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Affaire Clearstream 1

Affaire Clearstream 1
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. D'après les défenseurs de Clearstream, aucune preuve de ces allégations n'avait été apportée. Clearstream n'a pas été créée pour le blanchiment d'argent et d'après eux aurait toujours uniquement servi à faciliter le règlement livraison des euro obligations. Aucune enquête judiciaire n'a établi que Cedel International, devenu Clearstream, ait mis en place un système de transactions ­occultes et des comptes secrets utilisés par des banques délictueuses ou des personnes privées. Les accusations de « Révélations »[modifier | modifier le code] L'accusation de Denis Robert et Ernest Backes repose sur quatre points: En mars 2001, Denis Robert et Ernest Backes ont présenté leurs travaux à l'intergroupe "Capital Tax, Fiscal Systems and Globalization" du Parlement européen ainsi qu'à l'Assemblée nationale (mission parlementaire de Vincent Peillon et Arnaud Montebourg). La réponse de Clearstream[modifier | modifier le code]

Clearstream Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Clearstream Logo de Clearstream Depuis 2001, elle est au centre d'une affaire financière, industrielle et internationale, l'affaire Clearstream 1, et en 2006, au cœur d'une affaire politico-financière, l'affaire Clearstream 2. Description[modifier | modifier le code] Historique[modifier | modifier le code] Clearstream a été créé en 1971 sous le nom de CEDEL. Les clients de Clearstream qui sont des banques ou des institutions financières et quelques entreprises (4 en 2006), ouvrent un compte en Clearstream par lequel seront réglées/livrées leurs transactions avec leur contrepartie elle-même banque ou institution financière. En janvier 2000, elle est devenue Clearstream par la fusion de Cedel International et Deutsche Börse Clearing, une filiale de Deutsche Börse Group, propriétaire de la bourse de Francfort qui en détient 50 %. Affaires judiciaires[modifier | modifier le code] Clearstream 1[modifier | modifier le code]

Gladio-Luxembourg : Juncker contraint de démissionner Inamovible Premier ministre du Luxembourg depuis 18 ans, Jean-Claude Juncker a présenté sa démission au Grand duc à l’issue de 7 heures de débats à la Chambre des députés. Des élections législatives anticipées devraient être convoquées. M. Juncker, démocrate-chrétien, a été lâché par ses alliés socialistes. La Chambre examinait, le 10 juillet 2013, le rôle du Premier ministre dans la gestion des services secrets, suite à la publication, le 5 juillet, du rapport de la Commission d’enquête sur le SREL. Les parlementaires ont fait mine de croire que le Gladio avait effectivement été dissous en 1990 et que les agissements ultérieurs du SERL étaient une dérive explicable par un manque de supervision du Premier ministre. Sur le même sujet : « Luxembourg : Jean-Claude Juncker refuse de démissionner pour le Gladio », Réseau Voltaire, 10 juillet 2013

Un énorme scandale au Luxembourg, impliquant les services secrets fait sauter le gouvernement Afin de vous donner envie de lire cet article, en voici quelques lignes : « L’importance du scandale des services secrets luxembourgeois va bien au-delà les frontières du Grand-Duché. Il permet de jeter un regard sur le fonctionnement interne des services secrets qui sont tout sauf des “agences de renseignement” politiquement neutres à qui il incomberait de protéger la population du danger. » Cette info, énorme en effet, n’a eu absolument aucun écho dans les média mainstream… Vous apprécierez ! Le gouvernement luxembourgeois démissionne à cause d’un scandale impliquant les services secrets Le gouvernement luxembourgeois a démissionné le 10 juillet suite à un scandale dans lequel sont impliqués les services de renseignement. La commission parlementaire a accusé Juncker de ne pas avoir informé correctement la commission de contrôle traitant des abus dont sont responsables les services secrets, ou de l’avoir fait incomplètement. Peter Schwarz SOURCE : www.mondialisation.ca

Commission européenne : Barroso et Juncker, anciens maoïste et trotskiste repérés par la CIA Barroso, ancien Premier ministre portugais, flamboyant soutien de Bush père lors de la première guerre en Irak, avait commencé son activité politique à l’âge de 18 ans dans un groupe maoïste après la révolution des œillets. Il était devenu leader du Parti du Prolétariat (MRPP) : « J’ai choisi les prochinois parce qu’ils étaient les plus anti-communistes », soulignait-t-il. Au mois de novembre 1975, une coalition hétéroclite allant des socialistes à l’extrême droite chassait les militaires de gauche au pouvoir et le MRPP de Barroso lui apportait son soutien. « Je me réveillais d’un rêve ou d’un cauchemar, je revenais dans mon cercle naturel, celui de la petite bourgeoisie », disait-il. La vérité sur ce personnage mérite quelques précisions. En est-il de même concernant Jean-Claude Juncker ? Il y a des rapprochements révélateurs.

Le gouvernement luxembourgeois démissionne dû à un scandale impliquant les services secrets Le gouvernement luxembourgeois a démissionné le 10 juillet suite à un scandale dans lequel sont impliqués les services de renseignement. Le premier ministre Jean-Claude Juncker a annoncé la démission de son gouvernement et de nouvelles élections après qu’une commission parlementaire soit parvenu à la conclusion que Juncker avait perdu le contrôle des services secrets du pays, le SREL (Service de Renseignement de l’État du Luxembourg). Pendant des années, le SREL a fonctionné hors de toute supervision et espionné des politiciens de haut rang, y compris Juncker lui-même. La commission parlementaire a accusé Juncker de ne pas avoir informé correctement la commission de contrôle traitant des abus dont sont responsables les services secrets, ou de l’avoir fait incomplètement. Dans un débat parlementaire véhément jeudi 11 juillet, Juncker, un Chrétien-démocrate, a nié toute responsabilité personnelle. Peter Schwarz

Europe : austérité pour les peuples, pas pour les multinationales Les accords fiscaux secrets passés entre des centaines de firmes et le Luxembourg, afin de soustraire des milliards d'euros à l'impôt, ont forcément été couverts par le président de la Commission européenne. Quarante médias internationaux s'appuyant sur des documents obtenus par le Consortium international des journalistes d'investigation (ICIJ) viennent de révéler l'existence d'accords fiscaux secrets entre le Luxembourg et 340 multinationales, dont Apple, Amazon, Ikea, Pepsi ou Axa. Ces accords, qui permettent à ces firmes de minimiser leurs impôts, représentent des milliards d'euros de recettes fiscales perdues pour les États où ces entreprises réalisent des bénéfices, selon l'ICIJ et ses médias partenaires, dont Le Monde en France, The Guardian au Royaume-Uni, le Süddeutsche Zeitung en Allemagne, l'Asahi Shimbun au Japon. On savait que le Luxembourg était le Duché de l'évasion fiscale.

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