Internet Protocol Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir IP. Internet Protocol (abrégé en IP) est une famille de protocoles de communication de réseau informatique conçus pour être utilisés par Internet. Les protocoles IP sont au niveau 3 dans le modèle OSI. Fonctionnement[modifier | modifier le code] Lorsque deux terminaux communiquent entre eux via ce protocole, aucun chemin pour le transfert des données n'est établi à l'avance : il est dit que le protocole est « non orienté connexion ». Services délivrés[modifier | modifier le code] Les protocoles IP assurent l'acheminement au mieux (best-effort delivery) des paquets. Fiabilité[modifier | modifier le code] corruption de données ;ordre d'arrivée des paquets (un paquet A peut être envoyé avant un paquet B, mais le paquet B peut arriver avant le paquet A) ;perte ou destruction de paquet ;duplication des paquets. Les garanties qu'un protocole IP n'offre pas sont déléguées aux protocoles de niveau supérieur.
Documentation sur DNS. 1 – Introduction au protocole DNS Dans le monde de l’Internet, les machines du réseau sont identifiées par des adresses Ip. Néanmoins, ces adresses ne sont pas très agréables à manipuler, c’est pourquoi, on utilise les noms. L’objectif a alors été de permettre la résolution des noms de domaines qui consiste à assurer la conversion entre les noms d’hôtes et les adresses IP. La solution actuelle est l’utilisation des DNS (Domain Name System) ce que nous allons vous présenter dans ce document. Le travail présenté ici s’appuie particulièrement sur la RFC 1034 et la RFC 1035. Vous pouvez regarder une très bonne vidéo en ligne relatant de manière pédagogique le fonctionnement de DNS. 2 – Historique du protocole DNS Jusqu’en 1984, sur la suite des protocoles TCPIP, la transcription de noms d’hôtes en adresses Internet s’appuyait sur une table de correspondance maintenue par le Network Information Center (NIC), et ce dans un fichier .txt, lequel était transmis par FTP à tous les hôtes. 3.2.1 – Id
OpenDNS Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Logo OpenDNS est un service gratuit de redirection DNS. Il se consulte via deux serveurs DNS récursifs accessibles sous les IP anycast suivantes : IPv4 : 208.67.222.222 ; 208.67.220.220[1] ; 208.67.222.220 et 208.67.220.222[2]IPv6 (Sandbox) : 2620:0:ccc::2 et 2620:0:ccd::2[3] Le service permet les corrections automatiques des noms de domaines saisis par l'utilisateur ainsi qu'un service de blocage de certaines catégories de noms de domaines. Histoire[modifier | modifier le code] David Ulevitch est le créateur du site, lancé en juillet 2006. Particularités[modifier | modifier le code] Ce service est gratuit, accessible partout dans le monde. L'utilisateur peut également créer un compte, ce qui permettra ensuite de gérer le blocage de sites classés dans diverses catégories, mais aussi de créer une liste noire/blanche et consulter des statistiques d'activité Confidentialité[modifier | modifier le code] Notes et références[modifier | modifier le code]
Dynamic Host Configuration Protocol Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Dynamic. Dynamic Host Configuration Protocol (DHCP) est un protocole réseau dont le rôle est d’assurer la configuration automatique des paramètres IP d’une station, notamment en lui affectant automatiquement une adresse IP et un masque de sous-réseau. DHCP peut aussi configurer l’adresse de la passerelle par défaut, des serveurs de noms DNS et des serveurs de noms NBNS (connus sous le nom de serveurs WINS sur les réseaux de la société Microsoft). La conception initiale d’IP supposait la préconfiguration de chaque ordinateur connecté au réseau avec les paramètres TCP/IP adéquats : c’est l’adressage statique (nommée également IP fixe). Sur des réseaux de grandes dimensions ou étendues, où des modifications interviennent souvent, l’adressage statique engendre une lourde charge de maintenance et des risques d’erreurs. DHCP apporte une solution à ces deux inconvénients : Fonctionnement[modifier | modifier le code]
Options de la ligne de commande DiskPart Crée une partition principale sur le disque de base actuel. Une fois la partition créée, le focus se déplace automatiquement sur la nouvelle partition. La partition ne reçoit pas de lettre de lecteur ; vous devez utiliser la commande assign pour affecter une lettre de lecteur à la partition. size= n Spécifie la taille de la partition en méga-octets (Mo). offset= n Spécifie le décalage d'octet auquel créer la partition. ID={byte|GUID} Destiné uniquement aux fabricants d'ordinateurs OEM. align= n Paramètre utilisé habituellement avec des groupes LUN (Logical Unit Number) RAID pour améliorer les performances du matériel lorsque les unités logiques ne sont pas alignées aux cylindres. noerr Pour la création de script uniquement. Commentaires Pour partitionner un disque GPT avec une partition OEM, générez un OEM-GUID : Utilisez la commande suivante pour créer une partition EFI : create partition efi size= n Utilisez la commande suivante pour créer une partition principale : create partition MSR size= n
PHP PHP: Hypertext Preprocessor [52], plus connu sous son sigle PHP a permis de créer un grand nombre de sites web célèbres, comme Facebook et Wikipédia[54]. Il est considéré comme une des bases de la création de sites web dits dynamiques mais également des applications web. Présentation[modifier | modifier le code] Il a été conçu pour permettre la création d'applications dynamiques, le plus souvent développées pour le Web. Son utilisation commence avec le traitement des formulaires puis par l'accès aux bases de données. Il est multi-plateforme : autant sur Linux qu'avec Windows il permet aisément de reconduire le même code sur un environnement à peu près semblable (quoiqu'il faille prendre en compte les règles d'arborescences de répertoires, qui peuvent changer). Libre, gratuit, simple d'utilisation et d'installation, ce langage nécessite néanmoins une connaissance aiguë des problèmes de sécurité qui lui sont liés. Histoire[modifier | modifier le code] Utilisation[modifier | modifier le code] <?
ExpertIT - Vulgarisation de Configuration de Serveur Qu’est ce qu’une base de données bien construite ? Une base de données bien construite et une base de données qui comporte des tables bien étudiées par rapport aux interrogations qu’elle va subir ainsi que des index bien placés. Mais pas seulement. Pour qu’une base de données soit performante, il faut aussi que chaque champ (un champ étant une colonne du tableau) soit correctement choisi par rapport aux données qu’il va contenir. Au moment de la création d’une table, on doit définir chaque champ : son type (numérique, textuel …), sa longueur potentiel et d’autres paramètres. Une possibilité souvent oubliée est d’utiliser des champs de type set ou enum. Imaginons que dans la base de données d’artistes que nous avons élaborée plus haut nous souhaitions indiquer le jour de repos de chaque artiste. Une base de données est également bien construite quand les tables qui la composent sont d’un format bien choisi.
Stratégies de groupe Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les stratégies de groupe (ou GPO pour Group Policy Object ) sont des fonctions de gestion centralisée de la famille Microsoft Windows . Elles permettent la gestion des ordinateurs et des utilisateurs dans un environnement Active Directory . Les stratégies de groupe font partie de la famille des technologies IntelliMirror, qui incluent la gestion des ordinateurs déconnectés, la gestion des utilisateurs itinérants ou la gestion de la redirection des dossiers ainsi que la gestion des fichiers en mode déconnecté. Bien que les stratégies de groupe soient régulièrement utilisées dans les entreprises, elles sont également utilisées dans les écoles ou dans les petites organisations pour restreindre les actions et les risques potentiels comme le verrouillage du panneau de configuration, la restriction de l’accès à certains dossiers, la désactivation de l’utilisation de certains exécutables, etc. Présentation [ modifier ] Quelques commandes [ modifier ]
Framework .NET Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le .NET Framework[1] est un framework pouvant être utilisé par un système d'exploitation Microsoft Windows et Microsoft Windows Mobile depuis la version 5 (.NET Compact Framework). Une version légère et limitée fournie avec un moteur d'exécution fonctionnant à l'intérieur d'un navigateur ou d'un périphérique mobile est disponible sous le nom de Silverlight. La version 3.0 du framework est intégrée à Windows Vista et à la plupart des versions de Windows Server 2008 ou téléchargeable depuis le site de l'éditeur Microsoft. Le framework .NET s'appuie sur la norme Common Language Infrastructure (CLI) qui est indépendante du langage de programmation utilisé. Il a pour but de faciliter la tâche des développeurs en proposant une approche unifiée à la conception d'applications Windows ou Web, tout en introduisant des facilités pour le développement, le déploiement et la maintenance d'applications. Elle est composée des deux principaux blocs :
Internet Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Internautes par millier d'habitants dans le monde en 2009. Visualisation des multiples chemins à travers une portion d'Internet. Internet est le réseau informatique mondial accessible au public. Internet ayant été popularisé par l'apparition du World Wide Web (WWW), les deux sont parfois confondus par le public non averti. L'accès à Internet peut être obtenu grâce à un fournisseur d'accès à Internet via divers moyens de communication électronique : soit filaire (réseau téléphonique commuté (bas débit), ADSL, fibre optique jusqu'au domicile), soit sans fil (WiMAX, par satellite, 3G+). Terminologie[modifier | modifier le code] Le terme d'origine américaine « Internet » est dérivé du concept d'internetting (en français : « interconnecter des réseaux ») dont la première utilisation documentée remonte à octobre 1972 par Robert E. Les origines exactes du terme Internet restent à déterminer. Historique[modifier | modifier le code] Notes Références
Comprendre l'ordinateur - C'est quoi SSL, SSH, HTTPS ? Ça sert à quoi SSL ? SSL = Secure Socket Layer C'est un système qui permet d'échanger des informations entre 2 ordinateurs de façon sûre. SSL assure 3 choses: Confidentialité: Il est impossible d'espionner les informations échangées.Intégrité: Il est impossible de truquer les informations échangées.Authentification: Il permet de s'assurer de l'identité du programme, de la personne ou de l'entreprise avec lequelle on communique. SSL est un complément à TCP/IP et permet (potentiellement) de sécuriser n'importe quel protocole ou programme utilisant TCP/IP. SSL a été créé et développé par la société Netscape et RSA Security. Pourquoi utiliser SSL plutôt qu'un autre système ? Il faut se méfier des systèmes propriétaires: contrairement à ce qu'on pourrait penser, la sécurité d'un système de chiffrement ne réside pas dans le secret de l'algorithme de chiffrement, mais dans le secret de la clé. Comment ça marche SSL ? SSL consiste en 2 protocoles: La négociation SSL ("handshake") SSL utilise:
Le DOCTYPE qu'il vous faut Par Jeffrey Zeldman Nouveau ! HTML5 arrive progressivement, et son doctype est bien plus simple à retenir : <! Vous avez fait tout ce qu'il fallait, mais votre site ne s'affiche et ne fonctionne pas comme il le devrait dans les derniers navigateurs. Vous avez utilisé du XHTML valide et des CSS. Ce bref article vous fournira des DOCTYPEs fonctionnels, et vous expliquera les effets pratiques, réels, de ces balises autrement très abstraites. Pourquoi un DOCTYPE ? Dans les normes du HTML et du XHTML, un DOCTYPE (contraction pour "Document Type Declaration") informe le validateur de la version de (X)HTML que vous utilisez, et doit apparaitre en première position dans chaque page web. Comme mentionné dans de précédents articles d'ALA (et dans d'autres endroits intéressants), les DOCTYPEs sont essentiels pour que les documents web s'affichent et fonctionnent correctement dans des navigateurs conformes aux normes, comme Mozilla, IE5/Mac, et IE6/Win. Où sont passés tous les DOCTYPEs ? Étapes suivantes
RADIUS Novembre 2017 Introduction au protocole RADIUS Le protocole RADIUS (Remote Authentication Dial-In User Service), mis au point initialement par Livingston, est un protocole d'authentification standard, défini par un certain nombre de RFC. Le fonctionnement de RADIUS est basé sur un système client/serveur chargé de définir les accès d'utilisateurs distants à un réseau. Le protocole RADIUS repose principalement sur un serveur (le serveur RADIUS), relié à une base d'identification (base de données, annuaire LDAP, etc.) et un client RADIUS, appelé NAS (Network Access Server), faisant office d'intermédiaire entre l'utilisateur final et le serveur. Il est à noter que le serveur RADIUS peut faire office de proxy, c'est-à-dire transmettre les requêtes du client à d'autres serveurs RADIUS. Fonctionnement de RADIUS Le fonctionnement de RADIUS est basé sur un scénario proche de celui-ci : Il existe une réponse appelée CHANGE PASSWORD où le serveur RADIUS demande à l'utilisateur un nouveau mot de passe.