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Psychologie de l'apprentissage

Psychologie de l'apprentissage
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La ou les psychologies de l'apprentissage[modifier | modifier le code] À la différence de la psychologie de l'éducation qui s'intéresse essentiellement aux enfants et aux jeunes ( - de 16 ans) en activité scolaire, la psychologie de l'apprentissage s'adresse autant aux enfants qu'aux adultes et ne cible ni un public ni une activité d'apprentissage en particulier. D'autres types de psychologie proches de la psychologie de l'éducation reste en lien avec la psychologie de l'apprentissage comme la psychologie scolaire (liée entre autres à la prévention de l'échec scolaire) ou la psychologie de l'orientation (liée à l'adéquation entre le profil d'une personne et le métier ou la profession à exercer). La psychologie de l'apprentissage ou les psychologies de l’apprentissage en fonction des auteurs intègrent les psychologies suivantes[1] : la psychologie behavioriste ou comportementaliste ; elle est basée sur les comportements observables. O. 1.

Apprentissage collaboratif Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Dans le domaine de l'apprentissage et de la gestion communautaire des savoirs, la collaboration peut reposer sur un but commun, chaque membre réalisant une part de la tâche globale, en puisant dans les ressources de l'environnement (mémoire organisationnelle), dans ses ressources propres (compétence individuelle) et dans celles du groupe : on parle alors de communauté de pratique voire de communauté d'apprentissage et d'apprentissage collaboratif. Les TICE (Technologies de l'Information et de la Communication pour l'Éducation) et l'apparition de plates-formes virtuelles d'apprentissage collaboratif (Claroline...), ainsi que de nouveaux outils (logiciel Wiki par exemple) ou de produits (dont Wikipédia) permettent aujourd'hui d'intégrer des interactions interpersonnelles et de produire un nouveau mode de travail, basé sur un esprit de communauté (parfois dite « virtuelle ») dans un esprit collaboratif. Intérêt[modifier | modifier le code]

Learning management system Cet article contient une ou plusieurs listes (novembre 2017). Ces listes gagneraient à être rédigées sous la forme de paragraphes synthétiques, plus agréables à la lecture, les listes pouvant être aussi introduites par une partie rédigée et sourcée, de façon à bien resituer les différents items.D'autre part, Wikipédia n'a pas pour rôle de constituer une base de données et privilégie un contenu encyclopédique plutôt que la recherche de l'exhaustivité. En technologies de l'information et de la communication, un learning management system (LMS) ou learning support system (LSS) est un logiciel qui accompagne et gère un processus d'apprentissage ou un parcours pédagogique. En français, on parle de « plateforme d'apprentissage », « système de gestion de l'apprentissage », « centre de formation virtuel », « plate-forme e-learning » et, particulièrement au Québec, d'« environnement numérique d'apprentissage » (ENA)[1],[2]. Un dispositif de formation en ligne a les composantes suivantes : Le LMS :

Formation en ligne Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La formation en ligne est une des technologies de l'information et de la communication pour l'éducation (TICE), intégrée dans la cyberculture[2]. C'est aussi un des éléments et enjeux de ce que certains, comme M. Depuis les années 1990/2000, les enfants - souvent réunis en une même classe d'âge, à l'école notamment - forment l'une des communautés apprenantes utilisant l'internet pour apprendre (ici, dans l'espace multimédia de l'Alliance Française de Moldavie Le Conseil de l'Europe encourage[6] à mutualiser les installations et salles informatiques des écoles, cybercentres, cyberplateformes, cybercafés, etc., qui peuvent aussi bénéficier d'outils partagés ou « libres » de formation en ligne En présentiel, ou éventuellement à distance, le vidéoprojecteur et/ou le tableau numérique permettent au formateur d'interagir avec le groupe Diagramme coût-efficacité. Terminologie[modifier | modifier le code] En Europe[modifier | modifier le code]

Apprenti Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le terme est également parfois utilisé pour désigner un novice, un débutant. Historique[modifier | modifier le code] Le système de formation a tout d'abord été développé durant la fin du Moyen Âge et a, au fur et à mesure, été supervisé par les autorités municipales et communautaires. Un maître artisan avait le droit d'employer de jeunes gens comme de la main-d'œuvre à bas prix et devait en échange les initier officiellement à son métier. La plupart des apprentis étaient des hommes, mais il existait aussi des femmes apprenties dans nombre de métiers en relation avec la broderie, le tissage de la soie, etc. Face au vide juridique et en s'appuyant sur le travail jurisprudentiel, la loi du 22 février 1851 sur le contrat d’apprentissage rendra celui-ci obligatoire mais n'obligera pas son écrit. L'institutionnalisation de la forme moderne de l'apprentissage n'interviendra qu'à la sortie de la Première Guerre mondiale[1],[2],[3]

Connaissance Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La connaissance est une notion aux sens multiples à la fois utilisée dans le langage courant et objet d'étude poussée de la part des philosophes contemporains. Les connaissances, leur nature et leur variété, la façon dont elles sont acquises, leur processus d'acquisition, leur valeur, et leur rôle dans les sociétés humaines, sont étudiés par une diversité de disciplines, notamment la philosophie, l'épistémologie, la psychologie, les sciences cognitives, l'anthropologie et la sociologie. La notion de connaissance[modifier | modifier le code] La science en général est un ensemble de méthodes systématiques pour acquérir des connaissances. En anthropologie[modifier | modifier le code] Pour l'anthropologue, la première connaissance est celle que les hommes ont d'eux-mêmes et de leur environnement, et qui, dans les sociétés primitives, assure leur survie quotidienne. En philosophie[modifier | modifier le code] En économie[modifier | modifier le code]

Connaissance technique Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Devise du Musée de l'Homme à Paris - au Palais de Chaillot - qui conserve des merveilles artisanales et industrielles. "Dans ces murs voués aux merveillesJ'accueille et garde les ouvragesDe la main prodigieuse de l'artisteÉgale et rivale de sa pensée.L'une n'est rien sans l'autre." La connaissance technique est l’ensemble des moyens mis en œuvre pour conduire à son terme un projet technique. Notre époque, résolument technicienne, néglige souvent les techniques non strictement scientifiques qui utilisent des connaissances et savoirs à caractère empirique ou expérimental. Pourtant l’histoire nous enseigne que la pratique professionnelle quotidienne, de l'artisan et de l'artiste comme de l'ouvrier ou de l'ingénieur, est souvent source de créativité et d'innovation. Cet article développe donc, dans une perspective historique, les modalités de la connaissance technique : origine et émergence,transmission,principes de formalisation,

Jean Piaget Jean Piaget en 1967-1968. Jean Piaget, né le 9 août 1896 à Neuchâtel et mort le 16 septembre 1980 à Genève, est un biologiste, psychologue, logicien et épistémologue suisse connu pour ses travaux en psychologie du développement et en épistémologie à travers ce qu'il a appelé l'épistémologie génétique (ou structuralisme génétique). Ses travaux apportent un éclairage sur l'« intelligence », comprise comme une forme spécifique de l'adaptation du vivant à son milieu, sur les stades d'évolution de celle-ci chez l'enfant et sa théorie de l'apprentissage. Biographie[modifier | modifier le code] Jean Piaget est le fils aîné d'Arthur Édouard Piaget (1865-1952), professeur de littérature médiévale, et de la française Rebecca Susanne Jackson (1872-1942)[2], fille de William Fritz Jackson (petit-fils de James Jackson). À l'âge de onze ans, Jean Piaget, élève au collège latin de Neuchâtel, écrit un court commentaire sur un moineau albinos[3] aperçu dans un parc. Les notions de périodes impliquent que :

Compagnonnage Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le terme compagnonnage désigne principalement une branche du mouvement ouvrier français, célèbre pour son Tour de France, qui connut l'apogée de sa renommée avec Agricol Perdiguier au milieu du XIXe siècle avant de disparaître presque entièrement à la suite de l'industrialisation, de la transformation de l'apprentissage et de l'autorisation des syndicats ouvriers[1]. Il a cependant échappé à l'extinction au début du XXe siècle[2] avant de connaître une période de renouveau. Le compagnonnage a également été pratiqué plus marginalement en Belgique, et sous une forme un peu différente au Canada et en Allemagne. Mais il ne s'est jamais implanté en Grande-Bretagne, dans laquelle une autre forme d'organisation, les « sociétés amicales » ont succédé aux confréries et corporations du Moyen Âge. Histoire du compagnonnage[modifier | modifier le code] Origines légendaires[modifier | modifier le code] Origines historiques[modifier | modifier le code]

Pédagogie Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La pédagogie (du grec παιδαγωγία, direction ou éducation des enfants[1]) désigne l'art de l'éducation. Le terme rassemble les méthodes et pratiques d'enseignement et d'éducation ainsi que toutes les qualités requises pour transmettre une connaissance, un savoir ou un savoir-faire. Plus généralement, l'expression « Faire preuve de pédagogie » signifie l'aptitude à enseigner et à transmettre à un individu ou un groupe d'individus — de tous âges et de toutes conditions — un savoir ou une expérience par l'usage des méthodes les plus adaptées à l'audience concernée. Définitions[modifier | modifier le code] Le mot « pédagogie » dérive du grec παιδαγωγία, de παιδός (/'paɪdɔr/), « l'enfant », et ἄγω (/'a.gɔ/), « conduire, mener, accompagner, élever ». Émile Durkheim : la pédagogie est une "réflexion appliquée aussi méthodiquement que possible aux choses de l'éducation" (L'évolution pédagogique en France, Paris, PUF, 1938, p. 10).

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