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Notions d'espace, de représentation et de profil de couleur

Notions d'espace, de représentation et de profil de couleur
Fév 25 2012 Après l'introduction aux problématiques de la gestion des couleurs, je vous propose d'aborder les notions d'espace, de représentation et de profil de couleur qui sont souvent perçues comme un magma dans lequel il est difficile de distinguer l'essentiel de l'accessoire. L'objectif de cet article est de poser quelques repères pour clarifier ces notions fondamentales très souvent invoquées en gestion des couleurs. Nous les approfondirons et les illustrerons dans les sujets pratiques à venir : colorimétrie des appareils photo et des logiciels, calibrage des périphériques intervenant dans la chaîne de traitement, etc. À la suite de cet article préliminaire, nous en proposerons deux autres. Je vous accorde bien volontiers que ces préalables ne sont pas très glamour, mais ce sont des briques de bases importantes sur lesquelles s'appuieront les prochains articles. Les modes de représentation des couleurs Les espaces de couleur Les profils de couleur

La température de couleur : la pratique Faire la balance des blancs correspond à indiquer au boîtier la température de couleur de la source de lumière qui éclaire la scène que je photographie. Sur l’appareil photo, cela correspond au pictogramme White Balance (WB). Ce réglage permet de restituer des blancs (et les gris) avec la même blancheur (neutre), quelle que soit la nature de source de lumière. En argentique, il existe des films positifs ou négatifs équilibrés pour des températures de couleur de 3200K ou 5500K. Régler la balance des blancs sur le boîtier Sur le boîtier, on choisit parmi un certain nombre de types de source comme ensoleillé, nuageux, incandescent ou fluorescent. Quand on photographie une scène dans laquelle plusieurs sources de lumière sont mises en œuvres avec des températures de couleur différentes, ce réglage devient problématique. Si l'une des sources n'est pas dans le cadre de la prise de vue, il est possible d'utiliser un filtre de conversion de TC que l'on place alors entre la source et la scène.

Cours photographie et stages photo partout en France Les modes de mesure de la lumière Vous êtes un peu perdu(e) avec les différents modes de mesure de lumière ou vous ne savez pas à quoi ils correspondent ? Nous vous conseillons en premier lieu de suivre notre cours photo « Lumière et mode manuel » proposé dans plusieurs grandes villes de France ! Et ensuite, voici quelques éléments pour vous éclairer. Pourquoi le mode de mesure de la lumière nous parait-il si important ? 1- La mesure multizone : évaluative (Canon), matricielle (Nikon) C’est le mode par défaut. L’image est découpée en entier en pleins de petits segments où la mesure de la lumière est analysée. Grâce à ce mode, il n’y a théoriquement pas de zone sur ou sous exposée, car la lumière est analysée sur toute l’image Dans quels cas l’utiliser ? - Photo de paysages - Différents sujets éclairés de manière non uniforme - Exposition uniforme Mais (car il y a toujours un « mais »), dans ce mode, c’est l’appareil qui décide. Dans quel cas l’utiliser ? 3- La mesure spot A noter ! Alexandra

Comment régler son reflex numérique en cas de faible lumière Le sujet de la photo par faible lumière revient souvent dans les discussions sur notre forum, aussi nous avons pris le temps de compiler les différentes informations fournies par ceux de nos membres qui maîtrisent le sujet afin de vous proposer ce tutoriel collectif. Après « la prise de vue en meeting aérien« , premier tutoriel du genre, voici donc quelques conseils pour photographier lorsque la lumière à votre disposition est faible. Quel mode utiliser lorsque vous devez faire de la photo « reportage » par faible luminosité ? La plupart des sondés répondent : le mode A, ouverture moyenne f/8 Mais si toutefois, en adoptant ce réglage, on se retrouve avec une faible vitesse comme le 1/40ème de sec., que faire ? : ouvrir plus le diaphragme toujours en mode A ou bloquer une vitesse en mode S ? Une possibilité offerte par les reflex numériques est de passer en mode ISO auto. Le réglage ISO Auto Méthode de réglage Résultat Précautions De même, ISO auto et flash ne font pas bon ménage.

Exposer correctement sa photo en contre jour Même si l'effet contre-jour peut être recherché à des fins artistiques, il reste souvent un problème lors de la prise de vue. Autant en extérieur (un soleil un peu lumineux, un ciel un peu couvert offrant une forte luminosité) qu'en intérieur (une fenêtre placée juste derrière le sujet...), cette situation se présente de manière récurrente. Savoir repérer, puis corriger D'une manière très simple, les appareils photos numériques offrent l'avantage d'afficher le résultat de la photo avant sa prise de vue. Le plus simple et le plus rapide pour corriger est de forcer l'activation du flash de votre appareil. Cela aura pour effet de "déboucher" les zones d'ombres de votre sujet, particulièrement utile pour les très forts contre-jours (en intérieur devant une fenêtre par exemple). Correction d'exposition Faites varier le repère d'exposition (en d'autres termes, "bracketez") de manière à ce qu'il indique entre +0,5IL et +3IL selon la situation lumineuse. Mémoriser l'exposition En savoir plus

Basics : La mesure de lumière Pour compléter l’article sur les bases de la photo qui avait été précédemment été publié sur Lense, on va s’intéresser aujourd’hui à la mesure de lumière dans un appareil photo.. Bien que toutes les marques possèdent leurs spécificités, elles utilisent globalement les mêmes recettes pour déterminer la luminosité de la scène qu’on photographie. Nous allons donc essayer d’aborder les différents principes de mesures, pour que chacun puisse les comprendre et les appliquer à son matériel. Niveau : débutant – amateur Si vous avez suivi les épisodes précédents (imaginez un “previously, in Lense basics” avec la voie grave et l’accent américain) vous savez maintenant que pour prendre une image correctement exposée, on peut jouer avec plusieurs combinaisons d’ouvertures, de sensibilités et de vitesses d’obturation. Mais au final on utilise souvent le mode auto ou priorité… sans forcément savoir ce qui se passe dans le boitier. // Les Valeurs EV et la mesure “a l’œil” // La Cellule // La mesure spot

Quels réglages pour quelles photos, partie 2 : les modes Après une première partie consacrée à la théorie, attaquons nous maintenant à son application. Je vais prendre quelques exemples et vous expliquer pourquoi j’ai choisi tel ou tel réglage, mais je vous préviens tout de suite : ces choix restent totalement personnels et correspondent à une image précise. Le but n’est pas de systématiquement reprendre les mêmes réglages, mais bien de comprendre comment tout cela fonctionne. Sur tous les reflexs, on va retrouver principalement 4 modes. Selon les marques, ils ne porteront pas le même nom, mais fonctionnent de la même manière. On retrouve donc : Programme : en général appelé « P » sur la molettePriorité Ouverture : « Av », pour Aperture Value chez Canon et Pentax, « A » chez NikonPriorité Vitesse : « Tv » pour Time Value chez les uns, « S » pour Speed chez celui qui se la joue différentManuel : bah « M », tout simplement Le mode Programme Le mode Priorité Ouverture Pour illustrer cela, prenons quelques exemples. Le mode Priorité Vitesse

la vitesse d'obturation, temps de pose Cours sur la vitesse d'obturation (ou temps de pose) : principe général et implications pour la netteté et le flou de l'image. La vitesse de l'obturateur ou temps de pose est un des trois paramètres importants (avec l'ouverture et la sensibilité) qui permettent de gérer l'exposition. La vitesse ou temps de pose correspond à la durée pendant laquelle la surface sensible de l'appareil (film argentique ou capteur numérique) est exposée à la lumière lors de la prise d'une photo, c'est-à-dire la durée pendant laquelle l'obturateur reste ouvert (l'obturateur étant un rideau placé entre la surface sensible de l'appareil et l'objectif ; voir figure 1 ci-dessous). Figure 1. Obturateur fermé et ouvert (intérieur d'un boitier argentique sans film). La vitesse s'exprime généralement en secondes ou fractions de seconde, où Au-delà des considération liée à l'exposition, la vitesse a des conséquences sur le rendu ou l'esthétique de la photo, en particulier sur la netteté. Si on veut du flou Figure 2.

Redresser l’horizon C’est l’un des premiers trucs qu’on vous dira sur tous les forums photos : « c’est pas droit », et c’est aussi quelque chose qui se corrige facilement et fait toute la différence. De quoi parle-t-on exactement ? De cette impression de penché. On visualise la ligne d’horizon, et celle-ci, même si la terre est ronde, se doit de rester droite (nous évoquerons les exceptions dans quelques lignes). Si vous êtes normalement constitués, vous devriez préférer la deuxième version. En faisant attention à la prise de vue, c’est facile de faire une photo droite, et pas besoin d’acheter les niveaux à bulles qu’on peut essayer de vous vendre dans certains magasins. Il arrive parfois qu’on bouge un peu, ou que l’on se plante, tout simplement. Cette règle sera utile dans beaucoup de situations. Si l’image est droite, vous le verrez tout de suite, la ligne d’horizon et le repère vont correspondre. Il y a des cas plus compliqués : les déformations.

Décomposition d’une photo n°1 Cet article a été écrit à l’avance et programmé. Je me trouve actuellement quelque part au Mali. Pour chaque semaine d’absence, j’ai sélectionné une photo que je vais « démonter » devant vous, en vous parlant des conditions de prise de vue, de mes intentions, de mes erreurs, du post-traitement. Pour cette première image, je vous emmène au sud du Laos. J’ai utilisé mon 550D, un petit reflex Canon, avec un sigma 10-20 à 20mm, et un filtre polarisant. Ce qui me plaît au moment où je prends la photo, c’est l’absolue sérénité. version brute, sortie de capteur J’ai shooté en RAW. version sortie de Camera Raw Je suis ensuite passée sous Photoshop pour quelques derniers réglages. Enfin, j’effectue quelques dernières corrections colorimétriques en assombrissant la végétation et en renforçant davantage les bleus. avant / après

La vitesse d’obturation Bienvenue sur Apprendre la Photo !Si vous êtes nouveau ici, vous voudrez peut-être faire un tour sur la page Par où commencer, qui vous aidera à vous y retrouver parmi tous les articles.Merci de votre visite, et à bientôt sur Apprendre la Photo ! :) Après l’article sur l’exposition en général et sa suite concernant l’ouverture du diaphragme (que vous DEVEZ lire pour comprendre cet article), abordons aujourd’hui la vitesse d’obturation, autre « angle » de notre triangle de l’exposition. La vitesse d’obturation, c’est le temps pendant lequel l’obturateur s’ouvre au déclenchement, c’est-à-dire le temps pendant lequel votre capteur est exposé à la lumière. Cette vitesse s’exprime en secondes, et plus communément en fractions de secondes : 1/125s, 1/3200s, etc… Plus la vitesse est élevée, moins le temps pendant lequel vous ouvrez la fenêtre est long, moins vous laissez rentrer de lumière. Ici, tout se passe un peu comme pour l’ouverture. En mode manuel (M) ). Recherches utilisées :

10 questions / réponses pour débuter - Comment savoir si ma photo est bien exposée ? Vous n'êtes pas sans savoir qu'une image se compose de pixels. Pour les générer, le capteur de votre appareil code l'information lumineuse reçue à partir de trois couleurs de base : rouge, bleu et vert. Or, chaque lumière possède son propre dosage de couleur. Notre vision nous trompe car le cerveau est capable de s'adapter très rapidement, tandis que le capteur révèle des dominantes couleurs très nettes sur les photos. La balance des blancs est vraiment importante. plein jour, temps couvert, lampe halogène ou tungstène, lumière néon, etc… La balance des blancs automatique est utile lorsque la lumière change beaucoup (en fin de journée par exemple) mais généralement elle ne produit pas d'aussi bons résultats qu'un préréglage ou, encore mieux, un réglage manuel…. Voir aussi :Comment effectuer une balance des blancs manuelle ?

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