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En quête d’une identité unique, en ligne et hors ligne

En quête d’une identité unique, en ligne et hors ligne
Des chercheurs britanniques mènent une étude sur une « super-identité », qui serait valide dans les univers numériques comme dans le monde réel. Des chercheurs de l’université de Southampton, au Royaume-Uni, conduisent un effort international pour étudier l’identité, et en particulier la façon dont l’existence de multiples identités numériques et dans le monde réel affecte la sécurité. Cette étude sur trois ans met l’accent sur la notion d’une « super-identité », autrement dit une identité unique et définitive. Après tout, nous sommes des personnes uniques, et tôt ou tard tous ces alias (en ligne ou dans la vraie vie) reviennent à une entité « centrale » unique. Le problème est que le manque de fiabilité de l’identification, sujette aux falsifications, représente une menace pour tout système de sécurité, depuis un compte de messagerie électronique d’entreprise jusqu’à l’Administration pour la sécurité des transports des États-Unis. À lire aussi

http://www.smartplanet.fr/smart-technology/en-quete-dune-identite-unique-en-ligne-et-hors-ligne-11352/

Cebit 2012 : Sur la question des données privées, Eric Schmidt choisit de faire l'autruche La cérémonie d’ouverture du Cebit 2012 qui se tenait au centre des congrès d’Hanovre ce lundi a accueilli deux chefs d’États, La chancelière allemande Angela Merkel et la présidente brésilienne Dilma Roussef, ainsi qu’un hôte de marque en la personne d’Éric Schmidt, le président de Google. Thème de cette cérémonie : « Managing Trust », ou comment gérer la confiance dans un monde de plus en plus numérique. La confiance et la protection des données privées au coeur du débat aux dépens de la vie privée ou des lois sur la protection de la propriété intellectuelle.» Enchaînant derrière le ministre, Dieter Kempf, le président du Bitkom, le très puissant syndicat professionnel de l’industrie IT allemande – homologue de Syntec Informatique - s’est fait encore plus clair : « il est inacceptable qu’un utilisateur grand public découvre, par surprise et sans recours, des changements profonds dans les conditions d’utilisation [par un fournisseur de service] de ses données personnelles».

Comprendre l'identité numérique - Prestations DSI-SEM Que dire à propos de soi sur Internet ? Comment protéger son identité ? La DSI-SEM a réalisé un guide intitulé Un enjeu pour l’enseignement. Comprendre l’identité numérique. Témoignages : ils ont été recrutés grâce à leur présence en ligne On parle beaucoup de présence en ligne, d’identité numérique, d’e-réputation… comme facteurs pouvant faciliter la recherche d’emploi. Mais qu’en est-il exactement ? Nous avons posé des questions à plusieurs personnes ayant été contactées par des recruteurs suite à leur présence en ligne, dans le cadre de notre débat du mois sur l’identité numérique. L’occasion de voir comment, concrètement, son activité en ligne peut mener à une embauche. Nos interviewés ont également de très bons conseils à vous apporter, si vous souhaitez suivre leurs traces !

Un hébergeur doit se plier aux demandes concernant les données perso Au titre de la loi informatiques et libertés, un hébergeur est tenu d'accéder aux demandes d'internautes concernant leurs données personnelles, sans décision de justice préalable. Un internaute publiant du contenu sous pseudonyme sur un forum peut demander à l'hébergeur de supprimer ses noms et prénoms sans avoir à passer préalablement devant un juge. Telle est la décision rendue par le tribunal de grande instance de Béziers dans le cadre d'une affaire opposant la plate-forme de blog Overblog à un internaute dont l'identité avait été révélée à son insu par plusieurs autres utilisateurs "qui divulguaient des informations touchant sa vie privée et propageaient des calomnies". Selon Legalis.net, l'internaute avait demandé la suppression de ces contenus, ce qu'Overblog avait refusé de faire, se réfugiant entre autres derrière son statut d'hébergeur.

Facebook : le spam payant arrive en France, le prix fixé à la tête du client Après un test aux États-Unis, le spam payant de Facebook arrive en France. En effet, il est désormais possible d'envoyer un message non sollicité à un tiers et de payer afin qu'il soit placé dans sa boite de réception principale et non pas dans la partie « autres ». Le tarif sera par contre fixé à la tête du client, sans possibilité de pouvoir passer outre, à quelques exceptions près. Depuis toujours, la boite de réception de Facebook est divisée en deux zones : celle qui concentre les messages de vos amis, et « Autres ». Cette dernière sert à centraliser les spams et autres messages indésirables provenant d'utilisateurs avec lesquels vous n'avez aucun lien. Mais voilà, juste avant les fêtes de Noël, Facebook lançait une expérimentation : payer pour forcer le passage dans la boite principale, et ce, quel que soit le filtrage mis en place par votre correspondant.

La protection juridique des bases de données illustrée par les dernières jurisprudences Les bases de données sont protégées juridiquement et sauf exception, l’extraction de contenus, même librement accessibles, sur Internet par exemple, n’est pas autorisée et peut coûter très cher... Les bases de données bénéficient de deux régimes de protection juridique indépendants l'un de l'autre : la protection par le droit d'auteur et la protection par le droit des producteurs (ou droit sui generis). La protection n'est cependant pas acquise automatiquement, comme nous allons le rappeler ci-après. Quatre décisions rendues entre décembre 2009 et avril 2010 viennent illustrer l'application de ces règles par les tribunaux. L'importance des condamnations (de 90 000 à 3,8 millions d'euros de dommages et intérêts) démontre l'importance accordée par les juges à la réparation de l'atteinte aux ayants droit.

L'usurpation d'identité numérique face à la loi - Maître benjamin jacob Alors que les cas d’usurpation d’identité se sont multipliés avec le développement de la communication en ligne (on parle – peut être exagérément - de 210.000 cas par an en France), la loi d’orientation et de programmation pour la performance de la sécurité intérieure (LOPPSI), adoptée le 14 mars 2011, crée un nouveau délit d’usurpation d’identité. En effet, le nouvel article 226-4-1 du Code pénal prévoit que : « Le fait d'usurper l'identité d'un tiers ou de faire usage d'une ou plusieurs données de toute nature permettant de l'identifier en vue, de troubler sa tranquillité ou celle d'autrui, ou de porter atteinte à son honneur ou à sa considération, est puni d'un an d'emprisonnement et de 15 000 € d'amende. Cette infraction est punie des mêmes peines lorsqu'elle est commise sur un réseau de communication au public en ligne. » Le Tribunal a ainsi consacré la notion d’identité numérique et sanctionné civilement son usurpation par l’octroi de dommages et intérêts. Cabinet PDGB

Connaissez-vous vraiment votre propre page Facebook ? «Nous avons choisi au hasard des pages fans que vous avez aimées sur Facebook. Combien d’entre-elles assumez-vous encore ?» La fan page de Twilight likée en 2009, vous assumez ? Et celle qui veut rassembler plus de fans pour un pavé de saumon que la page du groupe Superbus ?

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