400 million users worldwide. For more information: