Home Internet Corporation for Assigned Names and Numbers Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Internet Corporation for Assigned Names and Numbers Internet Corporation for Assigned Names and Numbers (ICANN, en français, la Société pour l'attribution des noms de domaine et des numéros sur Internet) est une autorité de régulation de l'Internet. C'est une société de droit californien à but non lucratif ayant pour principales missions d'administrer les ressources numériques d'Internet, tels que l'adressage IP et les noms de domaines de premier niveau (TLD), et de coordonner les acteurs techniques[1]. Missions[modifier | modifier le code] Par le contrôle qu'elle exerce sur l'affectation des noms de domaines de premier niveau, l'ICANN délivre en pratique un droit de délégation sur la vente des noms de domaines à différentes organisations, comme VeriSign pour les domaines .com et .net ou l'AFNIC pour le domaine .fr. Le 30 octobre 2009, l'ICANN vote la fin de l'exclusivité de l'alphabet latin pour la rédaction des noms de domaine Internet.
IRI - Institut de recherche et d’innovation du centre pompidou, Accueil Les Ateliers: Esthétiques numériques Les logiciels de modélisation 3D permettent de représenter des surfaces et des volumes avec des logiques issues des mathématiques et de l'informatique. Mais comme tout outil, leur usage a tendance à orienter/formater notre imaginaire. Nous représentons souvent ce que le logiciel nous laisse modéliser sans trop de difficulté, et l'esthétique du projet émane alors aussi de l'outil. Notre objectif ce semestre est d'aborder la modélisation 3D comme un potentiel de création et d'élaborer des méthodes de recherches dans l'outil lui même, notamment en évitant la dualité dessin manuel versus modélisation. Voici quelques exemples de ces démarches : 1. utilisation de logiciels paramétriques afin de créer des formes « auto-adaptables » à des géomtries très différentes : FOC - Macedonia Panels : 2. détournement d'un logiciel de calcul de structure, pour générer dynamiquement des pièces de mobilier : 5.
Singularité technologique Au-delà de ce point, le progrès ne serait plus l’œuvre que d’intelligences artificielles, ou « supraintelligence » qui s’auto-amélioreraient, de nouvelles générations de plus en plus intelligentes apparaissant de plus en plus rapidement, créant une « explosion d'intelligence » créant finalement une puissante superintelligence qui dépasserait qualitativement de loin l'intelligence humaine[1],[2],[3]. Le risque serait que l'humanité perde le contrôle de son destin[4]. L'auteur de science fiction Vernor Vinge est même convaincu, dans son essai La venue de la singularité technologique, que la singularité signifierait la fin de l'ère humaine[3], la nouvelle superintelligence continuant de s'améliorer et d'évoluer technologiquement à une vitesse incompréhensible pour les humains[5]. Cette notion de singularité technologique aurait été envisagée par John von Neumann dès les années 1950[6] et ses conséquences ont été débattues dans les années 1960 par I. J. Lawrence Krauss et Glenn D.
fablabo Bienvenue sur le wiki Fablabo, animé par l'association PiNG ! Vous trouverez ici les projets partagés par les usagers de Plateforme C et de l'Atelier Partagé du Breil, ainsi que des ressources techniques et documentaires autour des fablabs. Projets à la une Derniers projets modifiés Voir tous les Projets Derniers tutoriels modifiés Voir tous les Tutoriels Ressources Fab lab Un fab lab ou fablab[1] (contraction de l'anglais fabrication laboratory, « laboratoire de fabrication ») est un tiers-lieu de type makerspace[2] cadré par le Massachusetts Institute of Technology (MIT) et la FabFoundation[3] en proposant un inventaire minimal[4] permettant la création des principaux projets fab labs, un ensemble de logiciels et solutions libres et open-sources, les Fab Modules[5], et une charte de gouvernance, la Fab Charter[6]. Pour être identifié en tant que fab lab par la FabFoundation, il faut passer par plusieurs étapes de certification[7]. Les personnes intéressées peuvent également suivre une formation à la Fab Academy, qui donne des cours sur la fabrication numérique et les technologies associées[8]. Les fab labs forment un réseau mondial dynamique de fabrication numérique, composé de plus de 2 000 laboratoires à travers le monde, dont la mission principale est de démocratiser les processus de fabrication manufacturiers[9]. Sur les autres projets Wikimedia :
Théorie de la complexité (informatique théorique) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La théorie de la complexité est un domaine des mathématiques, et plus précisément de l'informatique théorique, qui étudie formellement la quantité de ressources (en temps et en espace) nécessaire pour la résolution de problèmes au moyen de l'exécution d'un algorithme. Il s'agit donc d'étudier la difficulté intrinsèque de problèmes posés mathématiquement. Un algorithme répond à un problème. Il est composé d'un ensemble d'étapes simples nécessaires à la résolution, dont le nombre varie en fonction du nombre d'éléments à traiter. La théorie de la complexité s'attache à connaître la difficulté (ou la complexité) d'une réponse par algorithme à un problème, dit algorithmique, posé de façon mathématique. Un problème algorithmique est un problème posé de façon mathématique, c'est-à-dire qu'il est énoncé rigoureusement dans le langage des mathématiques – le mieux étant d'utiliser le calcul des prédicats. Un exemple de problème de décision est:
Interopérabilité en informatique Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L’interopérabilité ou interfonctionnement en informatique est la capacité que possède un système informatique à fonctionner avec d’autres produits ou systèmes informatiques, existants ou futurs, sans restriction d’accès ou de mise en œuvre. Les deux termes sont normalisés par la CSA et la Commission électrotechnique internationale (ISO/IEC 2382-18:1999). Introduction[modifier | modifier le code] La notion d'interface est essentielle pour aborder l'interopérabilité. Enjeux[modifier | modifier le code] L’interopérabilité est une notion absolument cruciale pour le réseau téléphonique mondial et Internet. L’interopérabilité est une nécessité dans le domaine du commerce électronique. Nécessité des normes[modifier | modifier le code] Par exemple, la norme peut définir des éléments comme : La norme, et/ou la recommandation qui l'accompagne, est établie par un organisme indépendant qui limite les modifications unilatérales. Cela induit :
Proxy Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Un proxy est un composant logiciel informatique qui joue le rôle d'intermédiaire en se plaçant entre deux hôtes pour faciliter ou surveiller leurs échanges. Dans le cadre plus précis des réseaux informatiques, un proxy est alors un programme servant d'intermédiaire pour accéder à un autre réseau, généralement internet. Par extension, on appelle aussi proxy un matériel (un serveur par exemple) mis en place pour assurer le fonctionnement de tels services. Patron de conception en programmation[modifier | modifier le code] Représentation schématique d'un serveur proxy, où l'ordinateur au milieu agit comme un intermédiaire entre les deux autres. Le concept de proxy (patron de conception) peut être utilisé dans n'importe quel programme informatique. Si deux personnes qui ne parlent pas la même langue veulent communiquer, elles ont besoin d'un interprète. Proxy réseau[modifier | modifier le code] Accès internet[modifier | modifier le code] Pour HTTP
Internum : Réseau d'acteurs, d'artistes, de structures autour des arts et des cultures numériques Internum Google appelé à respecter le "droit à l’oubli" : une décision à risque 01net le 14/05/14 à 15h51 La décision rendue hier par la Cour de justice européenne met de l’huile sur le feu entre l’Europe et les géants du Net. Alors que les ministres français de l'Economie et du Numérique, Arnaud Montebourg et Axelle Lemaire, saluent la décision de la CJUE, des services internet américains et des organismes de défense de la liberté d'expression, ont exprimé leurs inquiétudes. Dans cette affaire qui, rappelons-le opposait Google à un internaute espagnol qui demandait la suppression de son nom des moteurs de recherche, la justice européenne a tranché en déboutant le géant américain. En 2013, la Cnil espagnole avait même rejeté la demande de M. Un fournisseur de services est-il un éditeur ? Dès l’annonce de l’arrêt, Google est tombé des nues. Selon Maitre Jääskinen, Google ne pouvait en aucun cas être tenu responsable dans cette affaire. Une atteinte à la liberté d'information Des personnalités du Net ont vite réagi à cette décision.