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Le marché des tablettes en chiffres selon Gartner

Le marché des tablettes en chiffres selon Gartner
L’institut de recherche Gartner a rendu public ses prévisions pour l’évolution du marché des tablettes tactiles jusqu’en 2015. Les chiffres sont très encourageants quant à l’engouement suscité par ces machines ultra portables. En effet l’iPad restera encore longtemps le leader d’un marché qui atteindrait plus de 300 millions d’unités écoulées dans le monde en 2015 d’après les estimations de Gartner. Depuis 2010 le grand public a ouvert les yeux sur ce qui est devenu rapidement une révolution des usages que l’on avait jusqu’à maintenant avec l’informatique personnelle. Bien que naissant, l’engouement du public pour les tablettes tactiles ne faiblit pas, même près de 2 ans après la sortie du premier iPad qui fut la première tablette entièrement pensée pour le grand public. En 2010 se sont écoulées plus de 17 millions d’ardoises dont 86% d’iPad. 2012 devrait être un bon cru avec en janvier le CES et fin février le Mobile Word Congress de Barcelone.

Tablettes tactiles : des envies d'équipement dans les PME Dès les premiers temps des tablettes tactiles multimédia, en 2010, alors que l'accent était mis sur le divertissement grand public, les fabricants on vu des opportunités à proposer ce type de produit aux entreprises, aussi bien pour des besoins polyvalents ( en complément de l'ordinateur portable ) que pour des usages spécifiques sur des marchés verticaux ( santé, éducation, logistique... ). Après plus d'un an et demi d'existence, et maintenant que le marché commence à se décanter, la possibilité d'utiliser ces nouveaux produits nomades est plus que jamais d'actualité dans les entreprises. On a vu qu'en Europe occidentale, les premiers déploiements sérieux commencent et devraient s'accélérer en 2012. Aux Etats-Unis aussi, les petites entreprises affichent leur envie de s'équiper de tablettes tactiles.

Entreprises : les décideurs s’enthousiasment pour les tablettes tactiles Un quart des tablettes multimédia vendues en 2011 seront achetées par les entreprises, d’après une étude récente du cabinet Deloitte. Pour l’instant, néanmoins, la pratique reste limitée à quelques sociétés pionnières. C’est ce que révèle une étude menée par le cabinet Markess international, spécialisé dans les transformations des entreprises et des administrations induites par les technologies de l’information, et présentée le 30 septembre dernier, à Paris. Aujourd’hui, en effet, 0,1% seulement de la population active française utilise les tablettes numériques à titre professionnel. Et ce chiffre pourrait grimper à 1,2% en 2013. Jamais sans mon terminal « Aujourd’hui, l’engouement pour ces terminaux est une réalité à laquelle les entreprises doivent faire face », explique Emmanuelle Olivié-Paul, responsable de la recherche chez Markess. Nomades et chefs Néanmoins, pour l’instant, tout le monde n’est pas concerné de la même façon dans l’entreprise. Freins et engouement Anne d’AUBREE

France : le marché des tablettes en 2012 La France n‘échappe pas au phénomène de la tablette tactile qui s’invite chaque jour un peu plus dans les foyers de l’hexagone. L’Irrésistible ascension des tablettes Vous le savez, la tablette tactile est adoptée par de plus en plus de Français, et les récents chiffres de l’institut GFK illustrent assez bien cette nouvelle tendance. Aujourd’hui, la France compte 4,5 millions de possesseurs de tablettes tactiles. Ces ventes ont forcément des répercussions sur la part du trafic internet. Sans grande surprise, Apple et ses 2 déclinaisons de l’iPad arrivent en tête des appareils et OS utilisés dans l’hexagone. userADgents parle de 97% de parts de marché pour iOS, 2% pour Android, et 1% pour les autres acteurs de ce marché. Concernant les habitudes des utilisateurs de tablettes, on note que : le mode d’accès à Internet se fait à 90% par Wifi, et à 10% via 3G temps d’utilisation de la tablette : 21% dans un lit 30% devant la télévision 10% avec des amis 9% en attente 13% dans d’autres endroits

BYOD : où en sont les entreprises BYOD : où en sont les entreprises ? Publié le 07 | 03 | 2012 Le BYOD (Bring Your Own Device) repose sur l’utilisation par le salarié de son matériel informatique personnel dans le cadre professionnel. Le BYOD, une réflexion globale qui reste encore à mûrir Le BYOD (Bring Your Own Device) repose sur l’utilisation par le salarié de son matériel informatique personnel dans le cadre professionnel. Dans la majorité des entreprises, le BYOD est développé au travers d’une approche « Add & Use Your Own Device » en complément de l’offre « poste de travail » de l’entreprise. Depuis 2011, le challenge posé par le BYOD a conduit la plupart des grands comptes à définir leur stratégie pour en maîtriser l’émergence. S’adapter aux besoins utilisateurs… tout en réduisant les coûts Ce changement de modèle induit également une réduction du TCO (Total Cost of Ownership) à travers : Un changement de périmètre de responsabilité et d’activités pour la DSI (transfert de coûts).

BYOD et réseaux sociaux : comment les entreprises gèrent-elles les risques ? - Journal du Net Solutions Les politiques d'accès IT ont dû évoluer pour faire face aux tendances liées à l'utilisation de terminaux personnels et services Web grand public pour le travail. C'est l'un des principaux enseignements de la dernière étude du Clusif. En s'installant dans les entreprises, le nomadisme, les réseaux sociaux et le BYOD ont engendré de nouveaux défis à relever pour les responsables de la sécurité informatique. Sur 351 entreprises interrogées, 61% interdisent l'accès à leur système d'information à partir de postes de travail non maîtrisés (cf. graphique ci-dessous). "L'accès nomade aux ressources IT de l'entreprise est de plus en plus généralisé. Même si elle reste majoritairement interdite, l'utilisation de messageries instantanées non fournies par l'entreprise (MSN, Skype, etc.) est aussi de plus en plus largement autorisée.

La génération Y, adepte du BYOD, pose des défis de sécurité articles liés Laurent Leloup Fortinet® (NASDAQ: FTNT) - l’un des leaders de la sécurité réseau haute performance – a mené une étude mondiale qui révèle l’ampleur des défis posés aux systèmes informatiques des entreprises par la première génération d’utilisateurs du Bring Your Own Device (BYOD ou « Apportez votre appareil personnel » en français); les personnes qui utilisent leurs propres appareils au sein de leur entreprise. L’étude décrit que les salariés Gen-Y qui utilisent leurs propres appareils se soucient peu des problèmes sécuritaires, révélant le fait inquiétant que plus d’un tiers des salariés questionnés serait prêt à transgresser la politique de sécurité de l’entreprise qui leur interdit d’utiliser leurs appareils personnels au travail ou à de fins professionnelles. L’étude fait également allusion à la résistance à laquelle les organisations pourraient faire face si elles décident de mettre en place une solution de sécurité sur l’appareil du salarié.

Cédric Dervaux, SCC : le BYOD, vers une évolution du phénomène Le BYOD (Bring Your Own Device) semble avoir gagné en maturité. L’apport d’un terminal personnel (PC, tablette, smartphone) sur le lieu de travail ou pour exercer son métier va sans nul doute devenir la norme. En 2011, aux Etats-Unis, 40% des entreprises ont inscrit le BYOD dans leur politique de développement. Plus qu’une tendance, les DSI français ne pourront minorer le phénomène. Dans ce contexte, il est pertinent de s’intéresser à l’avenir de cette pratique. Le BYOD, en connaître tous les aspects Le BYOD est aujourd’hui stimulé par deux facteurs ; le premier est la combinaison de la performance, la facilité d’utilisation et l’ergonomie des terminaux grand public. Le deuxième levier est porté par la génération Y. Le phénomène pose quelques freins… Le BYOD renvoie bien souvent à la notion de danger : vol ou perte du matériel, sécurité des données, pièce-jointe perdue, interception … le niveau de sécurité est, à première vue, plus faible que sur les terminaux sécurisés d’entreprises.

BYOD et bâtissez une cathédrale Le BYOD d’aujourd’hui, c’est-à-dire la possibilité pour les salariés d’utiliser à titre professionnel leurs terminaux mobiles personnels, renoue en somme avec une ancienne tradition. Sur le plan technologique, cependant, ces appareils soulèvent d’autres problèmes que les gouges ou les maillets d’autrefois. Pour les éviter, n’est-il pas préférable de fermer d’emblée la porte au BYOD ? À vrai dire, sauf cas très particuliers, cette hypothèse paraît déjà théorique. Bien plus qu’un mal nécessaire Une enquête InsightExpress réalisée l’an dernier dans quatorze pays du monde a montré que pour plus de 40 % des jeunes, la rémunération de leur emploi importe moins que la flexibilité dans le choix des technologies, des réseaux sociaux et de la mobilité. Reste qu’il ne va pas sans diverses contraintes pour l’entreprise. Les arcs-boutants du SI La seconde démarche consiste à prendre en charge le BYOD au niveau global, celui de l’architecture du système d’information.

Débat - Du Bring au Buy your own device (BYOD), l’évolution de trop ? Le « bring your own device », c’est-à-dire l’usage consistant à utiliser un terminal personnel dans le cadre de son activité personnelle, est probablement un des sujets du moment – plus encore parmi les équipes marketing d’un certain nombre de fournisseurs de solutions IT. Cette pratique, abordée à l’occasion d’une conférence du Clusif, doit son développement à la croissance des terminaux mobiles. En Europe, elle ne constitue cependant pas encore une norme. Pourtant, si le BYOD n’est pas encore considéré comme un standard, la prochaine étape est elle déjà évoquée. Le "Buy" plus efficace que le "Bring" pour baisser le TCO ? Et celle-ci aussi pourrait être désignée par l’acronyme BYOD, mais cette fois pour « Buy your own device ». Les maîtres d’œuvre de ce BYOD 2.0 seraient donc les directions financières, de plus en plus impliquées dans les choix IT. BYOD : des risques de discriminations entre salariés Le BYOD est-il une rupture du contrat de travail ?

BYOD : aider les DSI à garder le contrôle Les salariés des entreprises sont en effet de plus en plus nombreux à utiliser leurs terminaux personnels au travail. La DSI doit aujourd’hui passer d’un mode où elle gérait les exceptions – autoriser certains membres VIP à utiliser leur smartphone ou tablette – à une généralisation du phénomène dans toutes les strates de l’entreprise. Pour elle, c’est un véritable défi. Intégrer le BYOD à sa politique de sécurité En pratique, la DSI doit donc intégrer tous les nouveaux terminaux dans l’entreprise sans mettre en péril les politiques de sécurité déjà en place. La résolution de ce problème doit passer par une solution de contrôle d’accès réseau intégrée. De quoi entamer son passage au BYOD sans douleur.

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