Brzezinski prend acte de la crise du Système Zbigniew Brzezinski a bien modifié sa vision du monde, depuis son jeu d’échec des années 1990 qui décrivait le triomphe global des USA grâce à d’habiles combinaisons géopolitiques mélangeant la force brute, le cynisme et les pressions d’influence. (Voir, le livre Le grand échiquier de Zbigniew Brzezinski, en 1997.) Aujourd’hui, en 2012, il publie Strategic Vision: America and the Crisis of Global Power ; plus rien à voir avec les échecs, et tout avec l’échec de la puissance américaniste tant célébrée... Arnaud de Borchgrave a écouté une conférence de présentation de son livre par l’auteur. Borchgrave rend compte de la chose pour UPI, le 13 février 2012 «Talking about his 20th book ‘Strategic Vision -- America and the Crisis of Global Power’ – and arguably best geopolitical tome, Zbig, as he is universally known, said: “After the dissolution of the Soviet Union, we saw the emergence of a single power -- the United States.
Hollande mis en cause par un ex-élu sur un dossier de corruption Jeudi 23 février 4 23 /02 /Fév 16:24 par Thierry Lévêque PARIS (Reuters) - Un ancien élu PS du Pas-de-Calais décrit dans un livre un système de corruption mis en place selon lui de longue date dans sa région par son parti, et assure que François Hollande n'a pu en ignorer l'existence. Gérard Dalongeville, ancien maire de Hénin-Beaumont, écroué durant huit mois pour corruption en 2009, décrit dans cet ouvrage sorti jeudi, "Rose mafia", un dispositif, dit-il, devenu habituel, avec enveloppes d'argent en espèces, marchés truqués et clientélisme. Il désigne François Hollande, premier secrétaire du PS de 1997 à 2008. "Qui peut croire que ni Aubry ni Hollande n'aient jamais été informés des irrégularités, des dérives de la fédération du Pas-de-Calais ?" Ce silence de François Hollande, actuel candidat à la présidentielle, tiendrait, selon le livre, à ses liens avec Jean-Pierre Kucheida, dit "JPK", député-maire de Liévin et homme fort depuis deux décennies du PS dans son fief du bassin minier.
1982 Association française des entreprises privées Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'Association française des entreprises privées est une association qui réunit la plus grande partie des grandes entreprises françaises[1]. En 2013, elle revendique 104 adhérents grands comptes totalisant un chiffre d'affaires consolidé de 1 700 milliards d'euros et 6,7 millions de salariés dans le monde[2]. Historique[modifier | modifier le code] Elle a été fondée en décembre 1982 par Ambroise Roux et Dominique Strauss-Kahn après l'arrivée de François Mitterrand au pouvoir. Elle défend les principes de la libre entreprise et compte sur sa discrétion et la technicité reconnue de ses experts pour faire avancer ses vues. Ni ses statuts ni la composition de son conseil d'administration ne sont publics. Qu'il s'agisse de la fiscalité des groupes, du droit financier ou de celui du travail, les ministres sont régulièrement invités à venir défendre leur point de vue devant les grands patrons. Présidents[modifier | modifier le code] Site officiel
OGM : suicide " collectif " de 1500 fermiers indiens La vérité émerge lentement: un rapport du Ministère (indien) de l’Intérieur sur les morts par suicide, indique que, jusqu’à 2003, environ 100 000 fermiers se sont suicidés en six ans en Inde. Ces dernières semaines, 1500 fermiers se sont suicidés collectivement en Inde, dans la province de Chattisgarh. Un phénomène récurrent, puisque les chiffres officiels font état de 1000 suicides mensuels... depuis plus de quinze ans. Depuis le milieu des années 80, l'Inde a accepté d'ouvrir totalement son marché en contrepartie de l'aide du Fonds Monétaire International. What a wonderfull world (Company)... Sauf que les semences OGM de coton Bt (de Monsanto, faut-il le préciser) sont tombées malades, infestées par le vers (vorace) de la capsule. Disparition des variétés traditionnelles En 2006, le ministère indien de l'agriculture déclarait que la moitié des foyers paysans étaient endettés. Source: les mots ont un sens
Le Grand Échiquier Très proche de l’exécutif américain, ancien conseiller à la sécurité de la présidence des Etats-Unis, expert fort écouté du Center for Strategic and International Studies, membre du très influent Council on Foreign Relations, Zbigniew Brzezinski est loin d’être un personnage de second rang. Quelques années après le médiatique « Clash of civilisations » de Samuel P. Huntington, où développant le concept d’Occident cet auteur désignait les adversaires des Etats-Unis et l’importance du bloc islamo-confuséen, et où le paradigme de l’après Guerre Froide devenait le choc des civilisations, Brzezinski faisait paraître The grand chessboard. Cet ouvrage est un examen sérieux de géopolitique mondiale, et trace les objectifs stratégiques des Etats-Unis pour les prochaines décennies. Dans le premier chapitre, nous est brossé le tableau de l’évolution de la puissance américaine depuis 1898 (guerre contre l’Espagne) jusqu’à son état actuel de première puissance mondiale.
Le capitalisme en crise a besoin d’un conflit militaire majeur Pour Jean-Loup Izambert, journaliste indépendant et écrivain, qui publie son septième ouvrage (1) sous le titre de Pourquoi la crise ? aux éditions Amalthée, la crise du capitalisme est devenue totale. Contrairement aux déclarations de certains économistes et politiciens, il affirme qu’il n’y aura pas de sortie de crise. Geostrategie : Vous démontrez dans votre livre Pourquoi la crise ? Jean-Loup Izambert : C’est évident. Geostrategie : Quels faits caractérisent aujourd’hui cette concentration des richesses ? J-L.I. : Aujourd’hui 200 sociétés transnationales contrôlent plus de 23% du commerce mondial et 1% des plus riches détient plus de 57% des richesses produites. Les dirigeants bourgeois organisent le déficit des nations Geostrategie : Comment le pouvoir politique favorise-t-il ces grands propriétaires privés de l’économie ? J-L.I.: De différentes manières. J-L.I. : Comme je l’ai dit, la crise est liée à la nature même du capitalisme. Une exigence de destruction
Surge in Corporate Welfare: CTJ Analysis A startling surge in corporate tax welfare is expected to drive corporate income taxes over the next two years down to only 1.3 percent of the gross domestic product. That will be the lowest level since the early 1980s—and the second lowest level in at least six decades. Driven in part by the new corporate tax breaks just enacted in the so-called “stimulus” bill, the total cost to ordinary American taxpayers of corporate tax welfare will exceed $170 billion annually in each of the next two years. In fact, for the first time since the early eighties, corporate tax loopholes will actually cost more than companies pay in income taxes in fiscal 2002 and 2003. What has this meant for specific companies? Even before this year’s new corporate loopholes, corporate tax welfare had been expanding rapidly. From 1996 through 2000, just ten large profitable companies enjoyed a total of $50 billion in corporate tax breaks. Ford enjoyed $9.1 billion in corporate tax welfare over the past five years.
L'ONU, ce «machin» qui n'a pas changé Il semble qu’on ne s’y attende même plus. Voir les Nations Unies agir pour limiter les dégâts dans un pays en crise n’est plus que le fantasme de quelques idéalistes. Ces derniers temps, la Côte d’Ivoire et la Libye ont encore donné les preuves de l’incapacité de la communauté internationale à mettre en pratique la fameuse «responsabilité de protéger» les populations. Retour sur les derniers échecs en date de la diplomatie internationale. Les derniers échecs de la communauté internationale Côte d’Ivoire, Libye; à l’ONU, même combat: on discute, on pinaille, on se réunit, et surtout on se déclare préoccupé, voire «très inquiet». Des sanctions sur Kadhafi et ses proches, un possible renforcement des sanctions, un accueil «favorable» des décisions, des demandes et des déclarations des groupes régionaux, des discussions sur une zone d’exclusion aérienne... Lundi, le Conseil s’est à nouveau montré poli. L’angoisse de l’interventionnisme Le Conseil de Sécurité a les moyens d’agir. Camille Biet
ENQUÊTE: LES MANIPULATIONS DES ETATS-UNIS DANS LES BANLIEUES FRANCAISES Oumma.com et Saphirnews sont des organes de la CIA ? Oh putain ! D’un autre coté, quand on voit comment les jeunes des banlieues se font emmerder chaque jour, pas étonnant qu’ils sont réceptifs au discours de l’ambassade U.S. – il vaut mieux qu’ils aillent se faire endoctriner à New-York que d’aller faire le Jihad à Kandahar… [Emmanuel Ratier - Fait & Documents n°308 - Janvier 2011] Au travers de nos enquêtes sur les American Presence posts (n° 94) ou sur la French-American Foundation (n° 271 et 272), F&D a été le premier média français à s’interroger sur la restructuration de l’influence américaine en France. Les menées américaines en France ne sont pas nouvelles. Ceux qui croiraient que ces pratiques de la Guerre froide sont enterrées depuis belle lurette se trompent : elles sont à nouveau utilisées en France depuis plusieurs années en direction de ceux qui seront bientôt les nouveaux supplétifs des Américains : les minorités immigrées, en particulier musulmanes. 1) Résumé. Tactique 4.
Exclusivité : liste des politiques corrompus par les lobbys pharmaceutiques Les rebondissements du scandale du Mediator n’ont pas fini d’éclabousser ceux qui effectuaient tranquillement jusqu’ici leur petit business sans rien demander à personne. Les révélations du Figaro sur les liens entre Servier et un expert ayant relu le rapport d’enquête du Sénat ne sont que la scandaleuse partie émergée de l’iceberg. Comme dans tout scandale, lorsque l’on veut creuser une information, on apprend beaucoup en regardant celui qui fait le plus de bruit. Dans Ouest-France nous pouvions lire : Pour le député PS Gérard Bapt, président de la commission d’enquête parlementaire sur le Mediator, ces nouvelles révélations « viennent confirmer ce que l’on sait déjà : les impressionnantes ramifications de Servier au sein du monde politique. Chiche ! C’est ce qu’a demandé Gérard Larcher en saisissant le Secrétaire Général du Sénat sur le rapport Mediator. Faut-il cependant s’arrêter à la seule affaire Mediator ? De nombreux parlementaires en faisaient partie. Ni vu ni connu. Références