Impacts environnementaux et sociaux de l economie collaborative | Next & CoWorking Ce soir de 18h à 21h, l’équipe de OuiShare animera un Workshop sur les Impacts environnementaux et sociaux de l’économie collaborative. Les impacts environnementaux et sociaux des projets entrant dans le vaste champ de l’économie collaborative sont à la fois intuitivement très présents dans nos esprits, et précisément mal connus ou compris. Pour mieux les appréhender, l’objectif des 1ers ateliers du workshop sera d’en dresser une liste, non exhaustive, sur les impacts (positif ou négatif) d’un champ délimité de l’économie collaborative et d’établir des liens entre ces différents impacts. Pour définir les attentes de chacun, un nouveau tour de table permettra à tous d’exprimer la nature de son intérêt pour ce questionnement sur les impacts environnementaux et sociaux ainsi que les motivations de sa participation au workshop, et cela, dans le but de définir les suites possibles à ces discussions : Quelles pistes de travail ?
Le grand singe et les comportementalistes La semaine dernière, j’ai animé une table ronde sur l’économie comportementale dans le cadre des Journées de l’économie (Jeco), qui se tiennent à Lyon. Le thème est un peu abscons mais Marie-Claire Villeval (CNRS) a tout de suite détendu l’atmosphère en nous visionnant la célèbre vidéo de Daniel Simons. Une grande partie de l’assistance concentrée sur la proposition de base (calculer le nombre de passes avec le ballon de basket) n’a pas même vu ce qui crève les yeux. Les comportementalistes, adeptes de Daniel Kahneman ou Richard Thaler appellent cela un « biais ». Il y a aussi le « biais d’habitude ». Théorisé à partir de la fin des années 1970 dans les universités américaines, ces expériences comportementales montrent nos limites cognitives. On nage dans notre nuage nudge quand Paul Seabright, professeur à la Toulouse School of Economics nous ramène à la réalité.
Après son refus de payer sa dette, l’Islande fera le triple de la croissance de l’UE en 2012 23 janvier 2012 Posté par benji sous Argent et politique 12 commentaires Je ne cesserai jamais de répéter que l’Islande est LE pays à prendre en exemple,même s’il est complètement ignoré des médias, s’il est loin ou quelle qu’en soit la raison pour ne pas en parler, c’est le pays à suivre! Payer pour les banques? Même pas en rêve, là bas ils ont été emprisonnés! Sauver les banques? Elles ont été nationalisées. Islande a terminé l’année 2011 avec une croissance économique de 2,1% et selon les prévisions de la Commission européenne, elle va faire le triple du taux de croissance attendu pour l’UE en 2012 (La croissance de l’UE est prévue à 0,5% en 2012 contre 1,5% en Islande). Glitnir, Landsbankinn et Kaupthing furent les banques nationalisées en 2008 pour éviter leur faillite et qui furent placées sous contrôle démocratique, plutôt que de profiter d’injections inconditionnelles de capitaux publics, comme en Espagne ou dans les autres pays européens. * Journaliste.
Le supermarché collaboratif débarque à Paris Depuis 40 ans, des coopératives alimentaires se développent à New York et Londres. Un modèle transposable à Paris? C’est en tout cas l’opinion de Tom Boothe et Brian Horihan, les co-fondateurs de La Louve, la coopérative parisienne basée sur l’auto-gestion entre particuliers. Rencontre. Park Slope Food Coop (PSFC) est une coopérative alimentaire située dans le quartier Park Slope de Brooklyn à New York. Le magasin vend une variété d’aliments et d’articles ménagers respectueux de l’environnement (mais pas que: ils respectent également une éthique et un cahier des charges définit par les membres). D’où vient le projet de lancer ce type de coopérative à Paris et combien de temps avez-vous déjà passé sur ce projet? On a découvert la PSFC il y a 5 ans. Entrer dans le magasin a été comme aller dans un pays étranger, les gens n’attrapent pas les articles comme ils le feraient dans un supermarché classique. Cela fait quatre ans que nous avons débarqué à Paris. Envie de plus d’informations?
Du BOGOF au BOSO, le gentil pied de nez de l’économie du partage 32 Innovations qui va changer votre Demain - Feature Interactive Electric Clothes Physicists at Wake Forest University have developed a fabric that doubles as a spare outlet. When used to line your shirt — or even your pillowcase or office chair — it converts subtle differences in temperature across the span of the clothing (say, from your cuff to your armpit) into electricity. And because the different parts of your shirt can vary by about 10 degrees, you could power up your MP3 player just by sitting still. According to the fabric’s creator, David Carroll, a cellphone case lined with the material could boost the phone’s battery charge by 10 to 15 percent over eight hours, using the heat absorbed from your pants pocket. Chris Nosenzo The New Coffee Soon, coffee isn’t going to taste like coffee — at least not the dark, ashy roasts we drink today. Analytical Undies Your spandex can now subtly nag you to work out. The Morning Multitasker The problem with laptops and tablets, says Mark Rolston of the design firm Frog, is that they’re confined by a screen.
Carlos Cruz, le gangster devenu entrepreneur social Dans un monde idéal, Carlos Cruz regarderait ses enfants jouer dans son barrio* qu’il aime tant, au nord de la ville de Mexico. Il les amènerait naviguer sur un immense voilier, leur cuisinerait des petits plats, et leur apprendrait le tango, sa danse préférée. Mais à 39 ans, Carlos Cruz ne fait que caresser le rêve de devenir père un jour. Dans une autre vie, Carlos était un gangster. Chaque année, elle vient en aide à 3500 jeunes membres de gangs à travers des ateliers de sensibilisation à la violence, des cours sur la prévention de l’environnement, l’entrepreneuriat, la participation à la vie de la communauté. Plus nounours que voyou C’est l’organisation Ashoka qui nous présente Carlos. Nous le rencontrons dans nos locaux à Paris, au cours d'un passage en Europe. Carlos n’est pas avare de blagues et d'anecdotes, mais il ne perd jamais de vue son propos: la lutte contre la violence, la corruption, l’impunité. Gangster à 12 ans Mais Carlos n'a pas trop envie de s'étendre sur son passé.
Is Swapping the New Shopping for Canadians? It’s not often that a metropolitan city gets to experience Collaborative Consumption in the epicentre of its most famous intersection. Yet, for the last three years, Torontonians have been able to take part in a massive community swap at Yonge-Dundas Square—equivalent to New York’s Times Square—where they can “shop” without spending a dime. The swap meets are inspired by the vision of making barter accessible to Canadians and showing there is value beyond money. “A brilliant and fun idea that helps the planet and the wallets.” commented a participant as she left the Swap Zone. “Got enough new-to-me books to last me and my family for months – for free” tweeted another swapper. These highly popular events are organized by Toronto-based Swapsity.ca, a social enterprise that champions the swapping movement in Canada, both online and offline. The stats of these swapathons are impressive, to say the least. In the words of veteran swapper, Meka Jones, “It’s so empowering!
Posséder, c’est dépassé ! Principales tendances motrices La crise économique et écologique, qui devient également sociale et politique Les réseaux sociaux, qui aident à transformer la contrainte (et la rage contre le "système") en énergie positive, tournée vers la recherche de solutions à la fois personnelles et collectives Signes avant-coureurs Le développement de différentes formes de "consommation collaborative" : achats groupés, partage de ressources et de capacités, "consumer to consumer" (don, troc, location, revente de biens)… L’"économie de fonctionnalité" : faire payer un service (transport, chauffage, éducation, culture, soins, etc.) ou l’usage d’un bien plutôt que ce bien lui-même. Face à une crise qui dure, une économie de survie se développe : il faut dépenser moins et générer des revenus complémentaires. Les territoires sont les premiers à se mobiliser pour accompagner ce mouvement. Pour les entreprises aussi, posséder devient coûteux et complexe. Les politiques prennent le relais.