Emmanuel Kant Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Emmanuel Kant Philosophe occidental Époque moderne Biographie[modifier | modifier le code] Emmanuel Kant naît en 1724 à Königsberg en Prusse-Orientale (actuellement Kaliningrad en Russie) dans un milieu modeste : son père, d'origine écossaise, est sellier, et sa mère, décrite par Kant comme une femme très intelligente, est foncièrement piétiste. C'est là qu'il découvre Newton et la physique, preuve selon lui qu'une science a priori de la nature est possible (c’est-à-dire les mathématiques et la physique)[2]. En 1746, la mort de son père l’oblige à interrompre ses études pour donner des cours : il est engagé comme précepteur par des familles aisées et il accomplit cette tâche durant neuf ans. En 1755, il obtient une promotion universitaire et une habilitation grâce à une dissertation sur les principes premiers de la connaissance métaphysique. En 1781 paraît la première édition de la Critique de la raison pure.
Thomas d'Aquin Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Thomas d'Aquin Théologien et philosophe occidental Théologie et philosophie médiévale Thomas d'Aquin (né en 1224/1225 au château de Roccasecca près d'Aquino, en Italie du Sud, mort le à l'abbaye de Fossanova près de Priverno dans le Latium), est un religieux de l'ordre dominicain, célèbre pour son œuvre théologique et philosophique. De son nom dérivent les termes : « thomisme » / « thomiste » : concerne l'école ou le courant philosophico-théologique qui se réclame de Thomas d'Aquin et en développe les principes au-delà de la lettre de son expression historique initiale ;« néo-thomisme » : courant de pensée philosophico-théologique de type thomiste, développé à partir XIXe siècle pour répondre aux objections posées au christianisme catholique par la modernité ;« thomasien » : ce qui relève de la pensée de Thomas d'Aquin lui-même, indépendamment des développements historiques induits par sa réception. Biographie[modifier | modifier le code]
Entretien d'explicitation Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L’entretien d’explicitation est un entretien qui vise une description aussi fine que possible d'une activité passée, réalisée par une personne en situation de pratique professionnelle ou engagée dans la réalisation d'une tâche. Élaboré par le psychologue et chercheur Pierre Vermersch (CNRS, GREX), cet ensemble de techniques permet d'accéder à des dimensions du vécu de l'action qui ne sont pas immédiatement présentes à la conscience de la personne. Le but de cet entretien est de s’informer, à la fois de ce qui s’est réellement passé ainsi que des connaissances implicites inscrites dans cette action. Historique de l'entretien d'explicitation[modifier | modifier le code] Les préoccupations de Pierre Vermersch rencontrent celles des praticiens. Présentation de l'entretien d'explicitation[modifier | modifier le code] Comme toute technique, l'entretien d'explicitation fait l'objet d'une formation de base par la pratique encadrée de celui-ci.
Immanence Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Perspective de l'immanence[modifier | modifier le code] La pensée de l'immanence ou de la transcendance de Dieu a divisé les philosophes médiévaux, néo-platoniciens d'après Augustin d'Hippone, ou aristotéliciens d'après Albert le Grand et Thomas d'Aquin. Le symbole de Chalcédoine affirme que le Christ est consubstantiel à l'homme selon l'humanité : cette immanence engage le Saint-Esprit et permet la prière. Dans Pascendi, le pape Pie X a critiqué l'abus de cette notion dans la philosophie de Baruch Spinoza et Emmanuel Kant. Pour Spinoza[modifier | modifier le code] Pour Baruch Spinoza, l'immanence détermine ce qui est par la coprésence de Dieu à la nature ; Dieu est alors ce qui constitue toute valeur et toute intelligibilité. Pour Friedrich Hegel[modifier | modifier le code] Pour Hegel, la négation de l'immanence des choses précise davantage ces « choses » de même que « l'esprit absolu » est précisé par la médiation. Portail de la philosophie
Distinction entre acte et puissance Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La distinction entre acte et puissance, ainsi que la notion d'entéléchie, remontent à Aristote. Histoire de ces concepts[modifier | modifier le code] Aristote[modifier | modifier le code] La puissance (en grec dunamis ou dynamis, δύναμις) est chez Aristote associée à la matière, alors que l'acte relève plutôt des causes formelles et finales (voir Causalité aristotélicienne). La puissance représente donc l'indéterminé et le possible : un bloc de marbre recèle en puissance une infinité de statues, mais une seule en émergera. Quant à l'entéléchie, elle est souvent difficile à distinguer de l'acte dans les textes d'Aristote. Entendons la puissance comme l'agissement, en cela elle se rapproche de la conception aristotélicienne. L'idéalisme et la puissance font-ils bon ménage ? Thomisme[modifier | modifier le code] Leibniz[modifier | modifier le code] Driesch et Carnap[modifier | modifier le code] À quoi Carnap riposta à son tour que :
Panthéisme Le panthéisme est une doctrine philosophique selon laquelle « Dieu est tout ». Elle se distingue du monothéisme en considérant que Dieu n'est pas un être personnel distinct du monde, mais qu'il est l'intégralité du monde ; cette conception est appelée l'immanence par opposition au principe de transcendance du Dieu créateur monothéiste. Le panthéisme est distinct du panenthéisme nommé « acosmique » par Hegel (tout est en Dieu[6]), qui est quant à lui une doctrine issue du panthéisme. Le panthéisme entretient en revanche certains rapports avec les courants monistes. Typologie des panthéismes[modifier | modifier le code] L'histoire de la philosophie distingue communément plusieurs types de panthéisme. De façon courante on oppose naturalisme et formalisme[7]. a) Le panthéisme matériel ou panthéisme naturaliste identifie Dieu au monde. On peut aussi opposer l'avant et l'après Kant[10]. a) Le panthéisme pré-kantien est réaliste. Philosophie indienne[modifier | modifier le code] On distingue :
Les forums Passerelles EJE / référentiel de jeux et "activités" en crèche Idées d'activités Les astérisques désignent les activités faisant appel à la motricité fine Collage : quoi ? - motifs (serviettes en papier, animaux ou formes prédécoupées…)- poudres colorées ou sels colorés *- confettis (saupoudrer) *- semoule (saupoudrer) *- riz (saupoudrer) *- farine (saupoudrer) *- coton- pelures de taille crayon- grains de café- papier déchiré- plumes- laine- tissus- paillettes (saupoudrer) *- gommettes *- une épaisseur de PQ ou de serviette en papier- natures mortes : feuilles mortes, écorces, brins d’herbes, aiguilles de pin…- … Peinture : avec quoi ? Peinture : variantes - peinture & produit vaisselle (mélanger de la peinture liquide à du produit vaisselle. - peinture propre : poser une grande feuille de papier au sol, y disposer plusieurs noix de peinture à différents endroits de la feuille, et poser un film plastique par dessus. Supports (pour collage, peinture, crayonnage... Manipulations - patouille : mélanger de l'eau et de la maïzena. - la pâte à modeler
Le thomisme: introduction à la philosophie de Saint Thomas d'Aquin - Etienne Gilson