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ENQUÊTE: LES MANIPULATIONS DES ETATS-UNIS DANS LES BANLIEUES FRANCAISES

ENQUÊTE: LES MANIPULATIONS DES ETATS-UNIS DANS LES BANLIEUES FRANCAISES
Oumma.com et Saphirnews sont des organes de la CIA ? Oh putain ! D’un autre coté, quand on voit comment les jeunes des banlieues se font emmerder chaque jour, pas étonnant qu’ils sont réceptifs au discours de l’ambassade U.S. – il vaut mieux qu’ils aillent se faire endoctriner à New-York que d’aller faire le Jihad à Kandahar… [Emmanuel Ratier - Fait & Documents n°308 - Janvier 2011] Au travers de nos enquêtes sur les American Presence posts (n° 94) ou sur la French-American Foundation (n° 271 et 272), F&D a été le premier média français à s’interroger sur la restructuration de l’influence américaine en France. Les menées américaines en France ne sont pas nouvelles. Ceux qui croiraient que ces pratiques de la Guerre froide sont enterrées depuis belle lurette se trompent : elles sont à nouveau utilisées en France depuis plusieurs années en direction de ceux qui seront bientôt les nouveaux supplétifs des Américains : les minorités immigrées, en particulier musulmanes. 1) Résumé. Tactique 4.

Europe: on voit le mur et on accélère Bon, faisons le point rapidement sur la situation financière de l’Europe. Depuis des années maintenant, on sait que c’est « la crise ». Financière ou économique, finalement on s‘en fiche, le résultat est le même : les pauvres tombent dans une misère digne de l’époque napoléonienne, tandis que les plus favorisés sont toujours soignés aux petits oignons. Normal : les réunions et autres lobbies type Bilderberg ou FMI décident de tout, entre initiés et dévots aux théories ultra libérales. On a déjà longuement parlé de la crise actuelle, et cela depuis des mois. Les banques ont des bilans auxquels on ne peut absolument pas faire confiance, comme on l’a vu à moult reprises depuis des années. Les banques annoncent les chiffres qu’elles veulent, grâce aux paradis fiscaux (on fait passer les bénéfices dans les paradis fiscaux et les pertes en France). Pas plus que les banques américaines. Rappelons que dès le début, la Grèce n’était pas solvable pour autant d’argent emprunté à un tel taux.

BREVE : Les sommets européens infiltrés par les banques Lors des sommets européens comme ceux de juillet et octobre 2011, où il s’agit ni plus ni moins depuis trois ans de « sauver l’euro » ou de « sauver la Grèce », les débats essentiels ne sont pas publics mais informels. On peut même parler de tractations de couloir entre banquiers et élus nationaux, pour le plus grand bonheur des banques, évidemment. Ces deux derniers sommets de juillet et octobre 2011 ont porté sur la restructuration de la dette grecque : on a demandé aux banques de réduire les profits qu’elles attendaient de leurs prêts toxiques (puisque la Grèce sera insolvable, on le sait depuis le départ). Avec le risque, largement souligné par les banques, que certaines d’entre elles se retrouvent dans les choux. D’après le Corporate Europe Observatory, un groupe de recherches sur le lobbying en Europe, l’Europe a choisi comme principal interlocuteur dans ces débats un lobby financier qui s’appelle l’Institute of international Finance[1].

Le Grand Échiquier Très proche de l’exécutif américain, ancien conseiller à la sécurité de la présidence des Etats-Unis, expert fort écouté du Center for Strategic and International Studies, membre du très influent Council on Foreign Relations, Zbigniew Brzezinski est loin d’être un personnage de second rang. Quelques années après le médiatique « Clash of civilisations » de Samuel P. Huntington, où développant le concept d’Occident cet auteur désignait les adversaires des Etats-Unis et l’importance du bloc islamo-confuséen, et où le paradigme de l’après Guerre Froide devenait le choc des civilisations, Brzezinski faisait paraître The grand chessboard. Dès l’introduction, nous sommes renseignés sur la portée de l’ouvrage ; il ne s’agit pas d’un énième travail de géostratégie présentant les forces, les interactions, les évolutions, les constantes du monde contemporain, mais bien d’une vision de géostratégie s’inscrivant dans une eschatologie terrifiante. L’Islam n’a pas d’ « Etat-phare » dirait Huntington.

Brzezinski prend acte de la crise du Système Zbigniew Brzezinski a bien modifié sa vision du monde, depuis son jeu d’échec des années 1990 qui décrivait le triomphe global des USA grâce à d’habiles combinaisons géopolitiques mélangeant la force brute, le cynisme et les pressions d’influence. (Voir, le livre Le grand échiquier de Zbigniew Brzezinski, en 1997.) Aujourd’hui, en 2012, il publie Strategic Vision: America and the Crisis of Global Power ; plus rien à voir avec les échecs, et tout avec l’échec de la puissance américaniste tant célébrée... Arnaud de Borchgrave a écouté une conférence de présentation de son livre par l’auteur. Borchgrave rend compte de la chose pour UPI, le 13 février 2012 «Talking about his 20th book ‘Strategic Vision -- America and the Crisis of Global Power’ – and arguably best geopolitical tome, Zbig, as he is universally known, said: “After the dissolution of the Soviet Union, we saw the emergence of a single power -- the United States.

Conflits d’intérêts, marasme éthique, influence pharmaceutique... Menaces sur la médecine (Roy Poses et Health Care Renewal) Par ses activités, prises de positions et analyses, le Dr Roy Poses est l’une des principales figures de la résistance aux influences et manipulations de l’industrie pharmaceutique. Depuis 1994, il est professeur associé de médecine à l’Université de Brown (Etats-Unis), l’une des plus réputées du pays. Il a fondé et préside la Foundation for Integrity and Responsibility in Medicine (FIRM). Roy Poses est le fondateur et principal auteur du meilleur blog / site sur le complexe médico-industriel : Health Care Renewal. Le blog Health Care Renewal s’est imposé comme LA meilleure référence internationale sur ces sujets, sans aucun équivalent français comparable. Par les nombreux liens, les lecteurs peuvent approfondir les dimensions évoquées. Le texte The Lancet Emphasizes the Threats to the Academic Medical Mission a été posté le 14 décembre 2010 par le Dr Roy Poses. Les menaces sur les missions de la médecine universitaire soulignées par le Lancet Par le Dr Roy Poses Références 1. 2.

Industrie pharmaceutique Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'industrie pharmaceutique est le secteur économique qui regroupe les activités de recherche, de fabrication et de commercialisation des médicaments pour la médecine humaine ou vétérinaire[1]. C'est l'une des industries les plus importantes économiquement, au monde. Cette activité est exercée par les laboratoires pharmaceutiques et les sociétés de biotechnologie. Historique[modifier | modifier le code] La pharmacie la plus ancienne recensée dans l’histoire date de 754 [2]. Au XIXe siècle, nombre de pharmacies européennes et nord-américaines sont devenues des compagnies pharmaceutiques à part entière, et, de fait, la plupart des compagnies pharmaceutiques actuelles ont été fondées à cette époque. Aux XXe siècle, les découvertes centrales des années 1920 et des années 1930 dans le domaine de la médecine, telles que la pénicilline et l’insuline, commencent alors à être produites en quantité industrielle et distribuées au détail.

Financement de la recherche pharmaceutique Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le financement de la recherche pharmaceutique recouvre l'ensemble des soutiens financiers directs et indirects apportés aux chercheurs travaillant au développement de médicaments. Le participation de l'industrie pharmaceutique à ces apports pose parfois des questions d'ordre éthique, la recherche du profit qui motive ses acteurs, les laboratoires pharmaceutiques, étant potentiellement conflictuelle avec les objectifs de santé publique qui s'y attachent. Types de soutiens[modifier | modifier le code] Comme l'indiquent plusieurs chercheurs, les laboratoires financent de nombreux projets universitaires[1]. Soutiens logistiques[modifier | modifier le code] D'après le Professeur Frédéric Rouillon, chef de service de psychiatrie exerçant à l'hôpital Saint-Anne à Paris, les experts universitaires bénéficient notamment d'un soutien logistique qui leur permet de développer leurs activités académiques. Recherches soutenues[modifier | modifier le code]

Libéralisme économique Les partisans du libéralisme économique se rangent en deux grandes familles. Pour les libéraux classiques (John Locke, Anne Robert Jacques Turgot, Adam Smith ou Étienne Bonnot de Condillac), le libéralisme économique est l'application au domaine économique des principes fondateurs du libéralisme : liberté, responsabilité, propriété. Ils contestent à la fois la légitimité et l’efficacité de l’action étendue de l’État, et, selon les doctrines, demandent la limitation plus ou moins grande voire totale de ses actions dans le champ de l'économie. Ils considèrent notamment que la puissance publique n'a ni la légitimité, ni l'information nécessaire pour prétendre savoir mieux que les consommateurs ce qu'ils peuvent ou doivent consommer ou pour prétendre savoir mieux que les producteurs ce qu'ils peuvent ou doivent produire. Histoire de la liberté économique[modifier | modifier le code] Révolution française[modifier | modifier le code] Royaume-Uni[modifier | modifier le code]

1957 : CCR : Centre commun de recherche Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir CCR. Le Centre commun de recherche (CCR, Joint Research Centre en anglais) est le laboratoire de recherche scientifique et technique de l'Union européenne. Mission[modifier | modifier le code] La mission du Centre commun de recherche est de fournir un soutien scientifique et technique à la conception, à l'élaboration, à la mise en œuvre et au suivi des politiques communautaires en répondant aux demandes de celles-ci. Les sept instituts du Centre commun de recherche sont : Historique[modifier | modifier le code] Créé en 1957 par le traité de la Communauté européenne de l'énergie atomique (Euratom) en tant que « Centre commun de recherche nucléaire », le CCR a perdu au début des années 1970 l'adjectif « nucléaire » dans son titre à la suite d'un effort de reconversion qui s'est traduit par une diversification dans d'autres domaines de recherche scientifique. Voir aussi[modifier | modifier le code] Site du CCR

25 mars 1957 "Euratom" Traité instituant la Communauté européenne de l'énergie atomique Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le Traité instituant la Communauté européenne de l'énergie atomique (dit traité Euratom) est le traité fondateur de la communauté éponyme. Il a été signé en 1957 à Rome, en même temps que le Traité sur le fonctionnement de l'Union européenne. Contexte[modifier | modifier le code] Le traité suit la mise en place de la Communauté européenne du charbon et de l'acier, qui est entrée en vigueur en 1952 et qui constitue la première réalisation d'importance dans l'intégration de l'Europe. Cet échec provoqua dès 1955 des tentatives de relance du processus d'intégration européenne avec la Conférence de Messine. C'est ainsi qu'en 1957, les traités de Rome furent signés à Rome. Objectifs[modifier | modifier le code] La création de l'Euratom fait suite à la nécessité de l'indépendance énergétique des États fondateurs qui ne pouvaient seuls investir dans l'énergie nucléaire. Structure du traité[modifier | modifier le code]

13 décembre 2007 Traité de Lisbonne Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le traité de Lisbonne Ce traité a été préparé au second semestre 2007 par une conférence intergouvernementale (CIG) constituée pour pallier la non-ratification du traité établissant une constitution pour l'Europe de 2004[1]. À la différence du traité constitutionnel de 2004, qui remplaçait les deux grands traités par un texte nouveau, le traité de Lisbonne conserve les traités existants tout en les modifiant en profondeur : Le traité de Lisbonne est entré en vigueur le [2], soit le premier jour du mois qui suit l’achèvement du processus de ratification dans les vingt-sept États signataires de l'époque, avec dépôt des instruments de ratification à Rome. Généralités[modifier | modifier le code] Le mandat donné à la « CIG 2007 » résulte du « projet de mandat pour la CIG », un document de quinze pages[4], annexé aux conclusions du Conseil européen de Bruxelles du . Les chefs d’État et de gouvernement réunis à Lisbonne le .

Jacques Delors : l’homme des firmes Les « lobbies », on croirait qu’ils se cachent sous les tapis. Pour mesurer leur influence, il suffit pourtant d’écouter Jacques Delors, l’ancien président (socialiste) de la Commission. Très fier d’avoir bâti l’Europe main dans la main avec les patrons… « Les dirigeants de l’ERT ont été à l’avant garde du soutien de mon idée. » C’est Jacques Delors qui l’explique tranquillement. Le même poursuit ses confidences : « Donc ce que j’ai fait en 84 c’est de rechercher un consensus par défaut avec les gouvernements qui refusaient tout sauf cette idée d’un grand marché et d’obtenir un consensus par enthousiasme des industriels. » Et c’est ainsi que ce socialiste a « relancé l’Europe » : non en s’appuyant sur les « syndicats européens », ou les « peuples européens » (qu’il ne cite jamais), mais sur l’ERT. Avancer à 140 à l’heure... C’est qu’à l’automne 1991, l’Europe se trouve, à nouveau, à un moment clé de son histoire : le continent est débarrassé du communisme. Un ver dans la gauche

Une cartographie de la misère La logique impériale libérale. Deux siècles après la Révolution française, en guise de singulier bicentenaire, le Mur de Berlin s'effondre, sapé de part et d'autre par l'Ouest et l'Est. Le Pape y compte pour rien, les dirigeants occidentaux non plus, encore moins les intellectuels européens, car l'impulsion ne vint pas de l'extérieur, mais de l'intérieur. Il n'y eut pas explosion du système soviétique, mais implosion d'une machine viciée par ses mécanismes internes. Faussement révolutionnaire, socialiste et communiste, vraiment totalitaire et bureaucratique, l'Union soviétique avec son Empire s'écroule faute d'avoir été dialectique, c'est-à-dire à l'écoute plastique des leçons données par l'Histoire. Cette date compte à égalité avec celles qui marquent la chute des pouvoirs policiers, militaires et fascistes du XXe siècle. L'adversaire libéral gagne sans même avoir mené le combat. Le libéralisme semble l'horizon indépassable de notre époque. Et puis, et puis... La puissance d'exister

Europe Inc. - Liaisons dangereuses entre institutions & milieux d'affaires européens Observatoire de l'Europe industrielle Europe Inc. - Liaisons dangereuses entre institutions & milieux d'affaires européens Belén Balanyá, Ann Doherty, Olivier Hoedeman, Adam Ma'anit, Erik Wesselius Préface de Susan George Traduit de l'anglais par Mickey Gaboriaud Collectif * Susan George Préface * Collectif Introduction * Chapitre I- L'Europe des grandes firmes * Chapitre II- Travaux de fondation * Chapitre III- Rédaction du script : la Table Ronde des industriels européens * Chapitre IV- L' UNICE, une machine de pression bien huilée * Chapitre V- L'AmCham au diapason des choeurs industriels de Bruxelles * Chapitre VI- L'AUME, la brosse à reluire de l'Union monétaire * Chapitre VII- Faire des affaires : le traité & les lobbies * Chapitre VIII- De l'huile dans les rouages : l'infrastructure européenne des transports * Chapitre IX- L'Europe gavée par le lobby biotechnique * Chapitre X- La mondialisation régie par l'industrie * Annexe IV- Sources * Notes 1.

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