Répertoires de signets
Contexte[modifier] Si les répertoires de signets ont été très présents sur les sites de bibliothèques et dans les formations documentaires, ils ont tendance depuis quelques années à tomber en désuétude. L'apparition de moteurs de recherche plus performant explique certainement la baisse d'intérêt des usagers pour ce type de service. Les signets de la BnF par exemple ont vu le nombre de consultation chuter entre 2006 et 2012, passant de 120 000 à 18 000 visites par mois[1]. Créer soi-même un répertoire[modifier]
Les moteurs de recherche plus fiables que les médias traditionnels (étude)
Les moteurs de recherche plus fiables que les médias traditionnels (étude) 3.83/5 (76.67%) 6 votes La société Edelman vient de publier une étude basée sur les réponses de 33 000 personnes dans 27 pays et portant notamment sur la fiabilité des sources d’informations qu’ils utilisent. Selon cette étude, les moteurs de recherche gagnent 8 points en un an et sont aujourd’hui dignes de confiance pour 64% des personnes interrogées, contre 62% (-3 points) pour les médias traditionnels. Le score des moteurs passe même à 74% auprès des plus jeunes. Google et ses « collègues » sont actuellement la première source d’information de 31% des sondés contre 22% à la télévision et 21% pour la presse papier. L’écart est encore plus important pour confirmer une information (voir courbes ci-dessous).
Bases biblio - Réseau Prisme
Références d'articles de revues, de livres, d'œuvres audiovisuelles concernant le secteur social et médico-social, la base Sciences et action sociales est actualisées chaque semaine depuis 1987 par la commission Producteurs. RechercherEn savoir plus Base Thesis Thesis est une base bibliographique de thèses sélectionnées pour l’intérêt qu’elles peuvent constituer pour le travail social. Thesis est conçue pour répondre aux besoins des acteurs du secteur social et de la recherche. RechercherEn savoir plus
Imaginez que vous construisiez votre propre Google...
Martin Kleppmann (@martinkl sur Twitter) se demande, sur le blog O’Reilly Radar, ce que nous ferions si nous pouvions avoir notre propre index du Web. Pour l’instant, cet index est caché à l’intérieur des datacenters de Google. Nous sommes autorisés à faire des requêtes individuelles dessus, mais nous n’avons pas accès aux données... Copier le Web Imaginez donc que vous ayez votre propre copie du Web et que vous puissiez y faire ce que vous voulez… On pourrait par exemple rassembler les meilleurs articles écrits sur un sujet et créer un outil qui suggère des lectures tierces… C’est ce que propose, d’une certaine façon, Wayfinder, lancé par Justin Wohlstadter, qui propose un système de références croisées entre URL basé sur une sélection humaine (un peu à la manière d’un Pearltrees). L’intérêt de tous et de chacun
Les bases de données gratuites
Près de 20 ans après sa création, le répertoire de bases de Données grAtuites Disponibles sur Internet ferme ses portes. Crée en 1996 Dadi, produit pionnier et phare de l’URFIST de Lyon, a eu pour objectif de recenser les ressources libres disponibles sur le Web à une époque où ce dernier faisait ses premiers pas, sans moteurs de recherches. Jean Pierre Lardy, alors co-responsable de l’Urfist de Lyon et enseignant chercheur en physique, a imaginé puis animé Dadi pendant une quinzaine d’années, dans le but de donner à voir les ressources du web invisible en libre accès utiles au monde académique.
Les mystères cachés de Google.
Vous ne le saviez peut-être pas… mais le 4 septembre dernier GOOGLE fêtait ses 19 ans… En effet Larry Page et Sergey Brin ont créé la bête en 1998… Aujourd’hui google est un verbe, un monstre, à la fois incontournable et dont on ne mesure pas vraiment la puissance. Aujourd’hui Google a aussi un certain nombre de mystères qui l’entourent, ou d’utilisateurs qui cherchent absolument à montrer le visage de ce que l’on ne voit jamais. En voici quelques exemples... Les selfies de la google caméra (Article novaplanet)
Personnalisation de Google : vers des informations orientées ?
Anaïs Gall et Pierrick Lintz Le monopole de Google sur l’ensemble des moteurs de recherches n’est plus à démontrer puisqu’il représente 93,5 % des requêtes effectuées en France. Depuis plusieurs années l’entreprise souhaite proposer aux utilisateurs “des améliorations et des réglages en fonction [des] centres d’intérêt”, comme l’indique Amit Singhal, responsable du département “Search Quality” chez Google. Des améliorations que l’on peut qualifier plus simplement “personnalisation des résultats de recherche”. La question qui survient alors concerne l’accès à l’information, et à plus forte raison à des sources d’informations différentes qui peuvent aller à l’encontre du système de pensée de l’utilisateur au moment où il effectue sa recherche.
Comment fonctionne Google ? Quelles traces laissons-nous sur le Web ? 2 séquences pédagogiques pour réfléchir et agir
Gaëlle Sogliuzzo, professeur-documentaliste en lycée à la Cité Scolaire Beaumont (Redon, 35) a conçu un portfolio très intéressant de séquences et expérimentations pédagogiques sur la culture de l’information et des médias. Cet enseignant propose une approche participative de l’éducation au numérique avec 2 axes de travail formalisés. Pour chaque séquence, un ensemble de documents pédagogiques en libre accès : document de préparation de séance, fiches et documents élèves, exercices et corrigés et documents de synthèse. Des dossiers complets (avec infographies, explicitations, quizz…) pour développer des activités dans le cadre scolaire, en formation ou en espace public numérique (EPN).
Etudier Google pour apprendre à lire une page de résultats de recherche
Ou comment faire pour que les connaissances acquises soient réinvesties en situation de recherche ? Voilà longtemps déjà que je garde sous le coude les travaux de Fréderic Rabat sur Google en me disant « Un jour, c’est sûr, je m’y mets… » Ce trimestre c’est décidé, je me lance.