philosophie du cinéma Will Kymlicka Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Kymlicka. Travaux[modifier | modifier le code] La principale thèse de Kymlicka est d'apporter un cadre libéral à la revendication pour un juste traitement des groupes minoritaires. Ces groupes se divisent pour lui en deux catégories : les groupes pluriethniques ou immigrants, et les minorités nationales, dont le premier exemple est, pour lui, le Québec, au Canada même. elles sont présentes dès la fondation de l'État-nation ;elles ont déjà eu une autonomie ;elles ont une culture commune ;elles ont une langue commune ;elles ont des institutions propres. Ainsi selon ces critères il existe au Canada deux minorités nationales : les Québécois et les Amérindiens. En revanche et à l'inverse, les groupes multiethniques ne sont pas dans la même situation. Dans son ouvrage Multicultural Citizenship en 1995, Kymlicka développe son idée. un droit à la représentation. Publications[modifier | modifier le code]
Liste des écoles philosophiques Page(s) en rapport avec ce sujet : ÉCOLE PHILOSOPHIQUE D ALEXANDRIE. Bien des Anciens qui ont fait carrière... Or, si on consulte la liste des plus anciens «pensionnaires» de cette fo.... Cet article liste les écoles de philosophie et courants de pensée rattachant les philosophes. Doctrines générales Écoles philosophiques Les écoles de l'Antiquité Les écoles médiévales Les écoles modernes Écoles de philosophie religieuse Voir aussi Liste des philosophes par année de naissance Ce texte est issu de l'encyclopédie Wikipedia. Narratologie Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La narratologie (science de la narration) est la discipline qui étudie les techniques et les structures narratives mises en œuvre dans les textes littéraires (ou d'autres formes de récit). Histoire de la narratologie[modifier | modifier le code] Les premiers travaux en narratologie des études littéraires modernes proviennent du formalisme russe et tout particulièrement des travaux de Victor Chklovski et de Boris Eichenbaum. L'étude systématique de la morphologie des contes russes par Vladimir Propp connait une bonne diffusion en France, parallèlement aux travaux (en particulier le schéma actanciel) d'Algirdas Julien Greimas. En Allemagne la narratologie s'est développée sous l'impulsion de Franz Karl Stanzel et de Käte Hamburger. Comme la sémiologie, la narratologie s'est développée en France à la fin des années 1960, grâce aux acquis du structuralisme. Le personnage[modifier | modifier le code] Le modèle sémiotique[modifier | modifier le code]
Yuk Hui Hong Kong philosopher Yuk Hui is a Hong Kong philosopher and university professor. He is known for his writings on philosophy and technology. Hui has been described as one of the most interesting contemporary philosophers of technology.[1][2] Education[edit] Hui studied Computer Engineering at the University of Hong Kong, wrote his doctoral thesis under the French philosopher Bernard Stiegler at Goldsmiths College in London and obtained his Habilitation in philosophy of technology from Leuphana University in Germany.[3] Career[edit] Hui has taught at the Leuphana University, Bauhaus University, and has been a visiting professor at the China Academy of Art. Influence and concepts[edit] Hui works on the intersection between technology and philosophy. Bibliography[edit] Monographs[edit] Anthologies[edit] Edited volumes[edit] See also[edit] References[edit]
Dialectique Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La dialectique (appelée aussi méthode ou art dialectique) est une méthode de discussion, de raisonnement, de questionnement et d'interprétation qui occupe depuis l'Antiquité une place importante dans les philosophies occidentales et orientales. Le mot « dialectique » trouve son origine dans le monde grec antique (le mot vient du grec dialegesthai : « converser », et dialegein : « trier, distinguer », legein signifiant « parler »). Elle aurait été inventée par le penseur présocratique Zénon d'Élée[1], mais c'est surtout son emploi systématique dans les dialogues de Platon qui a popularisé l'usage du terme. La dialectique s'enracine dans la pratique ordinaire du dialogue entre deux interlocuteurs ayant des idées différentes et cherchant à se convaincre mutuellement. Histoire[modifier | modifier le code] La dialectique dans l'Antiquité[modifier | modifier le code] Chez les présocratiques[modifier | modifier le code]
Lumière, Méliès et Porter On perçoit souvent comme mythique cette période du cinéma des premiers temps - période plus ou moins correctement attribuée au cinéma d'avant 1915 - où l'invention et l'expérimentation des formes et des techniques étaient à leur plus haut degré d'effervescence. Cinéma primitif, balbutiements du langage cinématographique moderne, «drôlerie» ou simple objet de curiosité sans fondement intellectuel: les qualificatifs à son endroit abondent et, plus que jamais, la lecture du film dépend de son institution. Définissons d'abord nos termes et décrivons «l'institution» comme une sorte de pouvoir normatif ou de réseau symbolique structurant un faisceau de déterminations. De cette constatation, appliquée au film, naît une toute nouvelle façon d'aborder le cinéma par la «sémio-pragmatique», telle que définie par Roger Odin. LE VOYAGE DANS LA LUNE, Mélies 1.Cadrage et mouvement Nous pouvons alors faire ressortir deux tendances du cinéma des premiers temps. 2.Le montage 3.La narration excellence.
Counter-Enlightenment The Counter-Enlightenment was a term that some 20th-century commentators have used to describe multiple strains of thought that arose in the late-18th and early-19th centuries in opposition to the 18th-century Enlightenment. The term is usually associated with Isaiah Berlin, who is often credited with coining it, though there are several earlier uses of the term,[1] including one by German philosopher Friedrich Nietzsche, who wrote of Gegenaufklärung at the end of the 19th century. The first known use of the term in English was in 1908, but Berlin may have re-invented it. Berlin published widely about the Enlightenment and its enemies and did much to popularise the concept of a Counter-Enlightenment movement that he characterised as relativist, anti-rationalist, vitalist, and organic,[2] and which he associated most closely with German Romanticism. Counter-Enlightenment movement vs Enlightenment thinkers[edit] Counter-Enlightenment and Counter-Revolution[edit] See also[edit] Notes[edit]
Démonologie Le mot « démonologie » provient du grec δαίμων (daimōn), « divinité », « pouvoir divin », « Dieu »[1] et de -λογία (-logia), « la science », « l'étude ». Jusqu'à la fin du XIIIe siècle, peu d'intérêt était porté aux démons[réf. nécessaire]. Le Traité sur le mal de Thomas d'Aquin en 1272 rappelle que le diable est un hérétique, et que la sorcellerie un crime d'hérésie. Définition[modifier | modifier le code] Les objectifs de la démonologie sont d'opérer une classification hiérarchique des démons, de connaître leurs histoires et de comprendre leur façon d'opérer. Satan, Léviathan[3], Bélial et Lucifer sont quatre êtres différents. D'après Richelmus de Schental, abbé cistercien de Wurtemberg au XIIIe siècle, les démons se comptent par centaines de milliards. Développements[modifier | modifier le code] Michel Psellos est considéré comme une source incontournable de la démonologie par les théologiens de la Renaissance, une époque où le diable revient au centre des débats philosophiques.
Structuralisme Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le structuralisme est un courant des sciences humaines qui s'inspire du modèle linguistique et appréhende la réalité sociale comme un ensemble formel de relations. L'une de ses méthodes principales est l'analyse structurelle des textes littéraires. Origine[modifier | modifier le code] Le structuralisme trouve son origine dans le Cours de linguistique générale de Ferdinand de Saussure (1916), qui propose d'appréhender toute langue comme un système dans lequel chacun des éléments n'est définissable que par les relations d'équivalence ou d'opposition qu'il entretient avec les autres, cet ensemble de relations formant la « structure ». Néanmoins, le Cours de linguistique générale ne fait aucunement mention du mot « structure » lui-même. Définitions premières[modifier | modifier le code] Définition de la structure[modifier | modifier le code] Une structure est « une entité de dépendances internes » (Hjelmslev[2]). Théorie[modifier | modifier le code]
Romantic epistemology - Wikipedia Romantic epistemology emerged from the Romantic challenge to both the static, materialist views of the Enlightenment (Hobbes) and the contrary idealist stream (Hume) when it came to studying life. Romanticism needed to develop a new theory of knowledge that went beyond the method of inertial science, derived from the study of inert nature (natura naturata), to encompass vital nature (natura naturans). Samuel Taylor Coleridge was at the core of the development of the new approach, both in terms of art and the 'science of knowledge' itself (epistemology). Coleridge's ideas regarding the philosophy of science involved Romantic science in general, but Romantic medicine in particular, as it was essentially a philosophy of the science(s) of life. What is Life? Were such a question proposed, we should be tempted to answer, what is not Life that really is? Background[edit] The idealist position was challenged by the Common Sense Philosophy of Thomas Reid. Role of imagination[edit] Method[edit]
Utopie L’utopie (mot forgé par l'écrivain anglais Thomas More, titre de son livre L'Utopie, du grec οὐ-τόπος / ou-tópos, « en aucun lieu ») est une représentation d'une société idéale, opposée aux sociétés réelles imparfaites. C'est un genre d'apologue qui se traduit, dans les écrits, par un régime politique idéal (qui gouvernerait parfaitement les hommes), une société parfaite (sans injustice par exemple, comme la Callipolis de Platon ou alors la découverte de l'Eldorado dans Candide) ou encore une communauté d'individus vivant heureux et en harmonie (l'abbaye de Thélème dans Gargantua de Rabelais en 1534), souvent écrites pour dénoncer les injustices et dérives de leurs temps. Une utopie peut désigner également une réalité difficilement admissible : en ce sens, qualifier quelque chose d'utopique consiste à le disqualifier et à le considérer comme irrationnel. Ce terme est composé de la préposition négative grecque ou et du mot topos qui signifie « lieu ». Le dernier Espoir, C'est la Fuite. »
Study Abroad - Cannes, France - Course Descriptions - French Cinema Simplifying Study Abroad Prospective Students Admitted Students and Alumni Advisors Home Courses About Us Enroll Now Contact Us Browse Our Programs Study Abroad Home > Study Abroad in Cannes > Course Descriptions > French Cinema Cannes, France - Course Descriptions - French Cinema Course Information Subject: Film Studies (FMS), French (FRE) Number: 200/300 Level Language of Instruction: French Contact Hours and Credits Semester Session: 42 contact hours, 3 semester credits, 4 quarter credits Quarter Session: 42 contact hours, 3 semester credits, 4 quarter credits Availability The specific availability for this course is not currently known. Full Description Students meet 3.5 hours/week. Students must place into Intermediate French (Level 210) in order to enroll in French Cinema. Objectives To expose the evolution of the French cinema by the projection and the discussion of some of the most important films in the hostiry of French cinema from the beginning of the 20th century through today. Detailed Program
Naturphilosophie La Naturphilosophie (/naˈtuːɐ̯filozoˌfi/ː[1] Écouter, litt. « philosophie de la nature ») désigne un courant de pensée, essentiellement allemand. « Le concept germanique de Naturphilosophie, expression privilégiée du romantisme allemand, n'a pas d'équivalent linguistique en français ou en anglais »[2]. La traduction littérale en français par l'expression « philosophie de la nature » peut être trompeuse, car il a existé une philosophie naturelle bien avant que n'apparaisse ce mouvement. Il donc est préférable de conserver son appellation Naturphilosophie non traduite[3]. « La Révolution française et la Doctrine de la Science de Fichte, ces événements que Friedrich Schlegel associait, provoquaient en Allemagne au tournant du XIXe siècle, chez les penseurs et les étudiants un soulèvement des esprits, un tumulte confus d'idées et de rêves » écrit Xavier Tillette[6]. Pour Schelling et ses disciples, la Naturphilosophie n'est au début « qu'une simple généralisation de la physique.