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Psycho-phénoménologie

Psycho-phénoménologie
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Historique[modifier | modifier le code] L’acte de naissance de la psycho-phénoménologie se trouve dans le no 13[1] de la revue du Groupe de Recherche sur l’EXplicitation (GREX), Expliciter[2], datant de février 1996. Dans cet article, intitulé Pour une psycho-phénoménologie, Pierre Vermersch relate sa décision d’investir le champ de la recherche sur la subjectivité selon un angle particulier. Il fait alors le constat d’une nécessité théorique qui n’a pas encore trouvé sa voie : l’étude rigoureuse de la pensée privée. Depuis son travail de thèse, en 1976, Pierre Vermersch s’était consacré à l’élargissement du recueil de données des activités cognitives, tout d'abord en utilisant les enregistrements vidéo, puis, à partir des années quatre-vingt, en élaborant une méthode d’entretien, l’Entretien d'explicitation. Le point de vue phénoménologique[modifier | modifier le code] L’approche scientifique de l’introspection[modifier | modifier le code]

Phénoménologie de la religion Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La phénoménologie de la religion est la description du fait religieux. Cette discipline se propose d'étudier la conscience du croyant, sa conception du monde, et éventuellement, sa perception des faits religieux.[1] Largement tributaire de l'herméneutique religieuse — c'est-à-dire de l'analyse et de l'interprétation des textes bibliques —, la phénoménologie tente d'articuler la compréhension du fait religieux autour des différents sens des textes sacrés[2]. Histoire[modifier | modifier le code] La première apparition du terme « Phénoménologie de la religion » se trouve en « Lehrbuch der Religionsgeschichte » [3],[A 1] par Pierre Daniël Chantepie de la Saussaye (1848-1920), en 1887. Quelques chercheurs de phénoménologie des religions[modifier | modifier le code] Littérature[modifier | modifier le code] Martin Heidegger (trad. de l'allemand par Jean Greisch), Phénoménologie de la vie religieuse, Paris, Gallimard, (ISBN 978-2-07-074516-6)

Phénoménologie de la vie Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le philosophe français Michel Henry définit la vie d'un point de vue phénoménologique comme ce qui possède la faculté et le pouvoir « de se sentir et de s'éprouver soi-même en tout point de son être »[4]. Pour lui, la vie est essentiellement de l'ordre de la force subjective et de l'affectivité[5], elle consiste en une pure expérience subjective de soi qui oscille en permanence entre la souffrance et la joie[6][7]. Une « force subjective » n’est pas une force impersonnelle, aveugle et insensible comme le sont les forces objectives que l’on rencontre dans la nature, mais une force vivante et sensible éprouvée de l’intérieur et résultant d’un désir subjectif et d’un effort subjectif de la volonté pour le satisfaire[8],[9]. Le mot « phénoménologique » se réfère à la phénoménologie, qui est la science du phénomène et une méthode philosophique d'étude des phénomènes tels qu'ils se manifestent et tels qu'ils apparaîssent[11].

Phénoménologie (philosophie) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La phénoménologie (du grec : phainómenon, « ce qui apparaît » ; et lógos, « étude ») est un courant philosophique qui se concentre sur l'étude des phénomènes, de l’expérience vécue et des contenus de conscience. Edmund Husserl ( - ), est considéré comme le fondateur de ce courant, dans sa volonté de systématiser l'étude et l'analyse des structures des faits de conscience[1]. Il n'y a pas à s'étonner de la grande variété des expressions prises par ce courant de pensée qui ressortit à sa nature même qui veut exprimer les aspects spécifiques de chacun de ses domaines d'étude[1]. On attribue généralement l'invention du terme « phénoménologie » à Jean-Henri Lambert (1728-1777), qui dénomme ainsi dans la quatrième partie de son Nouvel Organon (1764) la « doctrine de l'apparence »[3],[N 1]. La phénoménologie est un concept central de la philosophie de Johann Gottlieb Fichte. Son élève et son compagnon le plus proche fut Martin Heidegger.

Phénoménologie (science) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le terme phénoménologie appliqué à la science est utilisé pour décrire un corps de connaissance reliant de nombreuses observations empiriques entre elles, de façon cohérente avec la théorie fondamentale, mais n'en étant pas issu. Une théorie phénoménologique exprime mathématiquement le résultat de l'observation d'un phénomène sans s'attarder à sa signification fondamentale[1]. Le mot dérive de « phénomène » ( du grec φαινόμενoν, pl. φαινόμενα - phenomena, traduit par "chose manifeste, évidente, qui apparaît", et -λογία - -logia, traduit par « étude de » ou « recherche »), et s'applique à tout événement observable. Une autre façon d'appréhender la phénoménologie en science est de considérer qu'elle constitue l'intermédiaire entre l'expérience et la théorie. Elle est plus logique et comprend plus d'étapes logiques que l'expérience, mais est plus directement liée à cette dernière qu'à la théorie. Portail des sciences

John Dewey John Dewey en 1902. Sa philosophie est d'abord marquée par l'instrumentalisme, c'est-à-dire par sa volonté de rompre avec une philosophie classique qu'il voyait comme plus ou moins liée à la classe dominante, pour en faire un instrument de transformation collective et délibérative du monde. Le principal moyen envisagé par Dewey à cette fin est ce qu'il nomme la « théorie de l'enquête », qui fait partie de son approche de la démocratie et dans le cadre de laquelle les théories philosophiques traditionnelles sont alors vues comme des moyens de fournir des hypothèses à tester. Biographie[modifier | modifier le code] Son parcours[modifier | modifier le code] Les années de jeunesse[modifier | modifier le code] Comme son ainé, Davis Rich Dewey, il étudie à l'université du Vermont (Phi Beta Kappa), d'où il sort diplômé en 1879. Dewey a presque 23 ans lorsqu’il continue ses études à l’université Johns-Hopkins en septembre 1882. Les années à l'université de Michigan[modifier | modifier le code] 1.

John Searle Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Searle. Cet article concerne le philosophe américain. Pour le directeur de la photographie australien (né en 1942), voir John Seale. John Searle Philosophe occidental Époque Contemporaine John Searle en 2005 Philosophie du langage[modifier | modifier le code] Les Actes de langage et leur force illocutoire[modifier | modifier le code] La philosophie du langage de John Searle bénéficie de l'héritage de Peter Strawson et de John Austin. les assertifs : un acte assertif engage le locuteur sur la véracité d'une proposition. John Searle a par la suite travaillé avec Daniel Vanderveken sur cette théorie des actes de langage afin de déterminer la réussite partielle ou complète d'un tel acte. Les Actes de langage indirects[modifier | modifier le code] Les actes de langage indirects sont pour Searle les expressions qui réalisent une action verbale sous les apparences d'une autre. L'Intentionnalité[modifier | modifier le code]

Charles Sanders Peirce Biographie[modifier | modifier le code] Vie[modifier | modifier le code] Vers l'âge de 12 ans, il lit un livre de logique de l'évêque Richard Whately et devient fasciné par les problèmes de logique au point de penser les problèmes à travers elle[2]. À seize ans, il étudie chez lui Lettres sur l'éducation esthétique de l'homme de Friedrich von Schiller, puis Critique de la raison pure de Kant[2]. Peirce souffre depuis son adolescence de troubles nerveux qui de nos jours pourraient être diagnostiqués comme une névralgie du trijumeau. Juliette et Charles chez eux à Arisbe en 1907. Il obtient un premier diplôme de Harvard en 1859 et ne sait pas exactement ce qu'il va faire, puis il intègre l'équivalent de la faculté des sciences de Harvard, où il décroche un diplôme de chimie avec mention Summa cum laude (Très bien) en 1863. Dans les années 1880, l'indifférence de Peirce aux contraintes bureaucratiques augmente tandis que la qualité de son travail baisse. — Max Fisch 1964, p. 486[9] (en) C.

William James Pour les articles homonymes, voir James. William James (né le 11 janvier 1842 à New York, mort le 26 août 1910 à Chocorua dans le New Hampshire) est un psychologue et philosophe américain, fils d'Henry James Sr., le disciple de Swedenborg, et frère aîné d'Henry James, romancier célèbre. James est un des membres les plus éminents de la génération de penseurs qui ont contribué à donner à la pensée américaine sa propre tonalité. Il est non seulement un des fondateurs du pragmatisme mais également de la philosophie analytique. William James est souvent présenté comme le fondateur de la psychologie en Amérique. La théorie de la signification constitue le cœur du pragmatisme de James. Un autre point important chez James est la notion de « tempérament ». Biographie[modifier | modifier le code] William James au Brésil en 1865. En 1867-1868, il voyage en Europe et étudie la psychologie à Berlin. En 1878, il se marie, ce qui sera mal perçu par sa sœur Alice. « Chaque « état[Quoi ?]

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