Les 15 dates qui ont fait le Web
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies afin de réaliser des statistiques d'audiences et vous proposer une navigation optimale, la possibilité de partager des contenus sur des réseaux sociaux ainsi que des services et offres adaptés à vos centres d'intérêts. Pour en savoir plus et paramétrer les cookies... Accueil Pour fêter dignement les 25 ans de l'invention bouleversante de Tim Berners-Lee, 01net vous propose un petit voyage dans le temps en 15 étapes clés dans l'histoire du Web. Bon anniversaire ! Nous fêtions aujourd'hui les 25 ans du World Wide Web, cette invention géniale de Tim Berners-Lee qui a transfiguré Internet, à tel point qu'il en est devenu pour certains un synonyme. 12 Mars 1989 // Première version du web « Vague, mais prometteur ». 20 décembre 1990 // Le premier site ! Le tout premier site et le tout premier serveur Web voient le jour sur l’ordinateur NeXT que Sendall a offert à TBL. 6 Aout 1991 // le Web s'ouvre à tous Tweeter
Histoire d'Internet
LA SECURITE ET LES SYSTEMES INFORMATIQUE
A) Les logiciels espions Deux hypothèses pourraient engager la responsabilité contractuelle de l'éditeur du logiciel : – Un dysfonctionnement du logiciel : Si le logiciel espion n'est pas fonctionnel, ou ne répond pas aux caractéristiques prévues par le contrat, alors comme pour tout logiciel, l'acquéreur pourra engager devant un tribunal civil la responsabilité contractuelle de l'éditeur. On pourrait s'interroger sur la possibilité pour l'acquéreur d'agir en responsabilité dans l'hypothèse d'un logiciel espion dont la légalité parait douteuse . – L'introduction d'un logiciel espion au sein d'un logiciel : Il s'agit ici de l'hypothèse où un utilisateur utilise un logiciel, dans lequel l'éditeur, a à son insu, intégré un logiciel espion. Les deux parties étant liées par un contrat, on peut envisager une action en responsabilité contractuelle. L'article 1134 du code civil dispose que les conventions " doivent être exécutées de bonne foi ". B) Les antivirus A) Les logiciels espions
ASCII TABLE & ASCII CODES : HEXADECIMAL TABLE, DECIMAL TABLE, OCTAL TABLE, BINARY TABLE, KEYBOARD CORRESPONDENCES, EXTENDED ASCII TABLE, ...
Le protocole TCP
Décembre 2015 Les caractéristiques du protocole TCP TCP (qui signifie Transmission Control Protocol, soit en français: Protocole de Contrôle de Transmission) est un des principaux protocoles de la couche transport du modèle TCP/IP. Il permet, au niveau des applications, de gérer les données en provenance (ou à destination) de la couche inférieure du modèle (c'est-à-dire le protocole IP). Lorsque les données sont fournies au protocole IP, celui-ci les encapsule dans des datagrammes IP, en fixant le champ protocole à 6 (Pour savoir que le protocole en amont est TCP...). TCP est un protocole orienté connexion, c'est-à-dire qu'il permet à deux machines qui communiquent de contrôler l'état de la transmission. Le but de TCP Grâce au protocole TCP, les applications peuvent communiquer de façon sûre (grâce au système d'accusés de réception du protocole TCP), indépendamment des couches inférieures. La fonction de multiplexage Le format des données sous TCP Un segment TCP est constitué comme suit :
Tutoriel Wireshark (ex Ethereal)
Il y a quelques mois, le logiciel open-source Ethereal est devenu Wireshark. Derrière ces deux noms se cache un même logiciel graphique de capture et d'analyse réseau qui est la solution idéale si l'interface textuelle de tcpdump vous donnes des boutons. Nous allons, dans ce tutoriel, apprendre à se servir des fonctions de base de ce logiciel. Installation Wirshark est disponible sur un nombre très important d'operating system. Description de la fenêtre principale Première capture Pour effectuer une capture, il faut aller dans le menu Capture / Interface (ou cliquer sur le bouton correspondant). Une nouvelle fenêtre comportant la liste des interfaces réseaux disponibles va apparaitre. Si vous souhaitez configurer certaines options de la capture, il faut Options. Pour démarrer la capture il suffit de presser le bouton Start. Wireshark va alors capturer les paquets correspondant à votre filtre (s'il existe) jusqu'à ce que le bouton Stop soit pressé. Analyse de la capture
La boite à outils du veilleur 2.0
ANSI
Notions informatique Cyrille Dufresnes
La conquête du world wide web
Robert Cailliau, informaticien et cofondateur du World Wide Web, et James Gillies, Chef du service Communication du CERN Rêvé par Paul Otlet en 1934, imaginé par Vannevar Bush en 1945 et préfiguré dans le laboratoire de Sam Fedida en 1973, le world wide web, littéralement « toile d’araignée mondiale », a concrètement vu le jour dans le bureau de Tim Berners-Lee au CERN en 1989. Toute idée ayant de telles origines ne pouvait qu’être magistrale, et le web l’est incontestablement. L’atout de Sam Fedida était de disposer de trente années d’innovation technologique sur lesquelles s’appuyer afin de développer le système Viewdata au Centre de recherche de Martlesham Heath du British General Post Office. En 1989, Tim Berners-Lee, au CERN, avait, lui aussi, tiré profit d’une autre innovation technique : la micro-informatique. Les réseaux informatiques, apparus simultanément aux États-Unis et au RoyaumeUni, avaient donné naissance à l’Internet. Références Voir aussi www.oecd.org/fr/internet/
Internet ultra haut débit : la Corée du Sud passe déjà au 1 Gbps
La Corée du Sud, probablement le pays le plus geek du monde (devant le Japon), est aussi l’un des mieux armés sur le globe en matière d’infrastructure Internet. Et à l’heure où la fibre optique (à 100 Mbps) a encore du mal à éclore en France, voilà que le pays du matin calme teste dans 1500 foyers des lignes ultra haut débit, à 1 Gbps. Il s’agirait, pour des particuliers en tout cas, des lignes les plus rapides au monde, ni plus ni moins. Le but est de relier à terme la plupart des foyers sud-coréens à ce type de ligne d’ici fin 2012. Cette concentration permet d’équiper rapidement et sans grands frais la population. Pour rappel, seul le Japon compte plus de lignes FTTH/FTTB (100 Mbps) que la Corée. En matière de débit moyen, la Corée du Sud est par contre le n°1 incontesté, avec (il y a un an) une moyenne de 14,6 Mbps, très loin devant le Japon (7,9 Mbps), Hong-Kong (7,6 Mbps) ou encore la Suède (5,7 Mbps). Nil Sanyas
Télécoms : pourquoi le chinois Huawei veut grandir dans les câbles sous-marins
Dans le monde des nouvelles technologies, l'équipementier chinois Huawei est sans conteste l'un des acteurs les plus agressifs du moment. Sur son métier traditionnel, la fourniture d'équipements aux opérateurs télécoms, il tient désormais la dragée haute aux vieux champions européens Nokia ou Ericsson, en difficulté et peinant tous deux à retrouver leur lustre d'antan. Depuis trois ans, le géant chinois aux 170.000 collaborateurs dans le monde s'est lancé dans les smartphones en marque propre. Sur ce segment, encore chasse gardée des Apple et Samsung, il affiche aujourd'hui une croissance insolente, et ambitionne de devenir à moyen terme une référence mondiale. Près de 300 câbles actifs dans le monde Sur ce créneau, Huawei est entré dans la cour des grands en 2008, avec la création d'une joint-venture avec la société britannique Global Marine Systems. Lire aussi : Télécoms : les câbles sous-marins se multiplient entre les continents 2% de part de marché Boycott des Etats-Unis