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Comment la CIA prépare les révolutions colorées

Comment la CIA prépare les révolutions colorées

Une contre-histoire de l'Internet Internet a été créé par des hippies tout en étant financé par des militaires ! Cet improbable choc des cultures a donné naissance à un espace de libertés impossible à censurer ou à contrôler. C’est pourtant ce que cherchent à faire, depuis des années, un certain nombre de responsables politiques, poussant hackers et défenseurs des libertés à entrer dans l’arène politique. Réseau sous surveillance Richard Stallman, l'inventeur des logiciels libres, Rick Falvinge, créateur du Parti pirate suédois (le premier du genre au monde), ou Julian Assange, fondateur de WikiLeaks reclus dans l'ambassade d'Équateur à Londres : au fil des entretiens avec ces militants de la liberté 2.0, les auteurs du documentaire dénoncent avec humour et vigueur les tentatives de régulation d'Internet par les gouvernements et les multinationales, et dévoilent le rapport souvent conflictuel qui persiste entre les acteurs de la culture web et les pouvoirs publics.

Une autre histoire de l'Amérique - Oliver Stone Archive - News360x Une autre histoire de l’Amérique, par Oliver Stone – Bush & Obama : l’ère du terrorisme Dans cette série documentaire, le réalisateur multi-oscarisé Oliver Stone multiplie les révélations sur la face obscure de l’histoire des Etats-Unis et de ses dirigeants. De la Seconde Guerre Mondiale à nos jours, il... Une autre histoire de l’Amérique, par Oliver Stone – Bush & Clinton : le triomphalisme américain, le nouvel ordre mondial Une autre histoire de l’Amérique, par Oliver Stone – Reagan, Gorbatchev et le tiers-monde : la montée de la droite Une autre histoire de l’Amérique, par Oliver Stone – Johnson, Nixon et le Viêtnam : revers de fortune Une autre histoire de l’Amérique, par Oliver Stone – JFK, au bord du gouffre Une autre histoire de l’Amérique, par Oliver Stone – Les années 1950 Eisenhower la bombe et le tiers-monde Une autre histoire de l’Amérique, par Oliver Stone – La guerre froide : 1945-1950 Une autre histoire de l’Amérique, par Oliver Stone – La bombe

DEMOCRATIE EN DANGER | le gaulois déchainé | Page 2 Vous aurez appris ces derniers mois, entre autres en nous lisant, une somme considérable de vérités sur les vaccins. Maintenant que vous savez, vous devenez responsables de tous vos amis, parents et relations que vous laisseriez dans l'ignorance. A l'entrée de l'automne, quand les médecins arment leurs seringues, il est bon d'avoir de solides arguments à leur opposer. Les 10 plus gros mensonges sur la vaccination Sylvie Simon est écrivain et journaliste. Elle a déjà publié plusieurs essais sur des scandales (sang contaminé, vaches folles, amiante, hormones de croissance, vaccins, etc…), générés par la corruption de certains milieux et d’experts dits scientifiques. Il y a deux histoires : l’histoire officielle, menteuse… puis l’histoire secrète où sont les véritables causes des évènements, l’histoire honteuse » Erreur, approximations, mensonges délibérés, vérités partielles ou partiales, prédominance d’une seule pensée : peu de domaines aujourd’hui échappent à ces phénomènes » Le Pr J.

Fawkes News: JPMorgan réclame des régimes autoritaires en Europe Stefan Steinberg:"Dans un document publié à la fin du mois de mai, le géant des banques d’investissement américain JPMorgan Chase réclame l’abrogation des constitutions démocratiques bourgeoises établies après la Seconde Guerre mondiale dans une série de pays européens et la mise en place de régimes autoritaires. Le document de 16 pages a été réalisé par le groupe Europe Economic Research de JPMorgan et est intitulé « L’ajustement de la zone euro – bilan à mi-parcours. » Le document commence par faire remarquer que la crise de la zone euro a deux dimensions. Pour commencer, il affirme que des mesures financières sont nécessaires pour garantir que les principales institutions d’investissement comme JPMorgan puissent continuer à engranger d’énormes bénéfices de leurs activités spéculatives en Europe. 2) un effondrement du soutien à l’euro ou à l’UE Source: WSWS par Stefan Steinberg Via

Robert McNamara, artisan de la mise au pas des peuples (Version longue) Robert McNamara, qui vient de s’éteindre à l’âge de 93 ans, est peu connu du grand public. Pourtant, son action entre le début des années 1960 et celui des années 1980 a contribué à façonner l’économie mondiale d’aujourd’hui. Premier PDG de la multinationale automobile Ford à ne pas être membre de la famille Ford, McNamara ne le restera que cinq semaines avant de devenir secrétaire à la Défense des États-Unis sous la présidence de John F. En 1968, alors que la situation est devenue inextricable pour les États-Unis, McNamara est nommé président de la Banque mondiale BMBanque mondiale La Banque internationale pour la reconstruction et le développement (BIRD) a été créée en juillet 1944 à Bretton Woods (États-Unis), à l’initiative de 45 pays réunis pour la première Conférence monétaire et financière des Nations unies. Cliquer pour plus A qui ces prêts sont-ils accordés ? Les choix de la Banque mondiale sous McNamara sont largement déterminés par les critères suivants : 1.

L’Otan développe ses tentacules sur tous les océans du monde En avril 2006, l’OTAN participait aux manœuvres des USA dans les eaux des Antilles néerlandaises au large des côtes du Venezuela. Manœuvres pour intimider le gouvernement vénézuélien qui pratique une politique de souveraineté et qui soutient politiquement aussi l’indépendance des autres pays d’Amérique Latine. Les raisons officiellement invoquées : un grand plan de lutte anti-drogue tout le long des côtes atlantiques et des Caraïbes. L’Otan était présente, entre autres, par l’intermédiaire de navires militaires hollandais et belges. Le gouvernement hollandais se déclarait vigilant pour défendre ses territoires d’outremer, deux petites îles au large du Venezuela, qui auraient pu être revendiquées par le gouvernement de Chavez. Ces manœuvres ont mis en évidence une dimension géographique dont on ne se rend pas souvent compte. Dans l’Océan Antarctique, il y a l’île Bouvet (Norv.), les iles Kerguelen (France), les iles Sandwich et Sud-Georgia, l’archipel Tristan da Cunha (Grande-Bretagne).

Le loup oublié de Machiavel, par Jacques Derrida Dans la traduction Périès, Le Prince, de [Nicolas] Machiavel. comporte en son chapitre XVIII intitulé « Comment les princes doivent tenir leur parole » (...) une question on ne peut plus actuelle [qui concerne] non seulement le respect des armistices, des cessez-le-feu, des traités de paix, mais aussi, et au fond comme toujours, puisque c’est la structure même de tout contrat et de tout serment, le respect des engagements des souverains devant une institution ou un tiers qualifié, autorisé : par exemple le respect ou non des résolutions de l’Organisation des Nations unies (ONU) par les Etats-Unis ou Israël, tout ce qui concerne les résolutions mais aussi les engagements pris par l’ONU à l’égard du terrorisme dit international (concept jugé problématique par l’ONU elle-même) et les conséquences qu’elle en a tirées dans la situation actuelle, avec l’autorisation donnée aux Etats-Unis d’assurer leur légitime défense par tous moyens qu’ils jugent, seuls, appropriés. Vous êtes abonné(e) ?

Mondialisation.ca Retour russe, par Serge Halimi La question de la responsabilité du conflit dans le Caucase ne nous a pas tourmentés longtemps. Moins d’une semaine après l’attaque géorgienne, deux commentateurs français, spécialistes de tout, l’ont jugée « obsolète ». Un néoconservateur américain influent leur avait donné le la. Savoir qui a commencé « importe peu », trancha Robert Kagan car, « si Mikheïl Saakachvili n’était pas tombé dans le piège de Vladimir Poutine cette fois-ci, le conflit aurait été déclenché autrement (1) ». Une hypothèse en appelle une autre : si, le jour d’une cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques, l’initiative d’une opération armée avait été le fait d’un autre que le jeune polyglotte Saakachvili, diplômé de la Columbia Law School de New York, les gouvernements occidentaux et leurs médias eussent-ils contenu leur indignation devant un acte aussi lourdement symbolique ? Mais, lorsque les bons et les mauvais rôles sont connus d’avance, l’histoire est plus facile à suivre.

Pourquoi ne pas abolir l'OTAN, tout simplement ? [L'OTAN a pour objectif] "d’exclure les Russes, d’inclure les Américains et de tenir les Allemands sous la botte». Lord Ismay, premier secrétaire général de l'OTAN "Nous devons immédiatement convoquer une réunion du Conseil de l'Atlantique Nord pour évaluer la sécurité de la Géorgie et passer en revue les mesures que l'OTAN peut prendre pour contribuer à stabiliser cette situation très dangereuse." Sénateur John McCain, (8 août 2008) "Si nous avions travaillé de manière préventive avec la Russie, avec la Géorgie, en nous assurant que l'OTAN avait le genre de capacité, la présence et l'engagement idoines, nous aurions pu peut-être éviter ça" [L'invasion de l’Ossétie du sud par la Géorgie et la riposte russe subséquente ]. Tom Daschle, ancien chef de la majorité au Sénat et conseiller du sénateur Barack Obama, (17 août 2008) "De tous les ennemis des libertés publiques, la guerre est peut-être le plus redoutable parce qu'elle contient et développe le germe de tous les autres ennemis."

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