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Actualités 2012 - Parce qu’à ses débuts, l’obésité infantile ne se voit pas, il faut la dépister le plus tôt possible

Actualités 2012 - Parce qu’à ses débuts, l’obésité infantile ne se voit pas, il faut la dépister le plus tôt possible
L’obésité et le surpoids concernent respectivement 3,5 % et 4,5 % des enfants, le double par rapport à une dizaine d’année, même si ce chiffre semble se stabiliser. Pour aider les professionnels concernés dans leur pratique de dépistage et en complémentarité avec la recommandation professionnelle de la HAS sur la prise en charge, l’Inpes édite plusieurs documents. La prévalence de l’obésité et du surpoids chez les enfants et les adolescents a fortement augmenté entre les années 1980 et 2000 en France comme dans la majorité des pays industrialisés (Afssa, 2008). Ainsi, en 2006, 18 % des enfants âgés de 3 à 17 ans (16 % des garçons et 19 % des filles) sont en surpoids ou obèses, dont 3 % des garçons et 4 % des filles classés comme obèses (InVS, 2006). Une prévention pertinente Les recommandations de bonne pratique de la Haute Autorité de santé réactualisées en 2011 rappellent ainsi aux professionnels l'importance d'un suivi de l'IMC et de la courbe de poids chez l'enfant et l'adolescent.

AFERO - Association Française d'Etude et de Recherche sur l'Obesité Le programme SCOPE constitue un projet conjoint des associations internationale et européenne d'étude de l'obésité. Son but est de proposer une approche cohérente de la prise en charge de l'obésité. Les objectifs de ce programme sont : Reconnaître des experts dans le traitement des personnes en surpoids ou obèses et créer ainsi un registre de membres du programme SCOPE ;Augmenter la qualité des programmes d'enseignements concernant l'obésité en développant des événements de formation professionnelle et un système de cours on-line* en complément des activités nationales existantes ;Améliorer la prise en charge (prévention et traitement) des patients en surpoids et obèses. *La traduction en français de ce programme par des experts de l'AFERO est en cours. Site Internet : www.scope-online.org/index.htm

Paul-Savage-Anzman-Frasca-BirchFRxp1.pdf Obésité infantile : le comportement alimentaire n'explique pas tout Obésité infantile : le comportement alimentaire n'explique pas tout © Digital Vision Alors qu'est organisée en France ce dimanche la journée nationale de dépistage de l’obésité infantile, le docteur Jean-Michel Borys, endocrinologue, nutritionniste et codirecteur du programme Epode (Ensemble, prévenons l’obésité des enfants) revient sur les causes de cette épidémie pour laquelle il n'existe pour l’heure aucun traitement thérapeutique. Eclairage. Terrafemina : A quel moment considère-t-on qu’un enfant n’est plus en surpoids mais est obèse ? Jean-Michel Borys : C’est l’indice de masse corporelle (IMC) qui permet de déterminer le seuil de l’obésité. TF. : Vous dirigez le programme Epode. J-M. TF. : Comment expliquez cette soudaine mobilisation contre l’obésité ? J-M. TF. : La malbouffe est régulièrement pointée du doigt comme principale responsable de l’obésité ? J-M. TF. : L’obésité infantile semble être devenue un enjeu de santé publique. J-M. J-M. TF. : Un conseil aux parents ? J-M.

agriculture.gouv.fr/IMG/pdf/avis_cna_54.pdf Les données sur l'obésité et le surpoids en France Selon la 6e édition de l'étude trisannuelle ObEpi-Roche, l'obésité touche, en 2012, 15 % de la population adulte, correspondant à un peu plus de 6,9 millions d'obèses, soit environ 3,3 millions de plus qu'en 1997. Selon la 6e édition de l'étude trisannuelle ObEpi-Roche, l'obésité touche, en 2012, 15 % de la population adulte, correspondant à un peu plus de 6,9 millions d'obèses, soit environ 3,3 millions de plus qu'en 1997. >> Lire aussi : Obésité, un facteur social de plus en plus marqué >> Lire également l'interview de Catherine Grangeard, psychologue et psychanalyste : "L'alimentation peut révéler des blessures" >> "Nous dînons en famille et cela n'a pas de prix", compte-rendu de notre appel à témoignage en direction des 15-25 ans L'enquête ObEpi-Roche a été réalisée, en collaboration avec l'Inserm, l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière et Kantar Health, auprès de plus de 25 000 personnes âgées de plus de 18 ans en France. Vue globale Evolution de l'obésité Source : ObEpi-Roche 2012

L'obésité, un phénomène en pleine explosion dans les pays en développement Plus d'un adulte sur trois dans le monde, soit 1,46 milliard de personnes, est obèse ou en surcharge pondérale, indique vendredi 3 janvier, un think tank britannique. L'étude relève en particulier une explosion du phénomène dans les pays en développement et appelle les gouvernements à agir. Ce cercle de réflexion britannique, The Overseas Development Institute, souligne dans son rapport que le pourcentage de personnes en situation de surcharge pondérale (dont l'indice de masse corporelle – IMC, rapport entre la taille et le poids – est supérieur à 25) ou d'obésité (IMC supérieur à 30), est passé de 23 % à 34 % au niveau mondial, entre 1980 et 2008. Le phénomène, inquiétant, touche en particulier les pays en développement, où le nombre de personnes en surpoids et d'obèses a presque quadruplé entre 1980 et 2008, passant de 250 millions à 904 millions de personnes. Lire : Les Mexicains et les Egyptiens sont plus obèses que les Américains M.

Quelques kilos de plus feraient vivre plus longtemps Des personnes en surpoids et légèrement obèses vivraient plus longtemps que celles d'un poids normal, selon une analyse de près de cent études dans le monde publiée mardi. Une forte obésité accroît nettement le risque de mortalité, mais les personnes en surpoids et légèrement obèses vivent, elles, plus longtemps que celles d'un poids normal, conclut une analyse de près de cent études dans le monde publiée mardi 1er janvier dans le Journal of the Medical American Association (JAMA). Cette méta-analyse avance plusieurs hypothèses pour expliquer ce paradoxe, comme les effets bénéfiques des plus grandes réserves d'énergie dans l'organisme ou encore le fait que les personnes légèrement obèses prennent davantage de traitements médicaux. L'analyse fait la synthèse de 97 études couvrant 3 millions d'individus dans le monde. Les personnes souffrant d'une obésité modérée, définie comme un IMC de 30 à 35, connaissent quant à elles un risque de mortalité 5 % inférieur aux personnes de poids normal.

Cancer et nutrition Dossier réalisé en collaboration avec l’Institut thématique multiorganismes Cancer (ITMO Cancer) et l’Institut national du cancer (INCa) - Mars 2012. Nutrition, un impact prouvé sur la survenue de cancers © Fotolia Des travaux ont mis en évidence, avec des degrés de certitude variables, le rôle de certains aliments ou comportements individuels (diversité de l’alimentation, activité physique) dans l’initiation ou le développement de certains cancers. Pour réduire le risque de cancer, les organisations de santé française et internationale recommandent une alimentation équilibrée et diversifiée, un apport calorique adapté aux dépenses énergétiques et une activité physique régulière. (*)WCRF/AICR. Des relations convaincantes de cause à effet pour plusieurs facteurs nutritionnels Aliments ou comportements alimentaires à risque(*) Au moins cinq facteurs sont incriminés de façon convaincante dans la survenue de cancers. Aliments ou comportements alimentaires bénéfiques(*) © Inserm, Jerôme Galon

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