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Le Ministère de la culture et de la communication : Le droit de prêt en bibliothèque - juillet 2003

Le Ministère de la culture et de la communication : Le droit de prêt en bibliothèque - juillet 2003

Après la pétition en faveur du prêt payant des livres. Polémique en Faut-il instituer le prêt payant en bibliothèque pour sauver l'économie du livre? Ainsi (mal) formulé, le débat est en train d'enflammer l'opinion publique. Il couvait depuis longtemps, au vrai, dans les milieux professionnels de l'édition. Il a explosé au grand jour, et à la figure de Catherine Tasca, le 28 mars, avec l'adresse à la toute nouvelle ministre de la Culture d'une lettre-pétition réclamant la rémunération du droit de prêt: portant l'en-tête de la Société des gens de lettres et du Syndicat des éditeurs, le document était ratifié par 288 écrivains prêts à interdire le prêt de leurs ouvrages en bibliothèque. Essor. Jérôme Lindon (des éditions de Minuit), qui a déjà été le père spirituel de la loi Lang sur le prix unique du livre, a fait de la croisade «pour la rémunération du droit de prêt» son nouveau cheval de bataille (lire page 4). Retraite. Un clan adverse s'est immédiatement manifesté. Connotation idéologique. La défense du droit d'auteur, d'abord. Financement.

Blog de Lionel Maurel : juriste et bibliothécaire à la BDIC « Faut-il encore des bibliothécaires ? « Faut-il encore des bibliothécaires ? » Cette interrogation teintée d’un soupçon de provocation, posée à l’occasion du Salon du livre de Paris, le 19 mars dernier, a réuni autour d’une table ronde modérée par Christophe Pavlidès, directeur de Médiadix, Anne-Marie Bertrand, directrice de l’École nationale supérieure des sciences de l’information et des bibliothèques, Dominique Arot, doyen de l’Inspection générale des bibliothèques, et Marie-Christine Pascal, chargée de mission au Service du livre et de la lecture, au ministère de la Culture et de la Communication. Devant un public véritablement entassé dans « l’agora de Biblidoc », les intervenants devaient questionner des sujets tels que : « Qu’est ce qui fait aujourd’hui la spécificité du métier de bibliothécaire alors que ses compétences techniques traditionnelles peuvent sembler être de moins en moins sollicitées ? Les bibliothèques ont-elles besoin de mobiliser d’autres corps de métier ? Quelles alliances nouer ?

Saint Finnian et le Necronomicon du Copyright « :: S.I.Lex :: Il y a quelques temps, je me suis demandé si le droit d’auteur ne rendait pas fou, face à la multiplication d’affaires traduisant un dérapage de la propriété intellectuelle. Le copyright dégénère de plus en plus souvent en copyfraud (revendication abusive de droit), avec les conséquences néfastes que l’on sait pour l’accès au domaine public, à la connaissance et à l’information. Pour essayer de mieux comprendre ce phénomène, je me suis replongé dans l’histoire du droit d’auteur, exercice toujours instructif pour prendre un peu de recul et redonner du sens lors des périodes tourmentées (je vous recommande à cet effet l’ouvrage de Françoise Chaudenson A qui appartient l’oeuvre d’art ?). Et de fil en aiguille, j’en suis venu à me demander jusqu’où on pouvait rembobiner ainsi l’écheveau du copyright. A ma gauche, Saint Colomban : premier pirate de l’Histoire ? A ma droite, Saint Finnian : premier copyfraudeur de l’Histoire ! On imagine bien Finnian en adepte des DRM rustiques de l'époque !

Conférence de Lionel Maurel, droit d'auteur, numérique et bibliothèques : Lionel Maurel Intervention de Lionel Maurel (Calimaq, auteur du blog S.I.Lex) pour les bibliothèques de Rennes en mars 2015 : Le droit d'auteur, le numérique et les bibliothèques. Consulter le support de formation sur SlideShare 1. Les grands principes du droit d'auteur (1h36)La notion d'œuvre protégée ; les titulaires de droits ; les différentes composantes du droit d'auteur (droit moral, droits patrimoniaux) ; la durée des droits ; l'exercice du droit d'auteur et les contrats ; les exceptions au droit d'auteur ; les droits voisins ; la gestion collective des droits. 2. 3. 4.

Un rapport balise l'avenir des bibliothèques départementales de prêt Dans un rapport intitulé « les bibliothèques départementales de prêt : indispensables autrement », l’inspection générale des bibliothèques (IGB) propose un état des lieux des 95 les bibliothèques départementales de prêt (BDP) et des scénarii pour l’avenir. «Depuis la décentralisation, c’est la première fois qu’est publié un rapport exclusivement consacré à l’ensemble des BDP, souligne Jean-Luc Gautier-Gentès, inspecteur général des bibliothèques et co-auteur du rapport (1). Nous voulions combler ce manque, d’autant plus que les BDP se trouvent dans un contexte marqué par l’évolution des collectivités territoriales. » Bouleversements. La réforme territoriale en cours (2), le développement des intercommunalités, et l’émergence des métropoles constituent autant de facteurs qui bouleversent le cadre d’intervention des BDP, compétence obligatoire des conseils généraux depuis les premières lois de décentralisation pour assurer la desserte documentaire du territoire départemental. Défi. Focus

Les écrivains contre les prêts gratuits - Culture L’augmentation du nombre de prêts gratuits dans les bibliothèques inquiète les écrivains. A l’initiative de la Société des Gens de Lettres (SDGL), du Syndicat national de l'édition (SNE) et de la Société française des intérêts des auteurs de l'écrit (SOFIA), 288 écrivains ont envoyé une lettre à la nouvelle ministre de la Culture, Catherine Tasca, pour indiquer leur opposition au prêt gratuit dans les bibliothèques. Des auteurs, tels Jacques Chessex, Pierre Bellemare, Thierry Pfister, Hervé de Charette, Régine Deforges, et Henri Troyat ont participé à cette démarche. «Une véritable contrefaçon» "Aujourd'hui, pour une vente globale annuelle de 300 millions d'exemplaires, les seules bibliothèques municipales effectuent en France 154 millions de prêts, chiffre en constante augmentation, sans que ces prêts donnent lieu à la moindre rémunération des auteurs ou de leurs ayants droit", écrivent-ils dans la lettre envoyée à la ministre de la culture.

Les jeux vidéo en bibliothèque sont illégaux. Oui, et alors En février dernier est paru un rapport de l’Inspection Générale des Bibliothèques (IGB) écrit par Françoise Legendre relatif à la place des jeux dans ces établissements, et plus particulièrement des jeux vidéo. C’est une lecture intéressante, et je dirais même encourageante, parce que l’IGB incite clairement les bibliothèques à accompagner l’essor des pratiques culturelles en matière de jeux vidéo en développant des collections et des activités autour de ces types de média. Le rapport cite aussi un grand nombre d’initiatives en cours, montrant que les bibliothèques en France sont déjà engagées, parfois avec beaucoup d’inventivité, dans cette démarche de valorisation des jeux vidéo auprès de leur public. Invaders. Public Domain. Mais cette étude contient aussi une partie consacrée aux aspects juridiques de la question, qui s’avère beaucoup plus dérangeante. Le mythe du « vide juridique » Les jeux vidéo sont illégaux en bibliothèque. Quels espoirs de légalisation ? Les glaneuses. J'aime :

L'artothèque L'art à portée de main L'Artothèque municipale de Grenoble, située au cœur de la bibliothèque Kateb Yacine, vous invite à découvrir l'art contemporain à travers une collection riche de 650 photographies et de plus de 1 000 estampes accessibles à tous.Les estampes sont des gravures, lithographies ou sérigraphies d'artistes représentatifs des courants d'art de la fin des années 50 à aujourd'hui. La collection de photographie contemporaine, contituée depuis les années 80, propose une grande diversité de regards à travers les œuvres de 150 photographes. Emprunter une œuvre d'art, c'est facile ! La carte d'abonné individuel vous permet d'emprunter 3 œuvres pour trois mois.Le transport et l'assurance des œuvres sont à la charge de l'emprunteur Découvrir des artistes, aller à la rencontre de la création contemporaine Cinq fois par an, l'artothèque organise des expositions de photographes ou d'artistes contemporains. L'art dans votre collectivité

Bibliothèques et réorganisation territoriale Si le big bang territorial annoncé devait être entièrement réalisé, qu’adviendrait-il des différents segments de l’action publique locale ? Prenons l’exemple des bibliothèques dans l’espoir d’éclairer l’ensemble. La compétence de base relève des communes à qui revient de mettre en place et de développer le premier réseau culturel français et l’un des tout premiers réseaux de proximité avec ses quelque 17 000 lieux qui sont aussi d’irremplaçables espaces publics ouverts à tous, facilitateurs du lien social. Le cadre intercommunal a commencé à faire ses preuves, permettant d’étendre les services à la population et d’en mutualiser la gestion, moyennant une gamme étendue d’options, de la mise en réseau d’équipements communaux à leur transfert intégral des équipements. La redéfinition annoncée des périmètres à l’échelle des bassins de vie peut renforcer ce mouvement si ne sont pas remis en cause les acquis de solides réseaux existants.

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