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La chute du mur de Berlin

La chute du mur de Berlin

La chute du mur de Berlin The Tree Of Languages Illustrated In One Gorgeous Infographic By Amanda Froelich Truth Theory When linguists talk about the historical relationship between languages of the world, they oftentimes use a tree metaphor. The textbook version tends to be drab and boring, however, which is why Minna Sundberg, the creator of the webcomic Stand Still. Stay Silent took the time to create a much more imaginative version. Arika Okrent of Mental Floss writes, “An ancient source (say, Indo-European) has various branches (e.g., Romance, Germanic), which themselves have branches (West Germanic, North Germanic), which feed into specific languages (Swedish, Danish, Norwegian). Now, a much more enticing version of the simple tree diagram has been created. If you’re interested in learning more, check out this page where Sundberg offers a comparison chart of words in the Nordic languages. Order a poster of this Tree of Languages here. Read more: Filmmaker Reveals Finland’s Secret For Topping The World In Education Via Mental Floss

Bibliothèque virtuelle Guerre froide Les débuts de la guerre froide La guerre froide trouve ses sources dans la Deuxième Guerre mondiale. À la fin de cette guerre, les forces alliées et soviétiques se sont unies pour combattre ensemble les nazis. Désaccord à la Conférence de Yalta Avant même la fin de la guerre, les chefs des pays alliés se sont rencontrés lors de la Conférence de Yalta en février 1945. Le rideau de fer et la logique des blocs Le conflit entre les États-Unis et l’Union soviétique a rapidement divisé le monde en deux camps : les États-Unis et les pays de l’Europe de l’Ouest (formant le Bloc de l’Ouest) s’opposant à l’URSS alliée aux pays communistes (formant le Bloc de l’Est). Cette division idéologique, en plus d’être marquée par des conflits régionaux, fut aussi influencée par la course aux armements, l’espionnage, la peur du nucléaire et la conquête de l’espace. Les États-Unis ont réagi rapidement en craignant que les régimes communistes ne se propagent dans toute l’Europe. Rappel de la situation en 1945

Parcours - La chute du mur de Berlin parcours pédagogique Adeline Douard - Enseignante de français langue étrangère et coordinatrice des cours enfants/ados à l'Alliance Française de Cambridge (Royaume-Uni). Présentation Ce parcours a été réalisé sous l'égide de M. Vincent Gleizes, Institut français du Royaume-Uni. Peu après la seconde guerre mondiale et la division de Berlin en quatre secteurs, des tensions s'installent entre l'est et l'ouest. Niveau (CECR) : B1 Objectifs Linguistiques Utilisation du présent, de l'imparfait (et du passé composé) de l'indicatifRésumer / reformuler des informations (à l'oral et à l'écrit) Durée estimée de l'activité Compréhension globale : 10 minutes A l'aide de quelques questions et à partir de ses 45 premières secondes, comprendre / expliquer le sens général du document audiovisuel. Compréhension détaillée : 10-15 minutes Répondre à quelques questions de compréhension, faire des hypothèses. Production : 30 minutes Analyse du document Compréhension globale Qui sont les deux hommes qui parlent ? Résumé

1989 : la chute du mur de Berlin Le 9 novembre 1989, le mur de Berlin s'effondre. Familles et amis se retrouvent après 28 ans de déchirure. Les Berlinois de l'Est sont 3,5 millions à passer à l'Ouest. Ils découvrent le monde occidental, un rêve pour beaucoup d'entre eux, mais une désillusion pour d'autres. Comment et pourquoi le mur de Berlin a-t-il été détruit ? Le 9 novembre 1989, Egon Krenz, nouveau chef du Parti communiste et de l'Etat est-allemand (RDA), annonce l’ouverture de la frontière avec l’Ouest. Ce week-end-là, 3,5 millions d'Allemands de l'Est s'engouffrent dans les passages ouverts vers l'Ouest. En 3 jours, les VoPos (la Volkspolizei, la police nationale chargée de l'Allemagne de l'Est) ont changé radicalement de comportement. Berlin-Ouest est prise d'assaut. Des Allemands de l'Est témoignent : « Nous attendons des amis que nous n'avons pas vus depuis très longtemps. La nuit tombe sur Berlin, mais la ville ne s'endort pas. Quelles sont les conséquences de la chute du mur de Berlin ?

Stand Still. Stay Silent - webcomic, page 195 Page 19513 October. 2014 Who here likes languages? I do! Let me know if anything is misspelled or downright incorrect, guys! Ah, almost forgot: the next stretch goal was reached! La Guerre Froide - Quiz Quiz 1 1. Pourquoi l'appelle t'on la "Guerre Froide"? 2. Quelle état était l'adversaire principal des États-Unis durant la Guerre Froide? 3. Quiz 2 Légende: 1. Automne 1989 : Le Mur est tombé à Leipzig La chute du mur à Berlin symbolise la fin du communisme en Europe. Pourtant, le 9 octobre 1989, c’est à Leipzig que le régime est-allemand a commencé à vaciller. Sans la manifestation monstre de ce jour-là, rappelle Die Zeit, l’histoire aurait été différente. Tous les événements historiques mondiaux sont racontés deux fois : la première comme un récit héroïque, l’autre comme une blague. Nous vivons dans un monde ironique et sceptique à l'égard des héros. C’est là que, le 9 octobre, l’Etat s'est trouvé pour la première fois dans une situation d' impuissance, lorsque 70 000 personnes ont envahi la ville et paralysé l’appareil de répression. Une révolution pacifique On montre de moins en moins les scènes triomphales d’embrassades générales sur le mur, à Berlin, plutôt le flot irréel des habitants de Leipzig qui s’écoule calmement. Il s’agit d’une querelle pour la reconnaissance. Peu d'images des manifestations de Leipzig Des héros très discrets Une erreur factuelle ou de traduction ?

La crise du communisme du dossier « La chute du Mur de Berlin » - Pour mémoire - CNDP Manifestation pour la démocratie et la liberté à Berlin-Est, 4 novembre 1989 Source : Wik : Bernd Settnik. Déclaration sur l’Europe centrale et orientale, à l’issue du Conseil européen de Strasbourg des 8 et 9 décembre 1989 Chaque jour, en Europe centrale et orientale, le changement s’affirme avec plus de force.

1989 : La chute du mur Mais, des émeutes de Budapest en 1956 jusqu'à la décision d'ouvrir le mur le 9 novembre 1989, en passant par le Printemps de Prague (1968) ou les Accords de Gdańsk (1980), ce moment symbolique est surtout l'aboutissement du lent effritement du bloc de l'Europe de l'Est. La chute du mur de Berlin est également le fruit d'une forte contestation en RDA. Les Allemands de l'Est en ont été les artisans actifs dès 1976, lorsque les intellectuels n'hésitaient pas à faire entendre leur voix jusqu'en 1989, où les manifestations se sont intensifiées. Un lent effondrement Le bloc de l’Est se fissura bien avant la chute du mur. De nombreux signes avant-coureurs signalèrent une volonté de résistance de plus en plus forte au système hérité de la guerre froide, notamment en Europe de l'Est. Octobre 1956, Hongrie : Insurrection de Budapest. 1982, URSS : Mort de Leonid Brejnev, dirigeant de l’Union soviétique depuis 1966. Le 9 novembre 1989, le mur tombe : un événement médiatique et historique

L’ouverture et la chute du mur Le 9 novembre 1989, peu avant 19h00, à la fin d’une conférence de presse, le secrétaire du comité central Günter Schabowski annonça de façon lapidaire l’entrée en vigueur d’une nouvelle règlementation pour les sorties du territoire de RDA. Face à la pression croissante de la population, la direction du SED avait publié, le 6 novembre, un projet de loi sur les entrées et sorties du territoire de RDA, dont elle ne souhaitait publier qu’un extrait dans un premier temps, à savoir les autorisations de sortie définitive du territoire. Le but de cette opération consistait à endiguer l’exode de citoyens de RDA par la République Socialiste Tchèque. Pendant la conférence de presse, Schabowski présenta par anticipation le nouveau régime des visas. Confrontés à une pression croissante, les gardes-frontières du poste de Bornholmer Straße laissèrent transiter les premiers citoyens de Berlin-Est à l’Ouest vers 21h20.

9 novembre 1989 - Le Mur de la honte s'écroule - Herodote.net Pour les Allemands, le 9 novembre rappelle tout à la fois l'avènement de la République (1918), le pitoyable «putsch de la Brasserie» (1923), la sinistre «Nuit de Cristal» (1938) et l'heureuse chute du Mur (1989). Les peuples contre les dictatures Dans la nuit du 9 au 10 novembre 1989, devant les caméras du monde entier, de jeunes Allemands de l'Est et de l'Ouest brisent le Mur de la honte qui divise Berlin depuis le 13 août 1961, prenant de court les dirigeants des deux bords. Réceptifs à la politique de glasnost (transparence en russe) initiée trois ans plus tôt par le dirigeant soviétique Mikhaïl Gorbatchev, les dirigeants hongrois ont été les premiers à soulever la chape de plomb communiste. Des centaines d'Allemands de l'Est se précipitent alors en Hongrie dans l'espoir de bientôt passer à l'Ouest. Deux jours plus tard, le gouvernement de RDA autorise les Allemands de l'Est à voyager à l'étranger «sans aucune condition particulière». De la réunification à la monnaie unique

Mur de Berlin Le mur de Berlin désigne une barrière de séparation érigée dans la capitale allemande en 1961 par la République démocratique allemande (RDA) pour mettre fin à l’hémorragie migratoire de ses habitants vers la République fédérale d'Allemagne (RFA). Appelé "mur de la honte" par les Allemands de l'Ouest et "mur de protection antifasciste" par les autorités est-allemandes, le mur a pendant plus de 28 ans séparé la ville de Berlin en deux et est devenu l'un des symboles de l'Europe divisée par le rideau de fer. Le mur a également symbolisé le clivage politique et idéologique de la guerre froide entre les deux blocs. À la fin des années 1980, la donne géopolitique change. Aujourd'hui, le mur est presque totalement détruit, mais il laisse dans la capitale allemande une cicatrice urbaine qui se résorbe d'année en année.

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