background preloader

Qui consomme vraiment l’eau de la planète

Qui consomme vraiment l’eau de la planète
Plus d’un cinquième de l’eau consommée sur la planète est englouti par des produits destinés à l’exportation. Et en important de la sorte des biens intensifs en eau, les pays développés augmentent les pressions sur des zones fragiles souvent dépourvues de politiques de conservation de cette ressource rare. Voilà les conclusions d’une étude, publiée lundi 13 février dans les Proceedings of the national academy of sciences, qui modélise les flux d’eau autour du globe et met en évidence les disparités dans son utilisation. A partir d’indicateurs commerciaux, de données démographiques et de statistiques sur l’usage de l’eau, souterraine, de surface mais aussi de pluie et celle recyclée, l’équipe de recherche de l’université de Twente aux Pays-Bas a quantifié et cartographié l’empreinte mondiale sur l’eau à une échelle géographique très fine. Résultat : entre 1996 et 2005, 9 087 milliards de mètres cubes d’eau ont été consommés chaque année à travers la planète. Audrey Garric Related:  Evolution du climat - l'eau

Vers une pêche durable ? La viabilité du secteur sur le long terme dépend directement de la capacité des stocks de poisson à se rétablir. La consommation moyenne mondiale de poisson par habitant dans le monde s’élève à environ 17 kg par an. Ce chiffre a plus que doublé depuis 1950. En France, on consomme le double de cette moyenne. Petit retour en arrière… Selon la FAO, la production mondiale des pêcheries était de 17,5 millions de tonnes (Mt) en 1950. Si l’aquaculture était insignifiante en 1950, elle fournit de nos jours plus de 50 Mt de poissons. Les pays en développement jouent un rôle majeur dans l’industrie de la pêche. Qu’entend-on par pêche durable ? Les chiffres concernant les espèces pleinement exploitées ou surexploitées indiquent que le potentiel maximum des pêches marines a été atteint au niveau mondial et que des mesures de gestion sont nécessaires pour réduire l’exploitation. La viabilité du secteur sur le long terme dépend directement de la capacité des stocks de poisson à se rétablir. Référence

Notre consommation alimentaire épuise les eaux souterraines L’utilisation excessive des aquifères pour la production agricole met en péril les approvisionnements à la fois en nourriture et en eau. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Audrey Garric Entre manger et boire, il faudra bientôt choisir. Nous utilisons toujours plus de produits alimentaires qui épuisent les eaux souterraines non renouvelables. Un phénomène mondial qui met en péril les approvisionnements à la fois en nourriture et en eau et pourrait faire monter en flèche le prix des denrées de base, alerte une étude de quatre chercheurs internationaux, publiée dans la revue Nature jeudi 30 mars. Plusieurs scientifiques avaient déjà quantifié et cartographié l’empreinte en eau du commerce international, pour comprendre quels biens de consommation utilisent cette ressource précieuse et dans quelles quantités. Or, les aquifères, ces vastes réservoirs naturels de stockage d’eau souterraine, s’avèrent une ressource clé en abritant la majeure partie de l’eau douce liquide de la planète.

Combien d’eau y a-t-il sur Terre L’infographie est parlante. Il faut imaginer qu’un puissant sorcier a, grâce à un maléfice habile, siphonné toute l’eau présente sur Terre et l’a réunie dans une sphère, un petit satellite liquide posé sur notre globe soudain asséché. D’un coup d’un seul, notre planète bleue est devenue brune et il y a comme une surprise à voir les océans, mers, lacs, calottes polaires, rivières et glaciers, qui recouvrent en temps normal plus de 70 % des 510 millions de km2 que compte la Terre, se résumer à un cochonnet de seulement 1 385 km de diamètre, soit à peu près la distance qui sépare Paris d’Alger à vol d’oiseau. L’eau sur Terre est un peu comme une feuille de papier cadeau recouvrant une boule de bowling. A lire cette longue énumération, on s’est sans doute aperçu que l’eau douce ne représente qu’une part minoritaire du total : environ 35 millions de km3. Cette tête d’épingle a moins de 60 km de diamètre. Pierre Barthélémy (@PasseurSciences sur Twitter) Signaler ce contenu comme inapproprié

L'"homme de la forêt" victime de l'huile de palme LE MONDE | • Mis à jour le | Par Catherine Vincent Le point commun entre les orangs-outans d'Indonésie et le FC Barcelone ? Carles Puyol. Le capitaine du club de football espagnol, victorieux de la Coupe du monde 2010, a accepté d'être le porte-parole de ces paisibles primates, dont la population diminue chaque année du fait de la déforestation et du braconnage. Editées par le Partenariat pour la survie des grands singes (Grasp, Nations unies) et l'association International Animal Rescue, les affiches de cette campagne de sensibilisation montrent le sportif vedette debout devant des photos d'orangs-outans emprisonnés ou maltraités, avec cette interpellation : "I Care. Il y a urgence. A cette menace s'ajoute celle de la chasse, devenue d'autant plus active que les conflits entre l'homme et le grand singe se multiplient. Les motifs de ces abattages ? Il est malheureusement probable que les tensions entre les Indonésiens et les grands singes arboricoles ne s'apaiseront pas de sitôt.

What is a water footprint? Everything we use, wear, buy, sell and eat takes water to make. The water footprint measures the amount of water used to produce each of the goods and services we use. It can be measured for a single process, such as growing rice, for a product, such as a pair of jeans, for the fuel we put in our car, or for an entire multi-national company. The water footprint can also tell us how much water is being consumed by a particular country – or globally – in a specific river basin or from an aquifer. The water footprint is a measure of humanity’s appropriation of fresh water in volumes of water consumed and/or polluted. The water footprint allows us to answer a broad range of questions for companies, governments and individuals. where is the water dependence in my company’s operations or supply chain? The water footprint has three components: green, blue and grey. Direct and indirect water use The three water footprints: The relation between consumption and water use A film by UNESCO WWAP.

» Les Saoudiens font monter les enchères : que va-t-il se passer pour le Qatar assiégé ? Par Christopher M Davidson En publiant un ensemble d’« exigences » jeudi en fin de journée, l’Arabie saoudite et ses compagnons de lutte, dont les Émirats arabes unis (EAU), ont désormais significativement fait monter les enchères dans leur différend de longue date avec le Qatar. Certaines de ces exigences sont clairement classées comme mesures anti-terroristes, du moins selon l’interprétation saoudienne du terrorisme, mais d’autres – dont la fermeture d’Al Jazeera, la principale chaîne d’information du Qatar, et l’affaiblissement des liens entre Doha et les Frères musulmans, l’Iran et la Turquie – démontrent que les Saoudiens et leurs alliés ont lancé une campagne de plus grande envergure afin d’éliminer, ou au moins fortement réduire, les capacités de l’émirat à faire cavalier seul en matière de politique étrangère. De même, l’exigence que Doha cesse de fournir asile, soutien financier et tribune médiatique aux dirigeants des Frères musulmans était tout aussi prévisible. Renversements d’alliances

Un biocarburant directement produit par la photosynthèse En modifiant astucieusement les rouages de la photosynthèse réalisée par des bactéries, des chercheurs sont parvenus à leur faire fabriquer de l'hydrogène gazeux. De quoi transformer ces micro-organismes en usines à fabriquer du biocarburant utilisable dans les piles à combustible. Pour produire le dihydrohène (H2) utilisable dans les piles à combustible génératrices d'électricité, à qui on promet de nombreuses utilisations, comme la voiture électrique, les scientifiques explorent toutes les voies possibles. En voici une nouvelle, proposée par des biochimistesbiochimistes et consistant à détourner la photosynthèse réalisées par des bactériesbactéries. Utilisée par les plantes, des cyanobactérie et des bactéries photosynthétiques, la photosynthèse produit de l'énergieénergie (sous forme de glucidesglucides) à partir d'eau, de CO2 et de l'énergie lumineuse du soleilsoleil. Les chercheurs ne se sont pas arrêtés là. Le principe serait adaptable à d'autres enzymes et à d'autres bactéries.

Géographie Petit rappel sur la problématique de l'eau! - Et toi? tu t'en fous? But de l'activité : réaliser une infographie pour présenter une problématique liée à l'utilisation et à la consommation de l'eau sur terre. Une infographie??? Qu'est-ce que c'est ? Comment réaliser une infographie? Lorsque tu auras créé ton compte tu cliqueras sur Create New, et tu choisiras la rubrique Infographic. » Trump : le narcissique et ceux qui le haïssent, par David Marks Source : David Marks, Consortium News, 30-05-2017 De bien des façons, le président Trump illustre le cas classique du paranoïaque avec des ennemis, hormis qu’il est aussi un narcissique qui rejette toute critique et ne sait pas se discipliner pour désarmer un bataillon de détracteurs, écrit David Marks. Si, pendant un instant, nous laissons de côté la dynamique des forces politiques en jeu à Washington et considérons l’étrange profil psychologique du président, nous nous rendons compte que Donald Trump apparaît comme l’architecte principal de sa propre chute. Le président Donald Trump et la première dame Melania Trump posent pour une photo avec des religieux, le 22 mai 2017, dans l’Église du Saint Sépulchre à Jérusalem ( Photo officielle de la Maison Blanche de Sheelah Craighead ) En fait, depuis son investiture, les mots et la conduite de Trump traduisent une aggravation de son dogmatisme et de son narcissisme. Lâcher le mot « Israël » Un paranoïaque avec des ennemis

Related: