Ecologie numérique : 10 conseils pour réduire votre empreinte numérique ! Particuliers et entreprises, nous pouvons tous réduire l’impact de nos activités numériques sur la planète et l’environnement. Voici 10 bonnes pratiques qui permettent de réduire la pollution numérique et de concilier dématérialisation et écologie. Réduisez votre consommation d'emailsStockez vos fichiers localementSupprimez les logiciels inutilesFermez vos onglets inactifsMettez votre ordinateur en mode veilleÉditeurs, allégez vos pages webChoisissez un moteur de recherche écoresponsableLuttez contre l’obsolescence programméeOptez pour le reconditionnéPensez au recyclage >Lire aussi : Infographie sur les chiffres clés de la pollution numérique - Zoom sur le cycle de vie de nos appareils électroniques 1. Il est inutile de mettre en copie tous vos collaborateurs ! Lire aussi : Trop de mails ! 2. Lire aussi : Microsoft révolutionne l’archivage de données grâce au stockage longue durée sur verre 3. 4. 5. Vous n’utilisez pas votre ordinateur pendant dix minutes ? 6. 7. 8. 9. 10.
Qu’est-ce que le numérique peut apporter à l’écologie ? – InternetActu Sur la scène de Lift, le grand écran plongé dans le noir joue une étrange musique. C’est le son de Wikipédia. Plus précisément, c’est la musique des mises à jour des articles de l’encyclopédie collaborative mondiale. Pour Laur Fisher (@lehhf), qui apparaît en vidéo, c’est la musique du progrès de la connaissance et des possibilités qu’offre le numérique pour l’intelligence collective. « Je travaille au Centre pour l’intelligence collective du MIT qui étudie comment les outils collaboratifs et ouverts peuvent résoudre des problèmes qu’on ne saurait adresser autrement. Je veux résoudre le problème du changement climatique ». Image : Laur Fisher en vidéo sur la scène de Lift, photographiée par Ivo Naepflin. Changement climatique : les solutions individuelles ne suffiront pas ! Pour affronter cette complexité, Laur Fisher et le MIT ont lancé l’initiative Climate CoLab. Image : le projet SunSaluter, un dispositif pour améliorer l’efficacité des panneaux solaires. Image : le bouchon Fair Cap.
Tweeter, snaper, scroller : quand les jeunes s'informent "Je ne cherche pas les informations mais elles finissent toujours par m'arriver". Florianne, 23 ans, étudiante en master 2 (Langues, Littératures et Civilisations Étrangères et Régionales, parcours média et médiation culturelle) à l'université de Clermont-Auvergne (Clermont-Ferrand) est loin d'être une exception. On pourrait même dire qu'elle représente assez bien sa génération dans son rapport à l'actualité, à l'information et aux réseaux sociaux. D'après le 34ème baromètre Kantar Public-onepoint pour le journal La Croix publié en janvier dernier, les trois quart des 18-24 ans s'informent sur Internet et en particulier sur leurs smartphones. Ils sont même 46% à s'informer via les réseaux sociaux. D'ailleurs, le réflexe de Floriane le matin est "d'aller sur Twitter" avec son smartphone, pas d'allumer la radio, encore moins la télévision, sans parler de sortir chercher un journal. A côté d'elle, trois de ses camarades de master acquiescent. S'adapter aux usages et aux codes Remerciements
Le secteur du numérique génère plus de gaz à effet de serre que l'aviation Les appareils électroniques, les data centers et les objets connectés sont loin d'être écologiques. Les nouveaux usages du numérique ont un impact désastreux sur la planète, s'alarment les experts, et génèrent une consommation énergétique croissante. Les défenseurs de l'environnement avaient instillé la honte de prendre l'avion (flygskam, en suédois). Faudra-t-il bientôt parler de la honte de surfer sur Internet ou de regarder un film sur Netflix ? Les nouveaux usages du numérique, un gouffre énergétique Les chercheurs ont procédé à une analyse de la littérature scientifique sur le sujet et ont révisé les chiffres à la hausse en incluant notamment les émissions totales liées au cycle de vie : fabrication (matières premières, transport...), usage (consommation d'électricité, entretien) et fin de vie (recyclage, mise en décharge...). Des produits électroniques à durée de vie limitée et de plus en plus gros Les usages des particuliers représentent environ la moitié de ces émissions.
Impact environnemental du numérique L'impact environnemental du numérique regroupe l'ensemble des effets des technologies de l'information et de la communication sur l'environnement. L'expression « pollution numérique » désigne les impacts environnementaux négatifs de ces technologies qui ressortent de leur bilan environnemental. La consommation d'électricité non négligeable des systèmes, l'usage de matières premières et d'énergie grise pour la fabrication des appareils, leur transformation en déchets après leur remplacement sont généralement évalués. Problématique[modifier | modifier le code] Exemple : remplacement du papier par la communication électronique : La lecture d'un document sur ordinateur pèse moins sur l'environnement que la transmission sur papier — à condition de ne consulter qu'une fois et de passer moins de trente minutes à l'écran. Le remplacement du papier par des documents électroniques peut amener à diminuer la consommation de papier[5]. Exemple : informatisation de la logistique :
Limiter l'impact écologique du numérique Le numérique représente aujourd’hui 4 % des gaz à effets de serre émis chaque année. Il impacte lui aussi l’environnement : de la fabrication des appareils électroniques à la gestion des données par les data centers en passant par les infrastructures réseaux (antennes 4G, wifi). C’est pourquoi, même si organiser des évènements éco-responsables est un premier pas important, vous pouvez aussi penser à sensibiliser à l’impact écologique du numérique auprès de vos publics mais également au sein même de votre association. En partenariat avec le REFEDD, nous vous proposons cette fiche pratique afin de vous permettre d’utiliser efficacement le numérique dans votre association, tout en limitant son impact sur la planète. Est-ce que l’impact écologique du numérique est vraiment plus important que celui produit par le papier ? Déforestation, encres, transports,… On dénonce souvent le papier et les impressions comme peu écologiques. Une autre solution est possible.
Les médias d'opinion, un développement durable Dans le sillage du Manifeste pour un nouveau média citoyen paru dans Le Monde du 25 septembre 2017, prélude à la création de la webtélé Le Média, nombreuses sont les tribunes, articles ou émissions de radio qui ont pris position ou sont interrogées sur la nécessité de nouveaux médias d’opinion. C’est qu’à l’aube de cette année 2018, et dans le prolongement d’une dynamique enclenchée les années précédentes, les médias se revendiquant d’une ligne éditoriale engagée et d’une subjectivité assumée se multiplient. Des initiatives s’adressant à des publics de tous bords politiques et dont les modèles économiques et les supports utilisés varient très largement. L’un d’entre eux se distingue par son ambition d’être « le premier média audiovisuel d'information sur internet ». À l’opposé de l’échiquier politique, L’Incorrect, magazine mensuel « des droites » auquel participent d’anciens collaborateurs de Marion Maréchal-Le Pen a fait son apparition dans les kiosques en septembre 2017.
Guillaume Pitron : « nos téléphones sont un obstacle à la compréhension de la réalité de ce qu’est l’enfer numérique » Depuis des années, le journaliste Guillaume Pitron travaille sur les métaux et terres rares et donc, par extension, sur tout ce qui compose le numérique. Devenu omniprésent dans nos vies et dans la société, le numérique et son envers restent pourtant méconnus. Dans son dernier ouvrage « L’enfer numérique Voyage au bout d’un like », publié en septembre 2021, Guillaume Pitron enquête sur l’empreinte matérielle du virtuel. Des matériaux requis pour la fabrication des terminaux, aux câbles sous-marins pour faire transiter les données, aux colossaux data centers, ses investigations l’ont conduit aux 4 coins du monde. Dans cet entretien, Guillaume Pitron revient sur l’enfer numérique et les questions de société que ces technologies soulèvent. Qu’est-ce que l’enfer numérique ? Il existe plein de façons de définir l’enfer numérique selon l’endroit et la manière dont on le vit. Mais, si je ne devais insister que sur un côté infernal du numérique, ce serait celui de l’immédiateté.
La pollution numérique, qu’est-ce que c’est ? La pollution numérique désigne toutes les formes de pollution engendrées par le secteur informatique : émissions de gaz à effet de serre, contamination chimique, érosion de la biodiversité, production de déchets électroniques. Le gros de cette pollution a lieu au moment de la fabrication du matériel (et non lorsqu’on les utilise). Lutter contre la pollution numérique c’est donc d’abord utiliser moins d’objets informatiques, et les faire durer plus longtemps. "*" indique les champs que vous devez remplir. La pollution engendrée par la fabrication de nos terminaux numériques Dans l’ère numérique, paradoxalement, plus on « dématérialise », plus on utilise de matière et d’énergie. Par exemple, saviez-vous que la production d’un téléviseur exige d’extraire 2,5 tonnes de matières premières, et génère 350 kg de CO₂ ? A cette démesure énergétique, s’ajoutent la pollution des écosystèmes et les drames humains liés à l’activité minière. Comment réduire notre pollution numérique ? 1. 2.
Que valent les moteurs de recherche écolos ? Covid-19 : le journalisme de solutions se fraie-t-il une place ? | la revue des médias Les chiffres de la couverture médiatique de l’épidémie de Covid-19 donnent le tournis : 378 heures d’informations diffusées sur les chaînes d’info de l’Hexagone lors de la première semaine de confinement, 401 heures la semaine suivante – chiffres inédits relevés par l’INA ; 19 000 articles consacrés au sujet chaque jour dans les médias français. Jamais un sujet n’aura été autant traité par les journalistes, d'après une étude de Tagaday relayée par Le Journal du dimanche. Pourtant, alors que le confinement entraîne une surconsultation des actualités par les Français, cette « infobésité » en temps de crise risque d’avoir des effets psychologiques négatifs sur le public. Si bien que l’OMS conseille de ne pas consulter trop les informations en ce moment ! À l’heure où la déprime guette les accros à l’info, certains médias font le pari du journalisme de solutions pour aborder un sujet qui paraît, de prime abord, peu convenir à l’exercice. Examiner les solutions venues d’ailleurs Pauline Amiel
Une application pour mesurer l’empreinte carbone des usages numériques des Français – Nouvelles du web Mon empreinte smartphone est une application mobile gratuite déployée aujourd’hui à destination de tous par Bouygues Telecom. Elle évalue les quantités de gaz à effet de serre émises en fonction de vos usages en ligne. Elle est disponible sous iOS et Android. Mieux vaut se connecter en Wi-Fi qu’en 4G Les résultats s’affichent en home de l’application. L’application propose ensuite des équivalences en jours d’ampoule LED, en km de trottinette électrique ou encore distance parcourue en voiture pour concrétiser les résultats. [embedded content] Une méthode inspirée par The Shift Project Le problème, c’est que le type de terminal utilisé n’est pas pris en compte. La méthode est basée sur le modèle 1byte développé par le think-tank The Shift Project. Nos impressions Nous étions plutôt enthousiastes au départ vis-à-vis de cette application. A découvrir aussi en vidéo : Cette application n’est pas tout à fait une première en France. Source: 01net WordPress: J'aime chargement…
Comment réduire l'impact des Data Centers sur l'environnement Les Data Centers représentent un véritable fléau pour l’environnement. Alors que la production et la consommation de données sont en passe d’exploser à l’échelle mondiale, découvrez quelles sont les pistes à explorer pour réduire la consommation d’énergie et l’impact environnemental des centres de données… Les technologies telles que l’internet des objets, le Cloud, les smartphones ou l’intelligence artificielle ont provoqué l’explosion du volume de données générées par l’humanité. Selon IDC, ce volume sera multiplié par 5 entre 2018 et 2025 pour atteindre un total de 175 Zo soit 175 milliards de téraoctets. De toute évidence, nos besoins en Data Centers augmentent en proportion puisqu’il est nécessaire de stocker ces données. Alors que l’on ne comptait que 500 000 centres de données à l’échelle mondiale, il y en a désormais plus de 8 millions sur Terre selon IDC. Or, ces Data Centers représentent en réalité un véritable fléau pour l’environnement. De nouveaux designs plus écologiques