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Les arbres de connaissances Publié par PedagoGeeks le 30 juin 2011 | Dans les catégories suivantes Compétences, Innovation, Innovation, Projet Professionnel Tout le monde sait quelque chose, personne sait tout ! C’est un postulat simple mais qui plaide pour les méthodes actives et collaboratives en apprentissage : la connaissance collective est supérieure à la somme de ses partie. Une difficulté vient alors d’identifier, de visualiser et de valoriser les connaissances collectives d’un groupe de personnes, d’apprenants. En 1991, Edith Cresson alors premier ministre a chargé Michel Serrès de mener des travaux sur l’université en France et les compétences. Plus la couleur va vers le rouge et le marron plus la connaissance est partagée : ces zones constituent le socle commun de connaissances du groupe, donc le tronc. Plus la couleur est vert clair voire blanche, plus la connaissance est portée par un minimum de personne : elles sont visualisées par les feuilles de l’arbre. Les arbres de connaissances sur WikiPédia
Business ecology and the four customer currenci Lately, I’ve been rethinking the concept of “business model” for startups, in favor of something I call “business ecology.” In an ecosystem, each participant acts according to its own imperatives, but these selfish actions have an aggregate effect. Some ecosystems are stable, others malign, and others grow and prosper. A successful startup strives for this latter case. I think this concept is necessary in order to answer the truly vexing startup questions, like: “Should startups charge customers money from day one?” Let’s begin with the four customer currencies. If players with more money than others can simply buy their way to the top of the heap, a multiplayer game fails – because this makes the game un-fun for other players. Each of these four currencies represents a way for a customer to “pay” for services from a company. Here’s the ecosystem we built at IMVU, just to give one example. Having a balanced ecosystem is what game designers strive for.
Pearltrees releases a new version, without any pearls nor trees The Paris-based startup founded in 2009 once declared: “We focus on the visual potential of Pearltrees to let people dive deeply into their interests and nearly feel them”. Their product, offering a digital curation tool, was unique because of the visual interface voluntareely original: links and folders symbolized by rounded pearls attached together like the branches of a tree. Today, pearls and trees have disappeared to make room for a brand new and larger organisation tool. Two years ago, everyone wanted to build products around “curation” and “interest graph”. Today the keywords have shifted to “collaborative SaaS tool” and “organizing data”. Pearltrees, who has raised €8,5 million in two rounds, is renewing itself to match the new trends by releasing a new version focused on organization of collections in a more “obvious” way. Why giving up the core of the product, after 4,5 years of existence and 1,7 million users?
Pinterest fête son premier anniversaire en France INTERNET - Lancé il y a tout juste un an en France, le réseau social Pinterest veut poursuivre sa conquête d’utilisateurs, mais séduire aussi les marques… Êtes-vous un «épingleur»? Épinglez-vous, vous aussi, des images sur Pinterest? Lancé il y a 4 ans aux Etats-Unis et le 11 juin 2013 en France, le réseau social fait ses comptes. Raconter une histoire Loin des Facebook, Twitter et autres Instagram, Pinterest veut être un réseau social différent. 750 millions de collections Mais le but de Pinterest est aussi de créer du trafic vers des sites de marques et déclencher des actes d’achat. Christophe Séfrin Plus d'informations sur ce sujet en vidéo
Pearltrees : la bibliothèque aux 100 milles curateurs Lorsqu’on lui demande quel est son parcours, il pousse un soupir “j’ai fait pas mal de choses” : ingénieur, chercheur en sociologie, consultant en stratégie dans les médias…. L’idée de Pearltrees lui serait venue alors qu’il publiait un papier dans la revue française de sciences politiques en 2006 sur la théorie des réseaux mais qui “n’avait rien à voir avec le web”. A l’époque, on se demandait si des initiatives comme Wikipedia et Youtube allaient fonctionner. Deux ans plus tard, Pearltrees, est “un petit projet dans un appart en 2008”. Il part de ce constat simple : il y a énormément de contenu sur le Web, comment laisser l’internaute se l’approprier en l’organisant à sa guise ? Une bibliothèque augmentée Tout d’abord Pearltrees permet d’organiser le contenu que vous visitez sur le Web. Le pearltrees de TedX Paris Rajoutez y une pointe de curation et l’on obtient cette nouveauté qui fait mouche. « Organiser le contenu comme une bibliothèque, mais ouverte .»
Pearltrees plate-forme 5 millions d’euros : c’est la somme que vient de lever l’une des icônes françaises de la curation, Pearltrees, auprès du fonds d’investissement Accueil, nous révèle le site FrenchWeb. Un quatrième tour de table pour la jeune société démarrée en 2009 qui a récolté quelque 8,5 millions d’euros en levée de fonds depuis sa création. La société serait par ailleurs valorisé quelque 10 millions d’euros, et compte dans son actionnariat Pierre Kosciusko-Morizet, le fondateur de Priceminister. Pearltrees est un service de curation dite sociale à travers lequel les utilisateurs collectent, classent, hiérarchisent et partagent du contenu pioché sur le Web. Cet apport devrait permettre à la start-up de mettre en place son modèle économique. regroupés les documents et les fichiers de chacun. Cette levée servira également à industrialiser les développements du service, en se focalisant notamment sur la diversification dans les tablettes (Pearltrees est déjà disponible sur iOS).
Pearltrees lance une version premium Pearltrees est un outil de curation visuelle que l’on ne présente plus. L’outil vient cependant de lancer une version premium qui offre une véritable valeur ajoutée au service. Si vous n’êtes pas encore utilisateur, je vous invite à aller découvrir les perles et les arbres Pearltrees pour votre curation. Le service propose un système original pour organiser vos découvertes sur le Web sous la forme de cartes thématiques. Chaque page Web ou ressource que vous souhaitez conserver correspond à une perle qu’il est ensuite possible de déplacer et de classer du bout de la souris dans des dossiers de perles ou arbres de perles (pearltrees). On est pas trés loin d’une carte heuristique. Ce qui fait la force de Pearltrees c’est la possibilité d’interconnecter chaque perle de vos arbres avec les cartes d’autres utilisateurs via des perles communes. Pearltrees né en France a à peine plus de deux ans et c’est fait une place dans l’univers trés concurrentiel des outils de curation.
Pearltrees passe en version 2.0 et change radicalement d'interface L’outil de curation web basé à Paris Pearltrees vient de passer en version 2.0. Les changements sont assez radicaux pour ce service qui permet à un ou plusieurs utilisateurs en collaboration d’organiser et de partager des collections composées de pages web, d’images, de notes ou encore de fichiers. Jusqu’à présent, l’interface en Flash se présentait sous la forme d’arbres composés de perles. Pour se plier aux standards actuels et probablement pour rendre le fonctionnement du service plus intuitif, Pearltrees 2.0 passe au HTML5 et abandonne les perles qui ont fait son nom au profit de grilles dynamiques. La possibilité de glisser-déposer un élément (document, page web…etc.) dans sa collection depuis son navigateur ou même le Bureau a été ajoutée. Si le passage au HTML5 concerne la version web du service, les applications Android et iOS sont aussi revues.
Pearltrees : nouveau design et passage au HTML5 Pearltrees, l’une des meilleures révélations start-up françaises de ces dernières années, fait un redesign de son interface et passe au HTML5. Utilisateur de Pearltrees ? Lancez votre application et connectez-vous. Mais outre cela, le Pearltrees est passé au HTML5, le nouveau standard pour les applications web. Dorénavant, il est également possible de faire des glisser/déposer depuis son PC pour copier du contenu sur Pearltrees. Pearltrees : ça sert à quoi au fait ? Vous faites peut-être partie de ces internautes qui ont déjà vu des « Pearltrees » mais qui n’ont pas vraiment compris l’utilité de l’application. Pour les étudiants, il s’agit d’un outil pertinent pour organiser et partager sa veille en toute facilité. Actuellement, Pealtrees compte 2 millions de contributeurs et 3 millions d’utilisateurs actifs mensuels.
Comment détruire votre communauté en 10 leçons Si vous avez le malheur de développer un projet « open source » au sein de votre entreprise alors vous courrez le risque de voir arriver une « communauté » qui peut à tout moment s’agréger autour du code source de votre logiciel et en menacer sa bonne gouvernance. Heureusement le développeur Josh Berkus est là pour vous expliquer point par point comment faire pour être certain de ruiner et dissoudre toute velléité communautaire (au cours d’une intervention donnée il y a un mois à la Linux.Conf.au et relatée ici par Jonathan Corbet)[1] Un article évidemment ironique (qui détourne les howto), mais qui donne à réfléchir sur les relations subtiles et complexes qui peuvent exister entre les communautés et les entreprises qui œuvrent sur un même projet. Pas toujours facile de se comprendre en effet quand les uns disent plutôt « logiciel libre » et les autres plutôt « open source » (voire même parfois carrément « fauxopen source »). Comment détruire votre communauté : mode d’emploi 1. 2. 3. 4. 5.
Ergonomie : Pearltrees reçoit 320.000 euros d'Oséo