L'ordre et le désordre en enseignement Marcel Lebrun analyse finement un scénario connectiviste mis en place dans le cadre d'un projet du Réseau des chercheurs en technologies de l'information et de la communication pour l'enseignement (RES@TICE) dans une vidéo publiée sur le blog "Si loin Si proche". (janvier 2009). Le connectivisme est une théorie de l'apprentissage, développée par George Siemens et Stephen Downes, basée sur les apports des nouvelles technologies. "Essentiellement, écrit François Guité, le connectivisme constitue un modèle d’apprentissage qui reconnaît les bouleversements sociaux occasionnés par les nouvelles technologies, lesquels font en sorte que l’apprentissage n’est plus seulement une activité individualiste et interne, mais est aussi fonction de l’entourage et des outils de communication dont on dispose." Certains assimilent cette théorie à du socioconstructivisme, l'apprentissage individuel qui se réalise en interaction avec d'autres sujets. L'ordre et le désordre Combiner l'ordre et le désordre Voir :
Connectivism Editor’s Note: This is a milestone article that deserves careful study. Connectivism should not be con fused with constructivism. George Siemens advances a theory of learning that is consistent with the needs of the twenty first century. His theory takes into account trends in learning, the use of technology and networks, and the diminishing half-life of knowledge. It combines relevant elements of many learning theories, social structures, and technology to create a powerful theoretical construct for learning in the digital age. George Siemens Introduction Behaviorism, cognitivism, and constructivism are the three broad learning theories most often utilized in the creation of instructional environments. Learners as little as forty years ago would complete the required schooling and enter a career that would often last a lifetime. “One of the most persuasive factors is the shrinking half-life of knowledge. Some significant trends in learning: Background An Alternative Theory Connectivism
Les styles d'apprentissages Une approche constructiviste La prise en compte des styles d’apprentissages participe d’une approche constructiviste. L’apprentissage est, dans cette approche, considéré comme une interaction entre un apprenant et un objet conduisant à une représentation mentale qui constitue un outil pour comprendre le monde, s’y adapter ou le modifier en intervenant. Dans une approche constructiviste : Les connaissances sont construites. La prise en compte des différences interindividuelles Le style d’apprentissage représente un ensemble de préférences personnelles concernant les situations d’apprentissage. Il est difficile de ne pas prendre en compte les caractéristiques individuelles de l’apprenant. Par principe, il est indépendant de l’efficience du sujet donc un même niveau d’efficience peut être atteint par des personnes ayant des styles d’apprentissages différents. Les styles d’apprentissages interrogent également la conception des ressources pédagogiques Différents modèles Robert J. Références
Comment concevoir un cours en ligne ? Voici une méthode efficace Comment concevoir une formation à distance via Internet ? Voici une méthode efficace en 4 étapes : analyse, développement, implémentation et évaluation. Beaucoup d’entreprises hésitent encore à créer un cours en ligne ou une formation mixe (blended learning : qui allie cours en présentiel et formation à distance). Comment s’y prendre ? Quelles sont les étapes à respecter ? Je suis moi-même confronté au problème en tant que formateur, concepteur de formation mais aussi en tant que participant à de nombreux MOOCs (Massive Online Open Courses – cours massifs en ligne et gratuits). Et, tout au long de mes recherches, j’ai glané quelques trouvailles intéressantes que j’ai envie de partager avec vous. Aujourd’hui, je vous propose une méthode de conception de formation à distance en quatre étapes. Le « Course design » inspiré du « design éducatif » Debbie Morrison s’est inspirée d’un ouvrage de Klaus Krippendorf, sur le design, ses origines philosophiques et ses relations avec le langage.
Exemples de compétences transversales Retour Précédent Dans l'enseignement secondaire et supérieur, tant les enseignants que les élèves sont habitués à penser en termes de disciplines : Français, Anglais, Maths, Biologie, Psychologie sociale, etc.. Il arrive que l'un ou l'autre élève/étudiant ne réussisse pas dans une, plusieurs ou toutes les disciplines qu'il y a au programme. On recherche quelle est la cause de ces problèmes. Il arrive que l'on dise : "Il ou elle n'a pas réussi parce qu'il/elle manque de motivation" - qu'est-ce que la motivation ? "Il ou elle a un mauvais niveau en Anglais/Français/etc. parce qu'il/elle ne participe pas" - que veut dire participer ? "Il ou elle n'a pas réussi sa composition parce qu''il/elle a perdu ses moyens" - ne serai-ce pas à cause du stress ? "Untel ou unetelle n'arrive pas à travailler en groupe" - que faut-il pour travailler en groupe ? D'autres étudiant(e)s, tout au contraire, sont motivés, participent bien, ne sont pas victimes du stress et fonctionnement bien en groupe. Communication
Qu'est-ce que le connectivisme ? Les théories et les modèles de l'apprentissage se suivent et ne se ressemblent pas forcément; chacun présente une approche spécifique avec ses avantages et ses limites et on n'a pas toujours intérêt à adopter inconditionnellement l'une ou l'autre de ces approches. Le modèle transmissif où l'enseignant est le détenteur du savoir et s'évertue à le transmettre à un apprenant qui aspire à correspondre à un modèle a vu ses beaux jours décliner quoiqu'il soit encore appliqué dans des bastions réfractaires tels que certains espaces universitaires traditionnels (et les xMoocs). Le béhaviorisme, avec le balisage de l'apprentissage du plus simple au plus complexe avec force renforcements, positifs et/ou négatifs, des informations fournies juste à temps à l'apprenant et les remédiations pertinentes qui récupèrent tout retardataire vivra encore de très beaux jours et amènera des réussites ponctuelles satisfaisantes. Toutes ces approches correspondent à des pratiques courantes dans l'apprentissage.
Connectivism et enaction...mon cheminement Quand j'ai commencé à travailler sur le concept d'énaction de Francisco Varela, il y a eu un moment de profonds questionnements pour moi...j'ai eu le sentiment que les repères sur lesquels je m'appuyais tombaient les uns après les autres...un peu comme si je vacillais mentalement...presque physiquement d'ailleurs...impossible de dormir pendant près de deux semaines ! Ce qui émergeait pour moi à ce moment là, c'était l'idée qu'aucun modèle pré-existant n'est indispensable à la construction de mes propres représentations....c'était l'idée que l'on peut apprendre de façon autonome dans un couplage permanent au monde...coup de tonnerre dans mon ciel ! Cette idée s'imposait comme une évidence et tous mes repérages se déplaçaient et prenaient sens autour de cette approche...je ne maîtrisais rien et cela se faisait...il faut dire aussi que ce concept résonnait largement avec ma pratique et trouvait là sa cohérence ! Je me suis remise à dormir ! A lire en parallèle :
Théories de l'apprentissage F. Raby Si Puren (1990) date l’apparition de la didactique des langues de la fin du XIXe siècle (une didactique qui, selon lui, se ramène essentiellement à un discours méthodologique et à une opposition radicale à une didactique traditionnelle fondée sur l’apprentissage des langues anciennes), la plupart des ouvrages généraux consacrés à l’histoire de la didactique des langues s’accordent pour repérer son émergence, comme discipline constituée de recherche, dans les années soixante. C’est donc à cette date que nous situerons le début de notre présentation théorique, car le but de ce chapitre n’est pas de réaliser un travail d’historien, mais de brosser le contexte théorique de la recherche en Apprentissage des Langues Etrangères (A.L.E), afin de définir le cadre théorique de certaines méthodes ou pratiques. Il s’agit, notamment, de tenter de montrer en quoi la linguistique appliquée a été profondément influencée par l’évolution de la linguistique générale et de la psychologie cognitive.
Ressources pour utiliser Moodle (enseignants) Pédagogie active : initiation à l'efficacité en pédagogie - Nicolas Wapler Le Connectivisme favorise l'apprentisssage Aujourd'hui, j'ai découvert un article rédigé par CONSCIOUNESS sur le Connectivisme, une démarche d'apprentissage adaptée au monde connecté dans lequel nous évoluons de plus en plus. L'approche est intéressante à étudier dans le cadre de nos réflexions sur l'évolution des organisations personnelles, professionnelles et sociales dans lesquelles nous œuvrons quotidiennement. Le schéma ci-dessus est tiré des réflexions de François GUITÉ, Professeur d’anglais dans un Programme d’éducation internationale à Québec et maintenant au service du ministère de l’Éducation, du Loisir et du Sport (MELS) où il travaille avec l’équipe anglophone sur le Plan d’action sur la lecture à l’école.
PyBrain Entrance testing is not the answer University students need to learn to write for different disciplines and assignments, and testing the skills they learned in high school isn’t relevant to what they will need to learn. by Roger Graves and David Slomp We commend Nicholas Dion and Vicky Maldonado for calling for assessments of university students’ writing (“We need to assess student literacy skills”) in University Affairs. We agree with their argument that without these assessments, universities will face budget cuts and students have no way of proving their worth as writers. However, we disagree that entrance testing at the university level will contribute to solving this problem. In a series of conferences we’ve organized in Alberta over the last two years, we have talked with more than 100 high school teachers, university instructors and administrators about the transition from high school writing to university writing. At present, few universities assess the writing of their students when they graduate.