La France en face : un documentaire saisissant le 28 octobre sur France 3 TELEVISION - Qui sont les Français? Que font-ils? Comment vivent-ils? À en juger par l'offre télévisuelle, ces questions nous passionnent. Sur D8, So France (côté titre, on a vu mieux) explore depuis cet été le business du patrimoine, sur France 2 Marie Drucker part à la rencontre des Français dans Nous... À cet égard, le film documentaire La France en face, diffusé sur France 3 ce lundi 28 octobre, apporte une contribution aussi limpide que saisissante. Lire aussi: Les Petits Blancs: "un voyage dans la France d'en bas" Chronique des deux France La France en face, c'est chacune de ces deux France, qui regarde l'autre comme médusée, ahurie. Encore un laïus de gauche pour clouer le bec aux apôtres du néolibéralisme? La France en face: La carte des fragilités... par 20Minutes Mais combien sont-ils dans cette France de la campagne, des petites villes et des banlieues à ne pas avoir réussi à prendre le train de la mondialisation? Mise à l'écart Il y a en effet urgence. Comment s'en sortir?
Je suis Locavore Albi veut conquérir son autosuffisance alimentaire avant 2010. Pourquoi pas nous ? FIGARO DEMAIN - L'objectif, à l'horizon 2020, est de permettre à tous les habitants de se nourrir de denrées produites dans un rayon de 60 kilomètres autour de la préfecture tarnaise. Au menu : agriculture urbaine, jardins partagés et circuits courts. Une première en France. Un petit parfum de révolution verte flotte dans l'air. L'équipe municipale d'Albi a officialisé début 2016 un défi ambitieux: parvenir à l'autosuffisance alimentaire à l'horizon 2020. Une première en France pour une ville de cette taille (51.000 habitants). Vous utilisez un bloqueur de publicité Pour poursuivre la lecture de nos articles, nous vous proposons deux solutions : Tout Le Figaro en illimité Le journal en numérique dès 22h Le site Premium, sans publicité L’information sur tous les écrans 1 MOIS D’ESSAI GRATUIT ● L'installation de néomaraîchers dans la commune En bordure du Tarn, une vaste friche verdoyante non constructible de 73 hectares est située à une quinzaine de minutes de vélo du centre-ville.
Traçabilité des produits: cinq façons de manger local Après les scandales de la viande de cheval retrouvée dans des plats cuisinés et les problèmes de traçabilité des produits qui en découlent, il paraît de plus en plus difficile de savoir ce que l'on trouve dans nos assiettes. Une solution parmi d'autres existe pourtant pour y voir plus clair dans ce que l’on mange: les circuits courts. Ce mode de consommation alternatif a pour but de réduire les intermédiaires entre producteurs et consommateurs, de préférence en consommant des produits issus d’une agriculture locale. 1. Les associations pour le maintien d’une agriculture paysanne (Amap) existent depuis des années. Ces dernières connaissent même un certain regain d'intérêt. 2. Réunir la plus grosse communauté possible de consommateurs autour de produits agricoles locaux et par Internet, c’est le principe de La Ruche qui dit oui! Cette entreprise sociale et solidaire a été fondée en 2010. 3. En octobre 2012 est né le tout premier “ drive-fermier ”. 4. 5.
Producteurs et consommateurs s’unissent pour former des communautés solidaires Voilà un entrepreneur qui a du piquant. Guilhem Chéron prépare sa recette depuis un an et demi dans les règles de l’art. Se basant sur le succès des AMAP (Associations pour le Maintien de l’Agriculture Paysanne) qui créent un lien direct entre le producteur et le consommateur, ce designer industriel de formation a inventé une nouvelle formule : « La ruche qui dit oui ! », visant à ouvrir le concept au-delà des simples consommateurs avertis. La ruche est en réalité un groupement de quarante à cinquante foyers situés dans une même zone géographique qui vont se réunir pour faire appel aux producteurs de leur choix et se fournir directement auprès d’eux, court-circuitant ainsi le passage par la case distributeur. Pour être plus précis, c’est le producteur qui calcule lui-même ses prix en fonction de sa zone de chalandise : il lancera lui même les propositions auprès de la ruche en proposant de livrer un certain volume de ses produits, fruits ou légumes par exemple.
Circuits courts/circuits de proximité Objectifs du projet de coopération Conforter et mettre en cohérence et en commun des savoir-faire locaux, mettre en réseau les acteurs et promouvoir les produits Conforter, mettre en cohérence et en commun les expériences, les connaissances et savoir-faire des territoires coopérant autour des produits du terroir Mettre en réseau les acteurs des territoires (producteurs, artisans, restaurateurs, acteurs du tourisme…) pour structurer des filières locales, soutenir la recherche de nouveaux débouchés Promouvoir les spécificités locales/ produit du terroir auprès des consommateurs. Créer une « identité culinaire » Touraine Partenaire du projet Thèmes Agriculture et produits agricoles Aménagement du territoire Circuits courts/circuits de proximité Commercialisation Date d'approbation du projet 8 Novembre, 2012 Date (prévue) de fin du projet 31 Décembre, 2014 Contexte et origine Objectifs opérationnels Créer une plus value des opérations déjà entreprises autour des produits locaux.
Les circuits courts disponibles sur internet Accueil » Médical et alimentation » Les circuits courts disponibles sur internet font bel et bien partie du vocabulaire des consommateurs, le made in « près de chez soi » a décidément le vent en poupe. En effet, selon une étude du cabinet Xerfi, publiée mi-janvier, les produits alimentaires régionaux voire locaux ont un bel avenir devant eux. Ce phénomène s’expliquerait en grande partie par les exigences de traçabilité des consommateurs, la montée en puissance du « consommer local » ou encore la philosophie relative au maintien de l’emploi dans sa région d’origine. un mode de commercialisation des produits agricoles qui s’exerce soit par la vente directe du producteur au consommateur, soit par la vente indirecte, à condition qu’il n’y ait qu’un seul intermédiaire – le phénomène, en pleine expansion est difficile à évaluer, et manque souvent de visibilité auprès des consommateurs qui n’en ont pas forcément connaissance. Les réseaux nationaux : le dernier né ! Ceux qu’on ne présente plus
11. Sensibiliser à l’alimentation, à l’environnement et au développement durable | Portail documentaire « Agriculture Biologique et Développement Local » Faire en sorte que la population s’approprie les enjeux locaux La compréhension et l’appropriation par la population des enjeux liés au développement durable est l’une des clés de réussite des projets de territoire autour de l’agriculture biologique : il est en effet avéré que la demande locale de produits bio est un puissant moteur de changement. Les actions de sensibilisation et de pédagogie à destination des habitants ont pour but d’informer la population sur les enjeux et les intérêts de l’agriculture biologique, afin d’aboutir à un changement de pratiques dans différents domaines (consommation, cuisine, jardinage, etc.). En outre, un projet d’agriculture biologique dans un territoire ne se décrète pas : la sensibilisation de la population est indispensable pour faire connaître les actions menées par la collectivité autour de l’agriculture biologique, afin de faciliter la mise en œuvre et l’acceptabilité des projets (sur la gestion différenciée des espaces publics par exemple).
Mes achats - Alimentation Mis à jour le 15/12/2015 Un aliment cultivé, transformé, conservé, emballé, transporté émet à toutes ces étapes des gaz à effet de serre. Au total, ce sont 30 % des émissions de la France. Mais bien manger en limitant ses impacts sur l'environnement c'est possible. Favoriser les produits de saison Aujourd'hui, nous pouvons trouver quasiment de tout toute l'année en magasin. Un exemple : une tomate produite sous serre chauffée aura des impacts (émissions de gaz à effet de serre générés par la consommation d'énergie) jusqu’à 20 fois supérieurs à une tomate produite localement, en saison ! Pour connaître les aliments produits en fonction des saisons (légumes, fruits, viande…), le programme « Manger, bouger » vous propose un calendrier. Faire évoluer son régime alimentaire en combinant santé, environnement et plaisir ! Certaines familles d’aliments ont des impacts environnementaux plus importants que d'autres. Acheter des produits porteurs de logos environnementaux
« Pour l'alimentation durable des villes » : l'exemple de Lyon dans Urbact II Sur le territoire lyonnais et l’aire métropolitaine, de nombreuses initiatives, portées par des acteurs très différents, permettent de développer une offre alimentaire qualitative qui favorise la santé, l’emploi local et l’environnement. La ville de Lyon était engagée dans le programme européen URBACT II « pour l’alimentation durable des villes », qui s’est clôturé en juin 2015. Un plan local d’actions autour de 4 axes a été co-construit avec les acteurs. La spécificité de Lyon dans ce réseau européen est l’effort spécifique réalisé pour l’accès des ménages populaires à l’alimentation durable (jardins partagés en CUCS, épiceries sociales et solidaires, marchés alimentaires, tarifs sociaux de la restauration scolaire, etc.). Jusqu’en juin 2015, ce projet a associé 9 autres villes : Bruxelles (Belgique - chef de file du réseau), Amersfoort (Pays-Bas), Athènes (Grèce), Bristol (Royaume-Uni), Göteborg (Suède), Messine (Italie), Oslo (Norvège), Ourense (Espagne) et Vaslui (Roumanie).