Groupe de travail sur l'économie de la contribution ARCHIVES DE l'ATELIER - Enregistrements audio des séances de l'atelier - Intervention de Bernard Stiegler lors de la séance du 6 Novembre 2010 (video) - Intervention de Bastien Sibille : Entreprises à sources ouvertes - monnaie et dette, séance du 17 décembre 2011 : paix monetaire et financiere au sein de la zone euro - Innonation comme pharmacologie positive au delà de la logique économiste : séance du 4 février 2012 - Propositions pour le financement d'une croissance durable et soutenable : séance du 20 mars 2012 - Energie contributive : séance du 19 mai 2012 - Efficacité énergétique : séance du 28 janvier 2013 Ce groupe de travail « Economie de la contribution », est une thématique au centre de nos préoccupations ; celle-ci a fait l’objet de plusieurs débats au théâtre de la Colline et a été largement abordée dans nos publications, dans nos interventions publiques et dans notre Manifeste 2010.- cf. www.arsindustrialis.org/manifeste-2010 [1] cf. [2] cf. [4] cf. [8] cf. [9] cf. [10] cf.
Socrate et les hackers - Une conférence de Bernard Stiegler À peine avions-nous mis en ligne le billet Quand Socrate nous aide à mieux comprendre le logiciel libre qu’un commentaire nous signalait une récente conférence de Bernard Stiegler, dont le titre, séduisant et enigmatique, faisait lui aussi référence au célèbre philosophe grec : « Socrate et les hackers ». Elle a été donnée le 13 avril dernier à la Maison des Arts de Malakoff. On y retrouve les thèmes chers à Bernard Stiegler : perte du savoir dans un processus de prolétarisation généralisée lié au marketing et espoir mis dans la figure de « l’amateur ». Tout ceci m’a fait repenser à un très lointain article de Libération (25 mai 2001). Une interview de Pekka Himanen[1] par Florent Latrive. À la question : quel est votre hacker préféré ? « Socrate. Bernard Stiegler - Socrate et les hackers —> La vidéo au format webm
Comment les contenus générés par les utilisateurs menacent-ils le capitalisme La lecture de la semaine prolonge le texte d’il y a 15 jours, qui tentait de comprendre pourquoi Facebook était valorisé à 100 milliards de dollars. On se souvient que la réponse était que la valeur : c’est nous, les utilisateurs ! Le texte d’aujourd’hui est un entretien donné à Al-Jazeera par Michel Bauwens (Wikipédia, @mbauwens), le fondateur de la Peer-to-peer Fundation, qui cherche à analyser les effets à long terme de contenus générés par les utilisateurs sur le capitalisme. « Ce qui est important, explique Bauwens, c’est que Facebook n’est pas un phénomène isolé, mais participe à une tendance plus lourde de notre société : une croissance exponentielle de la valeur d’usage produite par le public. Image : Typography Power par Charis Tsevis. Les marchés peuvent être définis comme une manière de répartir des ressources rares. D’où une série de questions qu’il pose : Si les travailleurs perçoivent de moins en moins de revenus, qui achètera les biens vendus par les entreprises ?
Prosommateur Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Prosommateur est un néologisme issu du terme anglais prosumer qui cherche à décrire les tendances qu'ont les consommateurs à se professionnaliser et s'approcher de la figure de producteur. Notamment par le biais de connaissances acquises grâce à un accès à l'information considérable (ce qui est d'autant plus vrai à l'ère numérique), et poursuivant certaines convictions d'ordre plus politique. Origine[modifier | modifier le code] Ce terme a été créé par la contraction des suivants : producer / professional et consumer. Inventé dès 1980 par Alvin Toffler, ce terme se trouve de plus en plus utilisé dans des publications scientifiques. Il est aussi utilisé dans le domaine du commerce pour signifier que le consommateur participe à la distribution. Voir aussi[modifier | modifier le code] Articles connexes[modifier | modifier le code] Portail du commerce
Vers une économie de la contribution La solution du capitalisme à bout de souffle pourrait bien être à chercher du côté des logiciels libres. Bernard Stiegler, philosophe, appelle à passer "du consumérisme toxique à une économie de la contribution". Ce n’est plus un secret pour personne : le capitalisme est en train d’être dévoré par ses propres effets toxiques. En 2005, parmi d’autres voix peu écoutées alors, une association française, Ars Industrialis, lancée par quatre philosophes et une juriste, avait sonné le tocsin. A l’époque, leur manifeste décrivait les dangers d’un capitalisme “autodestructeur” et la soumission totale aux “impératifs de l’économie de marché et des retours sur investissements les plus rapides possibles des entreprises” et notamment celles actives dans les médias, la culture ou les télécommunications. Malaise du consumérisme L’homme habite un petit moulin industriel reconverti en maison à Epineuil-le-Fleuriel, au beau milieu de la France paysanne. Où se situe la solution ? Poison et remède Telecomix
Vulgarisation web2.0 : le web des prosommateurs « Mglcel’s Weblog “Information” et “Automatique” ont formés en 1967, après décision du Général De Gaulle, le mot ‘Informatique’ . Alvin Toffler, l’un des futurologues américains les plus célèbres de notre temps, inventa en 1980 le terme ‘Prosumer’, provenant de ‘producer’/’professional’ et de ‘consumer’, ce qui traduit en français à partir de ‘professionnel’/’producteur’ et ‘consommateur’ donne ‘prosommateur’. Wikipedia donne cette définition : « Le plus souvent utilisé dans le domaine du commerce pour signifier que le consommateur participe à la distribution (dans la vente par internet ou au supermarché). Malgré cela, son utilisation est de plus en plus répandue et peut signifier à la fois un consommateur professionnel et un consommateur producteur » Alvin Toffler et sa femme Heidi définissent ainsi le terme : Le web actuel permet donc à l’humanité de continuer de s’adonner à un de ses passe-temps préférés, à l’échelle du marché numérique mondial. Like this: J'aime chargement…
Crowdfunding: quels avantages pour un entrepreneur? [Express yourself] De nombreux entrepreneurs s'interrogent sur la bonne formule pour créer son entreprise tout en testant le marché sans trop prendre de risque. Pour tester son marché sans créer une structure juridique indépendante, il existe les couveuses d'entreprises, qui vous permettent de facturer vos premiers clients. Elles proposent également un accompagnement à la création à travers des journées de formation et les conseils avisés d'experts. A noter que les demandes sont nombreuses et les places limitées. Aujourd'hui grâce à Internet, il existe une solution plus innovante pour expérimenter un marché: c'est le crowdfunding, en français le "financement participatif". Qu'il s'agisse de vendre des produits ou des services, réaliser une campagne de collecte de fonds sur internet, c'est avant tout un test grandeur nature. Le financement participatif sur Internet permet à l'entrepreneur d'obtenir des retours par des clients potentiels et donc d'adapter son offre.
Le Prosommateur et la culture du Travail Le Prosommateur et la culture du travail « L’essence des clubs de troc c’est la culture du travail (…) la finalité du troc ce n’est pas acheter et vendre mais produire » José Sandler (coordinateur du Globito Azul, Viedma- entretien TAOA du 23 Janvier 2011) « Dans un club de troc, il faut travailler » Beatriz Riveiro (coordinatrice du nodo Estrella, Buenos Aires – entretien TAOA du 05 Décembre 2010) « Le RGT est un réseau d’échanges de biens et services par et pour des gens qui croient que l’argent ne doit pas être la condition déterminant la vraie valeur d’une personne. Les ferias des clubs de troc ne sont pas un marché comme les autres où se rencontrent vendeurs et acheteurs. Comment cela se traduit-il dans la réalité ? L’exemple le plus parlant est sans doute la production de nourriture, d’autant que ces produits étaient bien sûr les plus recherchés. Sans prosommateur, que se passe-t-il ? 1. 2. Ne pas confondre travail et emploi Retrouver l’estime de soi La perte de l’idéologie
Interactive: This Is How Much Money Twitter Owes You Now that Twitter has a market capitalization of at least $24.9 billion, more than a few of the social network’s 230 million users have noticed their tweets are making other people rich. Many people want their cut. So what would that be exactly? How Much Does Twitter Owe Me? Enter the username of any public account to measure its share of Twitter's fortune. Not enough to retire, huh? To see how we came up with those numbers, check the fine print. Methodology
L'avenir libre de Bernard Stiegler ou gratuit de Jacques Attali Un titre un peu caricatural pour un billet qui met simplement en parallèle deux récentes et intéressantes interviews vidéos, la première de Jacques Attali, la seconde de Bernard Stiegler. Choisis ton camp camarade ? Pas vraiment, parce que les deux intellectuels n’abordent pas exactement le même sujet, bien qu’il soit à chaque fois question de l’avenir de nos sociétés (on remarquera qu’ils citent tous deux Wikipédia mais pas avec le même dessein). Jacques Attali La gratuité - Dans le cade de l’émission Conversation d’avenirs sur Public Sénat22 décembre 2009 - URL d’origine de la vidéo Bernard Stiegler
"Free !" : pourquoi l'économie de demain sera gratuite Eco89 publie un extrait du nouveau livre de Chris Anderson, mode d’emploi du commerce à l’ère du tout numérique. Faux billet de zéro dollar à l’effigie de George Bush (DR) Le meilleur moyen de gagner de l’argent ? Tout proposer gratuitement ! Chris Anderson n’en est pas à son coup d’essai. Avec Free ! Une gratuité complète (grâce à la pub notamment), ou partielle voire factice (en faisant payer des services complémentaires, par exemple). Dans cet extrait, Anderson présente les « règles du gratuit » et « les dix principes du raisonnement d’abondance ». Si c’est numérique, tôt ou tard cela sera gratuit. Sur un marché concurrentiel, les prix chutent jusqu’au coût marginal. Les atomes aimeraient bien être gratuits aussi, mais ils n’y mettent pas autant du leur. Hors du domaine numérique, les coûts marginaux tombent rarement à zéro. Vous n’arrêterez pas le gratuit. Vous pouvez gagner de l’argent avec le gratuit. On paie pour gagner du temps. Redéfinissez votre marché. Arrondissez vers le bas.