Les secrets de l’Aurige de Delphes révélés grâce à une étude scientifique Sous l’égide de l’École française d’Athènes avec le concours du ministère grec de la culture et du musée du Louvre, un programme d'étude scientifique a révélé les secrets de fabrication d'une des statues les plus célèbres du monde. Découverte en 1896 à Delphes, ce cocher et sa longue tunique a probablement été victime d'un séisme dans l'Antiquité. Il s'est alors retrouvé enseveli avec son quadrige, un char attelé de quatre chevaux. Une statue et des fragments Grâce aux compétences multiples du Centre de recherche et de restauration des musées de France (C2RMF), une équipe pluridisciplinaire a pu être constituée, composée d'ingénieurs physicien, géologue, informatique 3D, radiologue et photographes). "Nous sommes au Vᵉ siècle avant Jésus-Christ, donc c'est un moment majeur de l'histoire de la sculpture antique." Ainsi les chercheurs ont-ils pu mener une réflexion sur l'œuvre d'origine, sans pour autant la soustraire au musée. À réécouter : Delphes, "centre du monde" de la Grèce antique
Jean-Christophe Averty, « Méliès du petit écran » Disparu le 4 mars, Jean-Christophe Averty a inventé durant le XXe siècle, l’art télévisuel se démarquant de l’École des Buttes-Chaumont. Par l’originalité et par le nombre de ses émissions, par ses relations avec le public, il a marqué l’histoire de la télévision française. Une formation cinématographique Diplômé de l’IDHEC, où il apprend surtout « à découper et à confectionner un story-board » (Sylvie Pierre, 2017, Jean-Christophe Averty : une biographie, INA Éditions, Paris, p. 65-88.), c’est par hasard qu’Averty entame une carrière à la Radio-diffusion télévision française en 1952, sous la direction de Jean d’Arcy, directeur des programmes, qui lui donnera toute liberté dans son expression (il sera nommé réalisateur en 1956). Ses réalisations couvrent quatre genres principaux : le jazz, la variété, la biographie rêvée et le show dans lesquels il s’est distingué par une recherche graphique et narrative sans précédent. Une notoriété au-delà des frontières Un langage télévisuel
La pépite française Hap2U parie sur le sens du toucher pour l'interface homme-machine du futur L’ouïe, la vue… et maintenant le toucher. C’est ce dernier sens qui préfigure, selon la start-up Hap2U, le futur de la communication. Créée en 2015, la jeune pousse grenobloise développe une technologie haptique permettant de modifier virtuellement la texture lisse d’un écran tactile, et de reproduire ainsi des sensations sous les doigts des utilisateurs. “Aujourd’hui, dans les voitures de nouvelles génération, un conducteur règle son GPS ou la climatisation sur son écran tactile, généralement situé au niveau du tableau de bord, avec la nécessité de quitter un moment la route des yeux. Reproduire les contours d’un bouton ou d’une texture particulière Pour parvenir à ce résultat, la start-up s’appuie sur deux technologies brevetées : d’une part, des actionneurs piezo-électriques intégrés dans les écrans. Une résolution supérieure au toucher humain Pour atteindre un meilleur réalisme, la start-up a depuis peu développé une option multitouches. Vers l’haptique 3D
Quoi de meuf ? – Nouvelles Écoutes Aller au contenu Restez à l'écoute ! © 2020 Nouvelles Écoutes. All rights reserved. Instagram Facebook Twitter Youtube Pour connaître le meilleur de Nouvelles Écoutes et ne rater aucun épisode du studio, inscrivez-vous à notre newsletter ! Aller au contenu Restez à l'écoute ! © 2020 Nouvelles Écoutes. All rights reserved. Où se niche le diable ? Avec nos partenaires, nous traitons vos données pour les finalités suivantes : le fonctionnement du site, la mesure d'audience et web analyse, la personnalisation, la publicité et le ciblage, les publicités et contenus personnalisés, la mesure de performance des publicités et du contenu, le développement de produit, l'activation des fonctionnalités des réseaux sociaux. Vos préférences seront conservées pendant une durée de 6 mois.
Productions numériques - Alfred Premium - Webproductions Amazon et Airbnb font vaciller le commerce traditionnel. Certains se prosternent aux pieds de ce qu’on appelle maintenant « l’économie du partage »… et d’autres vandalisent des voitures Uber. Or, que l’on soit à l’aise ou non avec ces tremblements amenés par le e-commerce, le monde a déjà changé. Les grands joueurs de l’économie numérique ont une longueur d’avance sur le débat public. ALFRED PREMIUM est un récit documentaire sur le futur du e-commerce qui se déroule comme une conversation dans Facebook Messenger. Nous proposons ici de vous emmener de l’autre côté du débat, au cœur de vos actes d’achat, qui pour certains constituent un processus désormais sans bornes. Produit par ARTE France et l’Office National du Film du Canada (ONF), ALFRED PREMIUM est aussi disponible sur navigateur web ainsi que sur les hauts-parleurs intelligents Google Home (été 2019).
"Au cœur des mutations, il demeure difficile de savoir comment les pratiques culturelles et professionnelles vont être durablement modifiées." Marion Denizot Quelques jours avant la rencontre « Publics en ligne, publics en soi » organisée par le TMNlab, la chercheuse Marion Denizot nous a adressé un propos introductif qui fait notamment le lien avec son article Services numériques à destination des publics des théâtres cosigné avec Christine Petr et publié en février 2017 dans la revue Culture et Recherche n° 134 – Les publics in situ et en ligne. Nous l’en remercions et retranscrivons ci-dessous l’intégralité de son propos. « En préambule de la rencontre organisée par le TMNlab autour des publics en ligne, mon propos s’appuie sur les résultats que nous avions obtenus à l’occasion du premier état des lieux sur le numérique dans les théâtres, qui date déjà de 2016. La situation d’arrêt du fonctionnement normal des institutions de diffusion du spectacle vivant et le développement considérable des propositions sur Internet et les réseaux sociaux numériques obligent à regarder ces résultats sous de nouvelles perspectives.
Les inscriptions pour le MOOC Peintres Femmes, à travers les âges sont ouvertes ! Début des cours le 29 mars 2021 - Inscriptions ouvertes Depuis 2014, la Rmn-Grand Palais collabore avec la Fondation Orange pour offrir au plus grand nombre un accès à la culture au travers de ces cours en ligne gratuits et accessibles à tous. Les MOOC Impressionnisme, Picasso, Une brève histoire de l’art, Une brève histoire de la photographie et Couleurs ont réunis plus de 185 000 participants. Aujourd’hui, la Rmn-Grand Palais, avec le soutien de la Fondation Orange, propose un sixième MOOC : le MOOC Peintres Femmes, à travers les âges. Ce MOOC accompagnera l’exposition Peintres femmes, 1780-1830. Naissance d’un combat qui aura lieu au Musée du Luxembourg (printemps 2021, dès que la situation sanitaire le permettra). De quoi parle-t-on ? Ce MOOC se découpe en 3 parties thématiques : 1. Le MOOC Peintres Femmes en détail c’est : Début des cours le 29 mars 2021 - Inscriptions ouvertes De quoi parle-t-on ? Ce MOOC se découpe en 3 parties thématiques : 1. Le MOOC Peintres Femmes en détail c’est :
Surtourisme : Instagram va-t-il tuer les derniers paradis terrestres ? L’appli contribue à l’explosion de ce tourisme de masse extrême qui abîme des sites naturels. La photographe Natacha de Mahieu a illustré ce fléau qui touche les paysages “instagrammables”, des gorges de l’Ardèche jusqu’au désert des Bardenas, en Espagne. Par Charlotte Fauve Publié le 25 août 2022 à 14h03 Mis à jour le 25 août 2022 à 15h55 Partage LinkedIn Facebook X (ex Twitter) Envoyer par email Copier le lien Un embouteillage sous le pont d’Arc, en plein cœur des gorges de l’Ardèche ? Calanques, gorges du Verdon ou de l’Ardèche : en France, première destination touristique mondiale (90 millions de visiteurs internationaux en 2019), de plus en plus de sites sont malades de « surtourisme » – autrement dit de surfréquentation, stade ultime du tourisme de masse. La fin des sites confidentiels Autre risque des réseaux sociaux, ils peuvent entraîner du jour au lendemain une attention pour des sites à la renommée jusqu’alors locale. À consulterLe site de Natacha de Mahieu.
Le jour où Louise Michel revint de déportation | RetroNews - Le site de presse de la BnF « Il y a eu une bousculade à la sortie. Un flot de curieux a séparé du groupe de ses amis la citoyenne Louise Michel qui avait pris le bras de la citoyenne Cadol. Des femmes se sont jetées à son cou et l’ont embrassée avec effusion. On a crié : “Vive Louise Michel ! Vive la Commune ! Mais la foule suit la voiture où elle est montée. « La voiture n'était pas dans la rue que la foule l'avait déjà reconnue. Quand le fiacre réussit à s’éloigner en direction de Lagny, où habite la mère de Louise Michel, le journaliste du Figaro et quelques-uns de ses confrères essaient de le suivre. « De tout ce bruit que restera-t-il dans quinze jours ? Saluons la sagacité du journaliste du Figaro...
La forme scolaire déniée des médiations muséales. Enquête sur l’accompagnement des publics 1 Cette recherche a été coordonnée par Florence Eloy et menée conjointement avec Stéphane Bonnéry, Ré (...) 1Cet article prend appui sur une recherche collective portant sur les médiations culturelles à destination du public spécifique des enfants et des adolescents, c’est-à-dire toutes les actions ayant pour but d’encadrer l’expérience de réception de biens ou de pratiques culturels. Nous avons étudié la production comme la réception de ces médiations, à différents niveaux de l’échelle de légitimité culturelle (Eloy & alii., 2018)1. L’enquête collective, dont les trois terrains analysés ici sont tirés, a pour ambition de discuter et de clarifier les contours de la notion de médiation en matière de culture. Elle s’intéresse également aux façons différenciées dont les médiateurs et les enfants s’approprient ces dispositifs en fonction des contextes comme de leurs ressources personnelles et familiales. Terrains et méthodes 9Samuel Coavoux a enquêté sur deux établissements muséaux d’arts.