Le mind mapping, arme fatale du community manager Cet article a été publié il y a 3 ans 2 mois 4 jours, il est possible qu’il ne soit plus à jour. Les informations proposées sont donc peut-être expirées. Le mind mapping (également connu sous le nom de carte heuristique) se présente sous la forme d’une arborescence, formée autour d’un concept central dont découlent plusieurs ramifications, par association d’idées. C’est tout simple, et à vrai dire cela n’a rien de novateur, mais c’est une méthode précieuse pour structurer sa pensée dans deux cas paradoxalement opposés : soit quand votre tête fourmille d’idées au point que vous avez peur d’en oublier une dans l’excitation, soit quand vous manquez cruellement d’inspiration et qu’un peu de logique ne vous ferait pas de mal. Cela fonctionne aussi bien dans votre vie personnelle que pour vos projets professionnels, alors pourquoi ne pas l’appliquer au community management ? Comment réaliser une carte heuristique, méthode en mind mappingSource Illustration en introduction : Flickr / Emilie Ogez
La bibliothèque cinquième lieu, sixième lieu, etc. De façon bizarre et réitérée, les questions que je posais sur la bibliothèque troisième lieu me reviennent à travers de multiples échanges, lectures, contacts. Tout aussi étrangement, elles se conjuguent avec des observations passionnées sur mon post-scriptum, qui promettait ma critique de la vogue du ‘learning center‘. Je l’avoue, ces questions me taraudent particulièrement, peut-être parce que me suis beaucoup consacré aux collections et aux politiques documentaires, et que ‘troisième lieu’ comme learning center posent des objectifs qui négligent justement parfois ces collections et parfois ces politiques documentaires. Un déclic : la bibliothèque quatrième lieu Je suis tombé sur un rapport de Victoria Péres-Labourdette (Agence Gutenberg 2.0), invoquant "La bibliothèque quatrième lieu", dans la bibliothèque numérique de l’enssib. Si la démonstration laisse perplexe et même réticent, la superposition des attendus questionne, et plus encore la solution -si facile et donc si géniale !
Troisième lieu : un nouvel enjeu pour les bibliothèques? La bibliothèque troisième lieu est toujours liée par un projet architectural contemporain qui réfléchit sur l’espace commun et le partage de la culture. Concept encore peu répandu en France, la bibliothèque troisième lieu incarne un modèle phare en angleterre, dans les pays nordiques et aux États-Unis, où l’appellation « third place library » fleurit sur la biblioblogosphère et dans la littérature bibliothéconomie. Photo © OBA – Openbare Biliotheek Amsterdam Elle se matérialise en Europe, notamment au Royaume-Uni, aux Pays-Bas et en Europe du Nord, où la filiation directe à ce modèle est parfois ouvertement revendiquée, à l’exemple du « Fil rouge », bibliothèque centrale de la ville de Hjoerring, au Danemark, présentée au dernier congrès de l’Ifla (International Federation of Library Associations and Institutions). La bibliothèque Reykjavik City Library en Island est conçue sur ce principe. Beautiful world © Fagra veröld, Reykjavik City Library, Reykjavik, Iceland Like this:
Avignon/ Les Frères Saada sur grand écran Artiste, autodidacte, indépendant, l’Avignonnais Emmanuel Saada présentera son premier long-métrage au public dès sa sortie nationale le 19 février. Portrait du réalisateur humble et généreux du film “Les Éléphants” où joue également un autre Avignonnais, Mikaël Chirinian. Vivant désormais à Paris, Emmanuel Saada est originaire du Pontet. “Mettre en lumière ce qui peut sembler banal” Soutenu par Adrian Lyne (réalisateur de “Flashdance”, “9 semaines ?” Dans la région, Emmanuel Saada et toute son équipe viendront présenter” Les Éléphants” en avant-première le 16 février à 19 h au Palace (Saint-Rémy-de-Provence) puis à 20 h 30 au Vox d’Avignon Son frère s'occupe de la musique La création, c’est une histoire de famille. « Je suis très proche de mon frère, je collabore avec lui dès que j’en ai l’occasion ». Le pitch : Les destins enlacés d’une poignée de quadra-trentenaires dévorés par la vie.
Les bibliothèques troisième lieu Concept encore peu répandu en France, la bibliothèque troisième lieu 1 incarne un modèle phare aux États-Unis, où l’appellation « third place library » fleurit sur la biblioblogosphère et dans la littérature bibliothéconomique. Elle y fait figure de voie d’avenir et semble se matérialiser également dans plusieurs établissements européens, notamment au Royaume-Uni, aux Pays-Bas et en Europe du Nord, où la filiation directe à ce modèle est parfois ouvertement revendiquée, à l’exemple du « Fil rouge », bibliothèque centrale de la ville de Hjoerring, au Danemark, présentée au dernier congrès de l’Ifla 2 (International Federation of Library Associations and Institutions). Si le concept est abondamment utilisé, il reste toutefois peu documenté, peu explicité, et son usage peut connaître des acceptions divergentes. Il paraît donc opportun de se pencher sur ses caractéristiques afin d’en restituer l’essence et de mieux saisir le succès qu’il remporte 3. Qu’est-ce que le troisième lieu ?
Jeux vidéo, café-restau et ambiance cosy : la bibliothèque deviendra un "troisième lieu" jeux vidéos. A l’occasion du Congrès mondial des bibliothèques qui se tient à Lyon, Rue89Lyon continue son exploration de la bibliothèque du futur. La bibliothèque d’Amsterdam est un exemple en matière de bibliothèque « tiers-lieu ». Capture d’écran sur le site de l’ENSSIB. Couleurs flashy, sièges moelleux, aire destinée aux jeux vidéo, studios pour la musique, ordinateurs omniprésents… Bienvenue dans l’OBA (Openbare Bibliotheek van Amsterdam). Ici, le cadre souvent austère et silencieux des établissements traditionnels a disparu, place à un nouveau concept, la bibliothèque « tiers-lieu » qui se veut la pointe de la modernité. Et le public aime. Le concept de « troisième lieu » qu’est ce que c’est ? Créé dans les années 80 par le sociologue américain Ray Oldenburg, le concept de « troisième lieu »‘ ou « tiers-lieu » s’applique à un endroit public dédié à la vie sociale où les personnes peuvent se rencontrer facilement. Car cette affluence, nombre de bibliothèques ne la connaissent pas.
Que peut-on cultiver sur son balcon ou sur sa terrasse? « Plantes L’avantage d’un jardin en pots est qu’en respectant le besoin des plantes, il y a moyen de changer de décor à volonté. Le bois, la terre cuite et le grès sont les meilleurs matériaux car ils permettent aux racines de respirer. Le grès ne craint pas les fortes gelées. Le bois présente l’inconvénient de pourrir. Si vous utilisez un pot en terre cuite neuf, laissez-le tremper quelques heures dans l’eau avant d’y faire vos plantations: cela évitera à l’argile de se gorger d’eau d’arrosage, en principe prévue pour les plantes. Quant aux bacs en plastique, d’une esthétique discutable, ils présentent l’avantage d’être léger et souvent de couleur agréable. Dans des pots ou des jardinières, on peut cultiver sur un balcon ou sur une terrasse bon nombre de légumes et de petits fruits avec un rendement correct: au printemps et en été: les plantes aromatiques dont le basilic, les tomates, les tomates-cerises, les salades, les radis, les aubergines…à l’automne et en hiver: les salades dont la mâche
Les services innovants en bibliothèque Bonjour, Les services innovants en bibliothèque relèvent du concept de « Bibliothèque troisième lieu ». Nous vous proposons ainsi, un extrait de l’article de Mathilde Servet, intitulé « les Bibliothèques troisième lieu », publié dans le BBF d’avril 2010 (n°4, p. 57-63). En outre, vous trouverez, ci-dessous, une liste de références sur les bibliothèques troisième lieu, avec d’autres éclairages. Pour conclure, nous souhaitons vous informer que le Guichet du savoir n’a pas pour vocation de traiter les questions de bibliothéconomie. Bonnes recherches ! Qu’est-ce que le troisième lieu ? Le troisième lieu, notion forgée au début des années 1980 par Ray Oldenburg, professeur émérite de sociologie urbaine à l’université de Pensacola en Floride, se distingue du premier lieu, sphère du foyer, et du deuxième lieu, domaine du travail. Caractéristiques du troisième lieu :• Un espace neutre et vivant• Un lieu d’habitués• Comme à la maison…• L’œcuménisme social• Un cadre propice au débat
Café Bibliothèque – Un lieu multiple à Chabrillan, dans la vallée de la Drôme l'assertivité un outil pour les maîtres "S'affirmer sans s'opposer" L'assertivité est une démarche personnelle dont le but est de rechercher une communication constructive et positive notamment dans les relations professionnelles ou sociales. Cette démarche se refuse à l'agression, la soumission ou la manipulation . Elle s'incarne dans une affirmation tranquille de soi et une bonne mise à distance où comportements et personnes ne sont pas confondus. C'est l'art de s'affirmer sans s'opposer. Démarche non violente, elle s'inscrit dans une éthique de la responsabilité qui prend le réel en compte sans dogmatisme. Dans l'absolu, si l'on ne s'en tient pas à certaines interprétations un peu réductrices du monde du travail, il s'agit de rechercher la convergence du progrès social avec celle du projet personnel. Cette démarche permet aux acteurs d'objectiver ou professionnaliser leurs échanges, de travailler dans le cadre d'une démocratie cognitive où les objectifs sont exprimés en référence à des valeurs. Vincent Breton
Le projet Google est-il totalitaire ? - Idées C’est une mort qui est passée quasi inaperçue, celle d’un ancien géant du net, devenu quantité négligeable : en juillet dernier, Altavista cessait toute activité. Il y a quinze ans, Altavista était pourtant le moteur de recherche le plus prisé du web, car le plus performant. Oui mais voilà, il y a quinze ans, Google n’existait pas, ou si peu. L’histoire de Google commence en septembre 1998. 50 milliards de dollars de chiffres d’affaires annuel : c’est le poids économique d’une firme devenue tentaculaire, dominant largement le marché des moteurs de recherche donc de l’information, mais aussi celui de la vidéo avec Youtube, de la téléphonie mobile avec son système d’exploitation Androïd, de la cartographie avec Google maps et Google Earth…sans compter les révolutions à venir dans l’automobile, la vision augmentée, la longévité humaine... Vincent Puren, Gilles Babinet et Ariel Kyrou JCF © Radio France Bien plus qu’une simple entreprise, Google est devenu un acteur politique.
FICHE 1 La communication interpersonnelle est composée d'un ensemble de signaux non verbaux (comportements, gestes, attitudes 55% ) et verbaux (voix et intonation 45%). Avant d'avoir murmuré le moindre son, notre communication non verbale a déjà communiqué à hauteur de 55%. Nous fonctionnons comme un tout pour exprimer nos sentiments et nos pensées. En règle générale, si nous exprimons la colère avec notre corps, notre visage n'exprime pas la joie et la gaieté, il n'est pas souriant. Notre communication est inévitable car nous ne pouvons pas ne pas communiquer. Notre communication est intentionnelle, que cela soit pour découvrir ou apprendre, pour jouer (jeux de mots) ou persuader (vendre une idée ou un produit) ou encore se rapprocher de quelqu'un par exemple ou pour réfléchir. Attention, notre communication est irréversible. Élément de communication, la tenue vestimentaire joue, aussi, un rôle important dans notre communication. Vous souhaitez en savoir plus ou nous faire des commentaires ...
Comment faire un nuage de mot(s) dans un mot J’ai eu une petite commande récemment qui consistait à insérer une nuage de mots dans un mot. J’ai choisi le mot AMOUR (1) pour l’exercice. 1) aller sur le site gzaas.com. Ce site est normalement fait pour envoyer des twitts. Mais je l’utilise pour fabriquer mes vignettes. On pourrait utiliser un logiciel de retouche photo quelconque et ça marcherait aussi bien, mais avec gzaas.com, on a tout de suite des énormes caractères bien utile pour l’exercice que je propose. Dans l’exercice il faut choisir, une police convenable (chewy ((2), des lettres en noir (3) et un fond blanc (4) Il faudra ensuite faire une copie d’écran. Ensuite, je lance le logiciel photoscape (liste de sites pour télécharger photoscape) et rogner la copie d’écran, puis appuyer sur Enregistrer (en bas à droite). Et voilà le résultat de l’image récupérée. Pour faire un nuage de mots plutôt sophistiqué, il faut aller sur le site htagxedo.com. D’autres essais!
Bertrand Calenge revient sur la notion de bibliothèque troisième lieu à travers un billet sur son blog Carnet de notes. Depuis le mémoire de Mathilde Servet sur le sujet en 2009, ce concept est devenu “une formule magique” et semble être la solution miracle pour redorer le blason des bibliothèques, aujourd’hui en perte de vitesse. D’une manière justifiée, Bertrand Calenge critique ouvertement ces nouvelles structures qui, d’après ses propres mots, ne sont pas un concept. by sathura713 Dec 9