Une femme de 82 ans s'envolera avec Jeff Bezos dans l'espace le 20 juillet Une femme de 82 ans, Wally Funk, accompagnera Jeff Bezos dans l'espace à bord d'un vol de sa société Blue Origin le 20 juillet, devenant ainsi la personne la plus âgée à voyager dans l'espace, a annoncé l'entreprise jeudi. • À lire aussi: Une place pour un voyage dans l’espace avec Jeff Bezos vendue 28 M$ aux enchères • À lire aussi: Tourisme spatial: le patron d’Amazon ira dans l’espace le 20 juillet Elle sera le quatrième passager de ce premier vol habité de la société de tourisme spatial, aux côtés du milliardaire, de son frère Mark Bezos, et du gagnant d'une mise aux enchères dont le nom n'a pas encore été révélé. Photo d'époque de Wally Funk. Dans les années 60, Wally Funk a fait partie d'un programme privé appelé «Mercury 13», un groupe de 13 femmes ayant passé les mêmes tests que les astronautes masculins sélectionnés dans le cadre du programme Mercury de la NASA pour envoyer les premiers Américains dans l'espace.
Rapport spécial du GIEC "réchauffement à 1.5°C" - Résumé à destination des enseignants | Office for Climate Education Résumé à destination des enseignants basé sur le rapport spécial du GIEC "Réchauffement à 1,5°C" Coordinatrice Lydie Lescarmontier (OCE, France) Auteurs (par ordre alphabétique) Eric Guilyardi (IPSL, France), Lydie Lescarmontier (OCE, France), Robin Matthews (Unité de support technique du GIEC, groupe de travail I, France), Sakina Pen Point (OCE, France), Anwar Bhai Rumjaun (Mauritius Institute of Education, Mauritius), Jenny Schlüpmann (Freie Universität Berlin, Allemagne), David Wilgenbus (OCE, France) Relecteurs (par ordre alphabétique) Badin Borde (Siemens Stiftung, Allemagne), Raphaëlle Kounkou-Arnaud (Météo-France, France), Maria A. Remerciements Unité de support technique du GIEC, groupe de travail I, pour la mise à disposition d’informations générales NB : le "scénario conceptuel" de ce rapport spécial du GIEC "réchauffement de 1,5°C" est disponible ici.
Le blob dans les classes et dans l’espace Faire des expériences en classe sur une moisissure, ça vous tente ? Et si nous le présentons ainsi : voir grandir et se nourrir un être étrange aux propriétés impressionnantes, et comparer vos observations avec les résultats obtenus par l’astronaute français Thomas Pesquet à bord de la station spatiale internationale. C’est mieux ? C’est ce que propose l’agence spatiale française (le CNES), en collaboration avec le CNRS, à quelque 2000 classes de niveau primaire, collège ou lycée lors de la prochaine rentrée scolaire 2021-2022. Les inscriptions sont ouvertes. Jaune, gluant et social, le blob n’est ni un animal, ni un végétal. Les mêmes expériences sur Terre et dans l’espace « Le service Éducation Jeunesse du CNES a vu le potentiel du blob, dont l’élevage est facile, pour des actions éducatives », relate Audrey Dussutour.
You are a teacher and you want to participate with your students in the Children's Film Festival? Mission Alpha | Education Le CNES, en partenariat avec le CNRS et avec le soutien de l’académie de Toulouse, a proposé à 4500 établissements scolaires de primaire, collège et lycée de participer à une expérience éducative originale, basée sur l’étude du comportement du Physarum polycephalum, ou blob. Cette expérience a également été menée par Thomas Pesquet à bord de l’ISS, lors de sa mission Alpha. Ni plante, ni animal, ni champignon L’expérience éducative proposée par le CNES, en partenariat avec le CNRS et avec le soutien de l’académie de Toulouse, consistait à envoyer un blob à bord de l'ISS et à inviter les classes à mener la même expérience que celle menée en micropesanteur. Pour ce faire, ils ont reçu de la part du CNES, fin août/début septembre, un kit comprenant 3 à 5 blobs (souche LU 352, identique à celle envoyée dans l’ISS), ainsi que du papier filtre. Plus connu sous son nom usuel « blob », le Physarum polycephalum n’est ni une plante, ni un animal, ni un champignon. Informations pratiques Planning
5 - Un génie sans neurones - Le Labo du Blob Imaginez que vous ayez la capacité de fusionner temporairement avec un autre individu et qu’à l’issue de cette expérience, vous ayez acquis toutes ses connaissances. Imaginez que vous soyez capable de trouver à tous les coups la sortie la plus courte de n’importe quel labyrinthe … Grandir, se diviser, cicatriser, se régénérer … jusque là on s’était concentré sur les caractéristiques physiques du blob. Mais croyez le ou non, ce n’est toujours pas pour ces compétences, même exceptionnelles, que le blob retient autant l’attention des scientifiques. Ce qui fascine actuellement les plus grands spécialistes est d’une autre nature… le blob fait preuve de capacités comportementales inattendues. Franchissement de pont et apprentissage Audrey Dussutour, chercheuse au CNRS, est la spécialiste française du blob. Dans une première expérience, la chercheuse proposait à ses blobs une petite épreuve : pour accéder à leur nourriture les blobs devaient franchir un pont recouvert de sel. Comment ?
Les grands singes - Ces primates si proches de l’homme - Regarder le documentaire complet Parce qu’ils sont nos proches parents, les grands singes, en particulier les chimpanzés et les bonobos, peuvent nous aider à comprendre l’hominisation (l’ensemble des processus évolutifs qui a conduit à l’apparition de l’homme). Tourné au Nigeria, en Tanzanie et dans un parc zoologique néerlandais, ce documentaire étudie ce qui nous distingue et nous rapproche d’eux. N’en déplaise à ceux qui situent l’homme au sommet de la création, toutes ces espèces, parties d’une même souche, se sont reproduites entre elles à plusieurs reprises au cours de l’histoire. Guerre et coopération Comme le montrent certaines vidéos, nous avons beaucoup en commun avec les grands singes, à commencer par la gestuelle des mains. Comme nous, ces derniers sont capables de se faire la guerre, mais aussi de se réconcilier et de coopérer.
Le blob, nouvelle star du zoo de Paris Ni plante, ni animal, ni champignon, le blob fait son entrée au Parc zoologique de Paris le 19 octobre. Audrey Dussutour, éthologiste au CNRS, nous explique en quoi cet organisme unicellulaire, dépourvu de cerveau et de système nerveux, fascine chercheurs et grand public. Vous êtes la spécialiste mondiale du blob, que le grand public va bientôt pouvoir découvrir au Parc zoologique de Paris. En quoi cette entrée au zoo est-elle importante ? Audrey Dussutour1 : C’est la première fois qu’un organisme unicellulaire entre dans un parc zoologique ! Audrey Dussutour, dans son laboratoire à Toulouse en mai 2019. Justement, on le définit souvent en procédant par élimination : ce n’est « ni une plante, ni un animal, ni un champignon ». Plus précisément, le blob appartient à la classe des myxomycètes, ce qui signifie « champignons gluants ». Au début de sa vie, il mesure 50 micromètres. Qu’est-ce qui rapproche et distingue le blob d’une amibe ? Comment se comporte cet organisme ?
Accueil Réveiller un blob : la curieuse mission de Pesquet dans l’ISS... et de milliers d’élèves sur Terre Après avoir conquis les bois il y a un milliard d’années, puis les laboratoires, voilà le blob prêt à partir pour l’espace ! Ce micro-organisme est l’un des rares chanceux à avoir trouvé une place dans la valise de Thomas Pesquet, l’astronaute français qui décollera le 22 avril pour la Station spatiale internationale. Mais qu’est-ce que le blob ? Dans le monde du vivant, les hommes ont eu bien du mal à lui trouver une place. A première vue, on le prendrait pour un œuf brouillé, ou de la gelée. Cette créature jaune et molle a longtemps été classée, à tort, parmi les champignons. De son vrai nom physarum polycephalum, le blob est un amibozoaire, un organisme composé d’une seule cellule, néanmoins bien visible car pouvant mesurer plusieurs mètres carrés ! LIRE AUSSI > Clichy : cette biologiste apprivoise le blob avant qu’il parte conquérir l’espace Parmi les dizaines d’expériences qui l’attendent en orbite, l’astronaute aura donc cette curieuse mission : réveiller ses blobs.
GENIALY Blob 11 oct 2021 Liens et ressources > < Groupe Facebook > présentation de la mission par Thomas Pesquet > Jour-J : 11 octobre 2021 RÉVEIL DU BLOB ET OBSERVATION > Préparation de l'expérience > Matériel nécessaire #ElèveTonBlob > Multiplier le BLOB pour d'autres expériences Trouver les établissements #ElèveTonBlob Physarum polycephalum Conseils Dr Drey Prises de vue / timelapse Flocons d'avoine (vous les trouverez facilement dans votre épicerie préférée)Une paire de ciseauxUn compasUne seringue en plastique (10 ml, facile à trouver en pharmacie)Eau (du robinet)Un cutterUn crayon à papierUn pic à brochettes en boisUne règle graduéeRuban adhésifUn thermomètre2 boîtes de Pétri (55 mm de diamètre ou des boîtes circulaires équivalentes, 35 à 60 mm de diamètre)Une grande boîte en carton (30 cm de hauteur)Un appareil photo (avec carte mémoire)Une lampe de chevetColle époxy (colle grand public homologuée pour une utilisation dans l'espace, facultative) Pour la multiplication, l'élevage : Agar-agar pour préparer la gélose Maxim
Une bande dessinée se lance à la recherche du clitoris perdu Douna Loup ne fait pas les choses à moitié. Quand l’écrivaine suisse découvre, à 34 ans, que le clitoris n’est pas qu’un petit bout de chair faiblard, mais un organe vigoureux de 10 cm, siège du plaisir féminin, elle décide de le faire savoir. Pour cela, elle se lance dans une vaste enquête sociologique et historique qui l'a menée à L’Affaire clitoris, une riche bande dessinée sortie cette semaine. Pourquoi une BD, elle qui privilégie dans ses romans une écriture charnelle, mystérieuse, aux interprétations ouvertes? «Parce que le clitoris a été tellement invisibilisé qu’il fallait le représenter dans toute sa clarté», répond la jeune femme, au soleil d’une terrasse genevoise. Mais ses fans ne seront pas dépaysés. Lire aussi: Plaisir féminin, la sexualité de grand-papa ne suffit pas «Mon corps est une jungle pleine de plantes et parmi toutes ces plantes, il y a une plante inconnue qui bouge dans mon corps. A ce sujet, lire également: La lente réhabilitation du clitoris Et Freud?
Les super-pouvoirs du blob ReportagesPropos recueillis par Annie Labrecque - 05/10/2017 Ni animal, ni végétal, ni bactérie, ni champignon, le « blob » n’a plus de secrets pour Audrey Dussutour qui l’étudie depuis presque 10 ans. Elle nous présente les talents cachés de cet étrange organisme unicellulaire, ou myxomycète. Il a été surnommé « blob » en référence à un film américain de 1958 où une masse grossit au fur et à mesure qu’elle engloutit des humains, mais il ne lui ressemble en rien, hormis par son aspect gluant. Québec Science : Qu’est-ce que le blob ? Audrey Dussutour : C’est un amibozoaire, un organisme unicellulaire qui existe depuis des millions d’années, mais il passe inaperçu, car la plupart des gens le confondent avec un champignon. Leur nombre reste inconnu, mais une équipe de scientifiques a compté 50 blobs par gramme de sol dans une forêt en Virginie, aux États-Unis. Il a un rôle fondamental de recycleur dans l’écosystème, ses déchets servant à nourrir les plantes et les champignons. AD En effet !